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Sans titre

Comment est structuré la société française actuel ? 


Introduction : l’analyse de l’espace social chez Bourdieu 


Document polycopié 


Capital économique: ensemble des ressources économiques d’un individu que se soit ces revenu ou sont patrimoine matériel. 


Le faite de disposer du capital économique ça permet de posséder plus facilement les autres formes de capitaux 


Capital culturel: ressource culturel qui permette a un individu d’apprécier les biens et les pratique propre a la culture savante 


Capital social: Ensemble des ressource actuel ou potentiel qui sont lier a la possession d’un réseaux durable, de relation plus ou moins institutionnaliser ainsi d’interconnaissance et d’interreconnaissance  = un individu a un capital social d’autant plus important que sont réseaux de relations est grand attention toute les relation ne se valent pas et certaines sont plus profitable que d’autre 


Capital symbolique: Ça renvoie au notion de prestige et de reconnaissance social 


Pour faire apparaître la structure social d’un espace social il faut repérer des critères a partir de quel on peut distinguer des groupes sociaux qui composent cette espace. 


Espace social: Bourdieu le définit comme un espace structurer en fonction des distance social qui sépare les agents. Les individu sont positionnés dans cette espaces selon plus ou moins grande dotation en capital (Bourdieu distingue 4 capitaux) 



Section 1 : les multiples facteurs de structuration et de hiérarchisation de l’espace social 



  1 les PCS un outils statistiques d’analyse de la structure sociale 


Structure social : découpage de la population en catégorie ou groupe sociaux différencié au sein d’une société donner 





A) Description de la grille 


L’INSEE à élaborer une grille ou une nomenclature des professions , il s’agit de catégorie statistique qui permette de caractériser les individus et d’abord les actifs ( qui travaille ou en recherche d’emplois) selon leur profession et en même temps d’associé un statut social à l’activité professionnelle. La création nomenclature des CSP fut créer en 1954 et remplacer par les PCS en 1982. Les PCS ont objet de classer l’ensemble de la population en un nombre restreint de catégorie présentent chacune une certaine homogénéité social, il s’agissait à la fois de présenter une certaines réalité social = approche réaliste et cela renvoie à Marx et c’est en même outil qui a été construit par les sociologiques et qui permet de classer les individus cela renvoie à une approche nominaliste (Weber). On peut terminer en disant que la nomenclature elle est multidimensionnelle car elle est le résultat de la combinaison de plusieurs critères.


Les critères de construction :


  • l’activité professionnelle
  • le niveau hiérarchique
  • Qualification de l’emploie
  • Statut juridique ( salarier ou non)
  • Secteur public ou privé 


8 catégorie : 1. agriculteur exploitants 2. Artisans, commerçants, chef d’entreprise 3. Cadres et profession intellectuelles supérieures 4. Profession intermédiaire 5. Employés 6. Ouvriers 7. Retraités 8. Autres personnes sans activité professionnelle 


Il y’a 486 profession différentes. 


Document polycopier 


B) Les avantages et les limites des PCS 


  1. les avantages 


—> Cela permet d’étudier les pratiques économique et culturel, comprendre les mutations de la société parce que cela donne une vision quantifié de la structure social. L’évolution des groupes sociaux professionnel révèles les transformations sociaux économiques de la société au cours depuis les années 50 : 


  • tertiarisation de l’économie 
  • Extension du salariat 
  • Monter des qualifications


—> mesurer les inégalités économiques et social 




2) les limites 


À partir des années 80, les PCS font l’objet de critiques diverse : 

 —> identifier les individus par leur seul situation professionnelle conduit à regrouper des individus très différents ( mode de vie, croyances, origines) de La même façon des individus aux caractéristiques social assez proche peuvent se retrouver éparpiller dans des catégories bien différentes.

 —> le critère de la profession est insuffisant pour représenter à l’heure où la part des emplois atypiques tant à augmenter ( CDD intérim…)

—> la montée du chômage et de la précarité ne sont pas directement visible dans les PCS.


Pierre Rosanvallon, dans son ouvrage « la nouvelle question social » sont souvent plus importante que entre les différentes catégories social. Il préconise donc d’utiliser d’autres critère comme le revenu, l’âge, le diplôme ou le lieu de résidence.



Remarque schéma : 


Critère de distinction : activité (actif ou inactif), statut, niveau de qualification et secteur d’activité 



2 Les autres critères de classement possibles  



C) Les revenus


Revenus : il est principalement constitué d’argent perçu par une personne au cours d’une période donner. On utilise principalement 


Revenu disponible : Revenu que possède réellement un ménage pour consommer ou épargnés 


Revenu primaire = revenu du capital + revenu mixtes  


Prélèvements obligatoire = impôts + cotisation social


Revenus mixtes = travail +capital 


  


D) La composition du ménage 


Ménage : ensemble des occupants d’un même logement qu’il est ou non des liens de parenté ( famille, un couple, une personne seul)


Revenu médian : il y’a la moitié de la population qui touche en dessous et l’autre moitié qui tout au dessus.


