- primitive : 80 % d’eau gazeuse, 15% CO2, peu de N2 ( expliqué par proportions gaz libérés lors éruptions volcaniques & chutes de météorites )
météorite = évaporation de l’eau , terre = massive retient les gaz = température diminue = liquéfaction
- actuelle : 78% N2, traces de CO2, eau liquide
-3,8 et -1,9 Ga = BIF, Roches composées d’alternances de bandes riches en oxyde de fer (Fe²⁺/Fe³⁺) et de silice, témoignent de la présence d’O₂ produit par les cyanobactéries.
-3.8 GA = stromatolites, structures produites par les cyanobactéries qui ont contribué à l’enrichissement en O₂. (absorbent CO₂ et rejettent O₂ via la photosynthèse), Alternance de bandes claires (carbonate de calcium, CaCO₃) et sombres (matière organique), existence prouvée par principe d’actualisme
-3,4 à -2,6 Ga = Uraninite , se forme en absence de dioxygène (O₂), transportée dans les eaux pauvres en O₂, preuve d’une atmosphère réductrice à cette époque.
-3.60 à -3.00 Ga (Carbonifère), Les forêts tropicales géantes augmentent le taux de O₂ (jusqu’à 35%). = source
à partir de -2.2 GA = Augmentation de O₂ : L'effet de la photosynthèse par les cyanobactéries (production d’oxygène et absorption de CO₂).
-2,2 Ga = Paléosols riches en hématite , Formation en présence d’O₂ dans l’atmosphère, indiquant son apparition progressive.
-0,815 Ga = Bulles de gaz dans le sel ( halite ), Teneur en O₂ atmosphérique mesurée à 10,9 % = augmentation significative.
Déclin progressif de CO₂, favorisant le développement d’organismes plus complexes. Les végétaux libèrent O₂ et consomment du CO₂ pendant la photosynthèse
Équilibre entre sources (photosynthèse) et puits (respiration, combustion).
1. Ride de courant fossilisée (-4,1 Ga)
structures similaires aux rides actuelles (littoral) prouvent la présence d’eau liquide à cette époque (Principe d’actualisme : comparaison avec les formations actuelles )
2. Conditions de température et de pression
-4,4 Ga et -4,1 Ga : T°C de surface = 100 à 200 °C, pression élevée (15 bars).
L’eau était liquide malgré les températures élevées grâce à la pression