Madame de Rênal en proie à des sentiments contraires L.1-17
>>L.1-3 : Le tourment de Madame de Rênal visible avec son incapacité a trouvé le repos-> négation « ne » + verbe «pouvoir».
>>L.4-8 : le spectre de la morale se présente aux yeux de Madame de Rênal-> locution adverbiale + verbe « apparaître » au passé simple = soulignent l’enchaînement brusque de pensée antagoniste dans son esprit.
-Madame de Rênal éprouve un sentiment de culpabilité -> l’apposition(l’affreuse parole ) + lexique dépréciatif + adjectif méprisable = propre jugement de Madame de Rênal qui s’estime digne de mépris.
-Opposition entre vison de l’adultère comme un acte immoral et l’image valorisante qu’elle se fait de Julien -> les 2 adjectifs mélioratifs = elle l’idolâtre + reprise du substantif « bonheur »
>>L.9-11 : Madame de Rênal se trouve plongée dans des abimes de culpabilités-> champs lexical de la souffrance morale.
- Cette souffrance est paroxystique -> antithèse entre « bonheur inéprouvé » et « malheur atroce » + adjectif « telles » au pluriel qui amplifie le mot « souffrance ».
>>L.11-15 : Dans l’égarement de sa raison, l’aveu de sa crainte d’aimer Julien effleure à l’esprit de Madame de Rênal -> verbe « troubler » au passé simple + justification irrationnelle de l’aveu, mais cette hypothèse est rapidement balayer -> «un instant» donne un aspect éphémère + le sage conseil de sa tante la veille de son mariage = voix de la raison qui l’a insisté à se méfier de son mari.
>>L.15 : souffrance extrême avec le terme hyperbolique « excès » + manifestations physiques=agitation
>>L.16-17 : Elle n’est plus maitresse d’elle-même -> voix passive + verbe « entrainer » = total impuissance et ne cesse d’éprouver des sentiments contraires .
La crainte du déshonneur L.17-25
>>L.17-19 : une vision d’horreur se projette à ses yeux, celle d’être clouée au pilori en place publique donc déshonneur publique -> proposition subordonnée circonstancielle de comparaison.
- Le terme dépréciatif « populace » traduit le sentiment de supériorité de Madame de Rênal qui appartient à la noblesse ->point de vue interne.
>>L.20-23 : Madame de Rênal commet une erreur de jugement en ne faisant pas de distinction entre le jugement de Dieu et celui des Hommes mais le narrateur légitime cette attitude par son inexpérience.
>>L.24-25 : de nouveau, l’adultère est qualifié péjorativement + la relative et son antécédent traduisent l’acte répréhensible aux yeux de la société. Au 19eme siècle, l’adultère est un crime puni par la loi.
Madame de Rênal subit les affres de la jalousie L.25-31
>>L.25-27 : alors qu’elle envisage la possibilité de vivre avec Julien, dans une relation platonique -> adverbe « innocemment », elle est victime (« se trouvait jetée »=subit) de la jalousie. L’idée que Julien puisse en aimait en autre est une idée qui lui est insupportable -> adjectif «horrible»
>>L.27-31 : Elle se remémore un portrait que Julien lui avait demander de cacher sans le regarder, elle imagine alors que c’est une de ces rivale et interprète l’émotion de Julien en ce sens. Cette jalousie la plonge dans une douleur extrême -> tournure hyperbolique finale.
Conclusion
Madame de Rênal est l’objet d’émotions contraires puisqu’elles est tiraillée entre sa passion pour Julien Sorel et ce qu’elle doit à la morale; et, lorsque la crainte de l’opprobre public la laisse en paix, ce sont les assauts de la jalousie que l’héroïne subit.
Madame de Rênal en proie à des sentiments contraires L.1-17
>>L.1-3 : Le tourment de Madame de Rênal visible avec son incapacité a trouvé le repos-> négation « ne » + verbe «pouvoir».
>>L.4-8 : le spectre de la morale se présente aux yeux de Madame de Rênal-> locution adverbiale + verbe « apparaître » au passé simple = soulignent l’enchaînement brusque de pensée antagoniste dans son esprit.
-Madame de Rênal éprouve un sentiment de culpabilité -> l’apposition(l’affreuse parole ) + lexique dépréciatif + adjectif méprisable = propre jugement de Madame de Rênal qui s’estime digne de mépris.
-Opposition entre vison de l’adultère comme un acte immoral et l’image valorisante qu’elle se fait de Julien -> les 2 adjectifs mélioratifs = elle l’idolâtre + reprise du substantif « bonheur »
>>L.9-11 : Madame de Rênal se trouve plongée dans des abimes de culpabilités-> champs lexical de la souffrance morale.
- Cette souffrance est paroxystique -> antithèse entre « bonheur inéprouvé » et « malheur atroce » + adjectif « telles » au pluriel qui amplifie le mot « souffrance ».
>>L.11-15 : Dans l’égarement de sa raison, l’aveu de sa crainte d’aimer Julien effleure à l’esprit de Madame de Rênal -> verbe « troubler » au passé simple + justification irrationnelle de l’aveu, mais cette hypothèse est rapidement balayer -> «un instant» donne un aspect éphémère + le sage conseil de sa tante la veille de son mariage = voix de la raison qui l’a insisté à se méfier de son mari.
>>L.15 : souffrance extrême avec le terme hyperbolique « excès » + manifestations physiques=agitation
>>L.16-17 : Elle n’est plus maitresse d’elle-même -> voix passive + verbe « entrainer » = total impuissance et ne cesse d’éprouver des sentiments contraires .
La crainte du déshonneur L.17-25
>>L.17-19 : une vision d’horreur se projette à ses yeux, celle d’être clouée au pilori en place publique donc déshonneur publique -> proposition subordonnée circonstancielle de comparaison.
- Le terme dépréciatif « populace » traduit le sentiment de supériorité de Madame de Rênal qui appartient à la noblesse ->point de vue interne.
>>L.20-23 : Madame de Rênal commet une erreur de jugement en ne faisant pas de distinction entre le jugement de Dieu et celui des Hommes mais le narrateur légitime cette attitude par son inexpérience.
>>L.24-25 : de nouveau, l’adultère est qualifié péjorativement + la relative et son antécédent traduisent l’acte répréhensible aux yeux de la société. Au 19eme siècle, l’adultère est un crime puni par la loi.
Madame de Rênal subit les affres de la jalousie L.25-31
>>L.25-27 : alors qu’elle envisage la possibilité de vivre avec Julien, dans une relation platonique -> adverbe « innocemment », elle est victime (« se trouvait jetée »=subit) de la jalousie. L’idée que Julien puisse en aimait en autre est une idée qui lui est insupportable -> adjectif «horrible»
>>L.27-31 : Elle se remémore un portrait que Julien lui avait demander de cacher sans le regarder, elle imagine alors que c’est une de ces rivale et interprète l’émotion de Julien en ce sens. Cette jalousie la plonge dans une douleur extrême -> tournure hyperbolique finale.
Conclusion
Madame de Rênal est l’objet d’émotions contraires puisqu’elles est tiraillée entre sa passion pour Julien Sorel et ce qu’elle doit à la morale; et, lorsque la crainte de l’opprobre public la laisse en paix, ce sont les assauts de la jalousie que l’héroïne subit.