La composition du ménage qui prend en compte la composition du ménage ainsi que leur âge influence le niveau de vie d’un ménage. Avoir des enfants donne droits à des prestation social.


Être seul accroit la possibilité d’être pauvre = femme seul avec enfant 


Document 1p70 


E) Le diplôme 


Le diplôme c’est un titre délivré par une autorité d’un niveau d’enseignement, un degré d’aptitude et de connaissance. Le diplôme est un critère de classement dans les PCS car pour entrer dans les cadres, il faut avoir une qualification élever. En France, il y’a peu de cadre sans diplôme car il y’a peu de promotion interne et il y’a peu de diplômé qui reste ouvrier car ils vont chercher un meilleurs emplois.


Qualification : ensemble de connaissance, des aptitudes et des expérience nécessaires pour un emploi déterminer. On parle de qualification d’un emplois ou d’un poste déterminer ou qui est susceptible de mettre en oeuvre un individu = on parle de qualification individuelle ( ex = prof bac plus 5)


F) La position dans le cycle de la vie 


Le cycle de vie: place de l’individuel dans les différents étapes de la vie 


A chaque étape de la vie sont associé des caractéristiques matériel et certains comportements distincts ( ex : utilisation du numérique différentes entre parents et enfants ) l’âge de l’individu à une incidence par rapport à l’emploi. Le taux de chômage des jeunes actifs ( - 25 ans ) il est particulièrement élever. Il faut savoir que les jeunes sont d’avantage toucher par la précarité et la pauvreté que les séniors. Le critère de l’âge fait donc apparaitre des inégalités intergénérationnel  


Document 4p169 


G) les autres critères 


Dans le secteur publique il y’a pas d’écart de rémunérations entre les hommes et les femmes. Elles ont moins accès à des postes à responsabilité. Elle sont bien plus toucher par les violences intra familial et sexuel. Les femmes elles ont une double journée de travail. Elles sont moins visible dans le domaine sportif et culturel.


Le premier critère 


-> le sexe : s’explique par la socialisation différencié cela conduit aujourd’hui à ce qu’on appelle la deuxième journée de travaille pour les femmes donc avec les taches domestiques et s’occuper des enfants cela à des répercussion dans le monde du travail ( plus toucher par le temps partiel, elle accepte moins des postes à responsabilité, occupe des emplois moins rémunérés 


Socialisation différencié : fille et garçons = pas socialiser de la même manière ce qui conduit à intérioriser des stéréotypes de genres


-> le lieu de résidence : la répartition des ressources publique est inégalement réaliser sur le territoire ( ex : habitant de la Seine Saint Denis ont moins accès au service publique que les parisiens ) cette inégalités d’accès au services publique ont des conséquences à la réussite scolaire, l’accès à l’emploi ce qui à un impact sur la place des individus dans l’espace social.


-> le handicap : 38 % seulement des personnes reconnu comme handicap ont un emplois don deux fois plus toucher par le chômage. Chaque entreprise de plus de 20 salariés doit avoir au moins 6 % de son personnel en situation handicap.


Documents 1p168 


Section 2 : Les principales évolutions de la structures de la socioprofessionnelle en France depuis les années 1950 


1 La salarisation 


En France, 10 % des emplois sont non salarier et 90 % des emplois sont salarier.



Salarisation de l’emploi correspond à l'accroissement de la part des emplois salariés dans l'ensemble des emplois.


Depuis un siècle, en France on a une augmentation des emplois salariés sur l’emplois total même si environ plus de 10 ans on a de plus en plus d’emplois non salariés. (Cause) La part des indépendant et des artisans diminuent du faite que les entreprises vont chercher à fidéliser leur salarier et de l’autre les individus cherchent un salaire fixe avec des droits sociaux.


Document 1p172 


2 La tertiarisation de l’économie 


On distingue le tertiaire marchand et le tertiaire non marchand 


Tertiaire marchand : commerce, transport, activités financières, restauration


Tertiaire non marchand : l’enseignement, santé humaine 


Tertiarisation : c’est la tendance à l’augmentation et à la prédominance de la part des activités tertiaires 



Les deux principales causes de la tertiairisation : 


- Les gains de productivité dans l’agriculture et dans l’industrie 


- L’augmentation de la demande des services en quantité et en qualité 



Document 2p172 et 3p173 


3 L’élévation du niveau de qualification 


Il y’a une augmentation du niveau de diplôme lier à la massification scolaire voulu par l’état, la hausse et la demande du travail qualifié qui est lié au progrès technique.


La hausse du niveau de vie qui incite les individus à faire des études plus long pour occuper des emplois plus qualifier. Cela ne signifie pas que l’emplois non qualifier disparais.



Document 1p174 


4 La féminisation des emplois 


La féminisation des emplois : c’est l’augmentation de la part des emplois occuper par des femmes. Il faut savoir que tertiairisation et féminisation et fortement lié. Le développement tertiaire a ouvert des emplois au femmes qui souhaitais entrer sur le marché du travail.


Les femmes occupent d’autres secteurs d’activités dans d’autres secteurs plus important. Certains métiers sont quasiment exclusivement exercer par des hommes et inversement.


