Tableau de quelque animaux et leur mode de parade
Les trois échelles de la biodiversités sont : la diversité des espèces, la diversité des espèces et la diversité génétique.
Au sein d’une espèce, chaque individu porte les mêmes gènes dans ses molécules d’ADN. Ces gènes peuvent exister sous différentes versions appelées allèles. Ces différents allèles expliquent en partie la diversité des individus au sein d’une espèce. La diversité génétique des individus repose donc sur des différences entre les séquences d’ADN.
Les allèles sont issus de mutations qui sont apparues au fil des générations et qui ont été transmises à la descendance.
Les causes des crises biologiques peuvent être : dues à cause d'un volcanismes intenses et/ou l'impact de météorites, la destruction des habitats, la surexploitation des ressources, introduction d'espèces invasives, pollutions, changement climatique.
Les populations se séparent en sous-populations au cours du temps à cause de facteurs environnementaux (séparations géographiques) ou génétiques (mutations par exemple).
Chacune des sous-populations est soumise à la dérive génétique et à la sélection naturelle. Ces sous-populations vont évoluer indépendamment en cas d’isolement reproducteur, ce qui est à l’origine de la formation de nouvelles espèces : c’est la spéciation.
Dans le monde vivant, la communication correspond à la transmission d’un message d’un organisme émetteur vers un organisme récepteur, qui peut modifier son comportement en conséquence : par exemple, le grillon mâle chante, ce qui attire la femelle.
La communication intraspécifique est la communication entre individus d’une même espèce. Différents modes de communication permettent d’attirer les partenaires mâles et femelles, ce qui favorise la reproduction sexuée :
La communication est plus complexe et élaborée chez les espèces qui vivent en société que celles qui vivent en solitaire.
Chez de nombreuses espèces, l’accès aux femelles peut être comparé à une ressource limitante conduisant à un comportement de compétition chez les mâles : on parle de sélection sexuelle.
Si les femelles en viennent à préférer systématiquement des mâles émettant certains signaux, on parle de sélection sexuelle qui peut aboutir à du dimorphisme sexuel (exemple de la queue des hirondelles rustiques).
Tableau de quelque animaux et leur mode de parade
Les trois échelles de la biodiversités sont : la diversité des espèces, la diversité des espèces et la diversité génétique.
Au sein d’une espèce, chaque individu porte les mêmes gènes dans ses molécules d’ADN. Ces gènes peuvent exister sous différentes versions appelées allèles. Ces différents allèles expliquent en partie la diversité des individus au sein d’une espèce. La diversité génétique des individus repose donc sur des différences entre les séquences d’ADN.
Les allèles sont issus de mutations qui sont apparues au fil des générations et qui ont été transmises à la descendance.
Les causes des crises biologiques peuvent être : dues à cause d'un volcanismes intenses et/ou l'impact de météorites, la destruction des habitats, la surexploitation des ressources, introduction d'espèces invasives, pollutions, changement climatique.
Les populations se séparent en sous-populations au cours du temps à cause de facteurs environnementaux (séparations géographiques) ou génétiques (mutations par exemple).
Chacune des sous-populations est soumise à la dérive génétique et à la sélection naturelle. Ces sous-populations vont évoluer indépendamment en cas d’isolement reproducteur, ce qui est à l’origine de la formation de nouvelles espèces : c’est la spéciation.
Dans le monde vivant, la communication correspond à la transmission d’un message d’un organisme émetteur vers un organisme récepteur, qui peut modifier son comportement en conséquence : par exemple, le grillon mâle chante, ce qui attire la femelle.
La communication intraspécifique est la communication entre individus d’une même espèce. Différents modes de communication permettent d’attirer les partenaires mâles et femelles, ce qui favorise la reproduction sexuée :
La communication est plus complexe et élaborée chez les espèces qui vivent en société que celles qui vivent en solitaire.
Chez de nombreuses espèces, l’accès aux femelles peut être comparé à une ressource limitante conduisant à un comportement de compétition chez les mâles : on parle de sélection sexuelle.
Si les femelles en viennent à préférer systématiquement des mâles émettant certains signaux, on parle de sélection sexuelle qui peut aboutir à du dimorphisme sexuel (exemple de la queue des hirondelles rustiques).