Sido et la nature :
« Toute présence végétale agissait sur elle comme un antidote »
« Mes roses mousses ! Quelle horreur ! Sur un mort ! »
« Ma mère accordait aux points cardinaux, [...], une importance singulière. »
Sido, une mère hors du commun :
« Car j'aimais tant l'aube, déjà, qu'elle me l'accordait en récompense. »
L'admiration de colette pour sa mère :
« Je la chante, de mon mieux. Je célèbre la clarté originelle »
↳ Colette rend hommage à la pureté et à la sagesse de sa mère, la décrivant comme une lumière fondatrice.
Le temps des souffrances :
« Là je l'ai laissée quand je dus quitter ensemble le bonheur et mon plus jeune âge »
↳ Colette évoque son départ du foyer maternel, marquant la fin de l'enfance et du bonheur auprès de sa mère. Ce moment symbolise la transition vers l'âge adulte.
Colette et son père :
« Cela me semble étrange, à présent, que je l'aie si peu connu. »
L'exaltation de la nature :
« Ô déraniums, ô digitales... »
La nostalgie du monde de l'enfance :
« J'appartiens à un pays que j'ai quitté. »
Regard de Colette sur elle-même :
« Moi, j'aime ! J'aime tant tout ce que j'aime ! Si tu savais comme j'embellis tout ce que j'aime. »
« Si cette curiosité me quitte, qu'on m'ensevelisse, je n'existe plus. »
L'amour et ses souffrances :
« On sent un coeur vide, ridé »
« et vous voilà terrifiée, espérant la mort avec la conviction ingénue qu'on ne peut souffrir autant sans mourir... »
Le regard satirique sur la société :
« elle pleurait soigneusement, proprement, en petite martyre du maquillage »
↳ Colette met en lumière la pression des normes sociales qui poussent les femmes à privilégier l'apparence et la retenue au détriment de leur authenticité émotionnelle.
Sido et la nature :
« Toute présence végétale agissait sur elle comme un antidote »
« Mes roses mousses ! Quelle horreur ! Sur un mort ! »
« Ma mère accordait aux points cardinaux, [...], une importance singulière. »
Sido, une mère hors du commun :
« Car j'aimais tant l'aube, déjà, qu'elle me l'accordait en récompense. »
L'admiration de colette pour sa mère :
« Je la chante, de mon mieux. Je célèbre la clarté originelle »
↳ Colette rend hommage à la pureté et à la sagesse de sa mère, la décrivant comme une lumière fondatrice.
Le temps des souffrances :
« Là je l'ai laissée quand je dus quitter ensemble le bonheur et mon plus jeune âge »
↳ Colette évoque son départ du foyer maternel, marquant la fin de l'enfance et du bonheur auprès de sa mère. Ce moment symbolise la transition vers l'âge adulte.
Colette et son père :
« Cela me semble étrange, à présent, que je l'aie si peu connu. »
L'exaltation de la nature :
« Ô déraniums, ô digitales... »
La nostalgie du monde de l'enfance :
« J'appartiens à un pays que j'ai quitté. »
Regard de Colette sur elle-même :
« Moi, j'aime ! J'aime tant tout ce que j'aime ! Si tu savais comme j'embellis tout ce que j'aime. »
« Si cette curiosité me quitte, qu'on m'ensevelisse, je n'existe plus. »
L'amour et ses souffrances :
« On sent un coeur vide, ridé »
« et vous voilà terrifiée, espérant la mort avec la conviction ingénue qu'on ne peut souffrir autant sans mourir... »
Le regard satirique sur la société :
« elle pleurait soigneusement, proprement, en petite martyre du maquillage »
↳ Colette met en lumière la pression des normes sociales qui poussent les femmes à privilégier l'apparence et la retenue au détriment de leur authenticité émotionnelle.