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Post-Bac

Soins Palliatifs

LOI LÉONETTI - CLAYS




22 avril 2005 : le problème de l’arrêt thérapeutique chez les patients en fin de vie et limitation de traitement et à la médicalisation du déroulement de cet arrêt. ( cas Vincent Humbert)

2 février 2016 : définit les soins palliatifs soins actifs et continus pratiqués par une équipe interdisciplinaire en institution ou à domicile. Ils visent à soulager la douleur, à apaiser la souffrance psychique, à sauvegarder la dignité de la personne et à soutenir son entourage.

  • Pour le médecin suspendre ou de ne pas entreprendre des actes médicaux jugés « inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le maintien artificiel de la vie. Respecter la volonté du patient. Sauvegarder la dignité du mourant.


  • Refus de soins mettant en danger la vie d'une personne en état d'exprimer sa volonté. Médecin informe le patient. La décision doit être inscrite dans le dossier du patient et une démarche palliative doit être mise en oeuvre par le service.


  • Décision de limitation ou d'arrêt de traitement chez un patient qui n'est plus capable d'exprimer sa volonté.

Procédure collégiale : chercher les directives anticipée, avis de la personne de confiance, pour les majeurs protégés rechercher la posture du tuteur, se concerter avec un représentant de l'équipe de soins, prendre l'avis motivé d'au moins un médecin.


  • Notifier : Obligation d'une traçabilité des motifs de décision dans le dossier médical


  • Théorie du double effet : médecin peut utiliser des traitements pour soulager la souffrance même si ces traitements peuvent accélérer l'évolution naturelle de la maladie.


Définition

Directives Anticipée
Toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d’état d’exprimer sa volonté. - Daté / Signée / Identité / Modifiable / Sans limite de temps / Notifier dans le dossier de soins. Le médecin est tenu d’en tenir compte pour toute investigation, intervention ou traitement », mais RESTE LE DECISIONNAIRE.
Personne de confiance
quelle qu’en soit la cause et hors d’état d’exprimer sa volonté, a désigné une personne de confiance, l’avis de cette dernière, sauf urgence ou impossibilité, prévaut sur tout autre avis non médical, à l’exclusion des directives anticipées, dans les décisions d’investigation, d’intervention ou de traitement prises par le médecin. - Aide et assiste aux entretiens - Seulement consultée et ne se substitue pas au patient - En cas de conflit avec les proches , l'avis de la personne de confiance prévaudra sauf décision du juge. - Notifier dans le dossier
Différentes Sédations
- L’anxiolyse : Traitement visant à apaiser l’angoisse. Les patient reste conscient, communiquant. - La sédation simple : Le patient est endormi mais réveillable à la stimulation. - La sédation intermittente : Le patient est endormi et se réveille au bout de quelques heures à l’arrêt de l’injection. Cette sédation est programmable à la demande du patient. - La sédation profonde et continue jusqu’au décès. Le patient est endormi en profondeur et ne se réveillera pas.








Loi du 4 mars 2002 :

  • Droit au refus de tout traitements jugé inutile par le patient.
  • Droit du malade
  • Droit de l'information
  • Consentement du patient

Mécanisme de Défense























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22 avril 2005 : le problème de l’arrêt thérapeutique chez les patients en fin de vie et limitation de traitement et à la médicalisation du déroulement de cet arrêt. ( cas Vincent Humbert)

2 février 2016 : définit les soins palliatifs soins actifs et continus pratiqués par une équipe interdisciplinaire en institution ou à domicile. Ils visent à soulager la douleur, à apaiser la souffrance psychique, à sauvegarder la dignité de la personne et à soutenir son entourage.

  • Pour le médecin suspendre ou de ne pas entreprendre des actes médicaux jugés « inutiles, disproportionnés ou n’ayant d’autre effet que le maintien artificiel de la vie. Respecter la volonté du patient. Sauvegarder la dignité du mourant.


  • Refus de soins mettant en danger la vie d'une personne en état d'exprimer sa volonté. Médecin informe le patient. La décision doit être inscrite dans le dossier du patient et une démarche palliative doit être mise en oeuvre par le service.


  • Décision de limitation ou d'arrêt de traitement chez un patient qui n'est plus capable d'exprimer sa volonté.

Procédure collégiale : chercher les directives anticipée, avis de la personne de confiance, pour les majeurs protégés rechercher la posture du tuteur, se concerter avec un représentant de l'équipe de soins, prendre l'avis motivé d'au moins un médecin.


  • Notifier : Obligation d'une traçabilité des motifs de décision dans le dossier médical


  • Théorie du double effet : médecin peut utiliser des traitements pour soulager la souffrance même si ces traitements peuvent accélérer l'évolution naturelle de la maladie.


Définition

Directives Anticipée
Toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d’état d’exprimer sa volonté. - Daté / Signée / Identité / Modifiable / Sans limite de temps / Notifier dans le dossier de soins. Le médecin est tenu d’en tenir compte pour toute investigation, intervention ou traitement », mais RESTE LE DECISIONNAIRE.
Personne de confiance
quelle qu’en soit la cause et hors d’état d’exprimer sa volonté, a désigné une personne de confiance, l’avis de cette dernière, sauf urgence ou impossibilité, prévaut sur tout autre avis non médical, à l’exclusion des directives anticipées, dans les décisions d’investigation, d’intervention ou de traitement prises par le médecin. - Aide et assiste aux entretiens - Seulement consultée et ne se substitue pas au patient - En cas de conflit avec les proches , l'avis de la personne de confiance prévaudra sauf décision du juge. - Notifier dans le dossier
Différentes Sédations
- L’anxiolyse : Traitement visant à apaiser l’angoisse. Les patient reste conscient, communiquant. - La sédation simple : Le patient est endormi mais réveillable à la stimulation. - La sédation intermittente : Le patient est endormi et se réveille au bout de quelques heures à l’arrêt de l’injection. Cette sédation est programmable à la demande du patient. - La sédation profonde et continue jusqu’au décès. Le patient est endormi en profondeur et ne se réveillera pas.








Loi du 4 mars 2002 :

  • Droit au refus de tout traitements jugé inutile par le patient.
  • Droit du malade
  • Droit de l'information
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