Cette féminisation est illégales selon les métiers et le niveau de responsabilité. Les femmes sont principalement toucher par la précarisation et des emplois atypiques. 


Doc 2p176 et 4p177 


Section 3 : Les théories des classes sociales et de la stratification social dans la tradition sociologique. 


1 L’analyse marxiste: Une approche réaliste ( courant sociologique) 


Réalisme = courant sociologique 


Pour ce courant, les classes sociales existent en tant que tel, elle ne sont donc pas une construction abstraite du sociologue Henri Lefebvre : « Marx n’est pas un sociologue mais il y a une sociologie dans le Marxisme.


D’après Marx le développement historique des sociétés réside dans le rapport d’opposition que nous les individus en fonction de leur condition matériel des distance qui sont lié à leur place dans le processus de production. On qualifie la théorie de Marx de matérialisme historique.


Pour Marx, les classes sociales est un groupement d’individus qui occupe la même classe dans le monde de production. Cette place est définit 

Placer dans les mêmes conditions matériels des distances, développe une conscience de classe qui débouchent sur la lutte des classes. 


Marx distingue deux grandes catégories de classes sociales 


la classe en soi, elle existe de fait sans que ces membres en est conscience.


la classes pour soi est une classe dont les membres ont conscience de former une classe et sont amené à lutter contre les autres classes.


À l’époque de Marx nous allons avoir une opposition entre deux classes, deux classes qui ont des places antagoniste au sein du mode de production : 


Bourgeoisie : il possède des moyens de production 


Prolétariat : il n’ont que leur force de travail qu’il vende pour vivre 


C’est donc la conscience de classe qui va pousser la classe ouvrière à s’organiser et à lutter contre la bourgeoisie pour prendre le pouvoir politique.


Pour Marx, les conflits sont des conflits d’intérêt de classe entre ceux qui ont intérêt à ce que la situation perdure et ceux qui ont intérêt à ce que la situation change. Le conflit traduit une relation de domination, il exprime la contestation d’un système de pouvoir.


Pour Marx, ces conflits sont inéluctables et se font de manière rapide et violente ( aspect révolutionnaire) dans la société capitaliste la lutte des classes est un conflit irréductible et permanent entre la bourgeoisie et le prolétariat il doit trouver son aboutissement dans la révolution social qui précipitera l’effondrement de la société capitaliste. 


Pour Marx « l’histoire de toute société jusqu’à nous et celle de la lutte des classes »


En conclusion : 


On peut dire que les conflits de classes chez Marx sont donc au centre du changement social puisqu’il conduire à la révolution. L’analyse de Marx est contester mais elle en demeure pas moins pertinente car les classes sont des groupes sociaux qui existe objectivement. 


Groupe sociaux : ensemble d’individus entretenant des relations direct ou indirect et qui ont conscience de appartenir au même groupe.



Document 2p178 et 3p179 


2 L’analyse de Weber : une analyse nominaliste 


Dans l’approche nominaliste, les classes sociale n’existe pas en tant que tel dans la réalité, elles sont une construction abstraite du sociologue. 


Pour Weber, la stratification s’explique par une distribution inégale du pouvoir 


Stratification sociale : découpage des sociétés en catégorie hiérarchiser présentant en leur sein une certaine homogénéité et qui résulte des différences sociales associé aux inégalités de richesses, de pouvoir, de prestige ou de connaissance. 


Cette distribution est fonction de structure de domination stable à l’intérieur de la société que l’ont peut approcher au travers de trois critères. 


Weber met en évidence 3 groupes sociétés et à ces 3 composantes des divisions sociales correspondent à 3 sphères d’activités : 


  • Ordre économique 
  • Ordre social
  • Ordre politique 

Pour Weber contrairement à Marx n’est qu’une dimension de stratification sociale parmi d’autres. Cette situation de classe correspond à la situation occupé par les individus sur le marché. C’est l’ensemble des personnes qui occupent une même situation économique.


Le pouvoirs que les individus sont en mesure d’exercer dans le monde du travail est dépendant du type de bien qu’il possède (par exemple leur force de travail) et qu’il peuvent apporter sur le marcher dans le but de générer un revenu ( leur force de travail). C’est la détention ou la non propriété qui détermine la situation de classe


Situation de classe : c’est à dire les opportunités d’exercer un pouvoir dans la sphère économique.


Ces situations de classes constituent un déterminant important des champs des individus face à la vie. Le degrés de pouvoir que l’on est en mesure d’exercer sur le marcher donne lieu à des conditions de vie et des expériences différentes.


La différenciations des situations de classes est à considérer selon le type de possessions dont l’ont tire des bénéfices. On a d’un côté les classes possédantes ( les rentiers) et de l’autre les entrepreneurs qu’il mène leur capital de travail pour produire de nouvelles richesses ( classes d’acquisitions) 


Le deuxième critères de différenciation des situations de classes sont les types de service que l’ont peut offrir sur le marcher. Avec ce second critères on a d’un côté les classes de production positivement privilégier et de l’autre les classes de négativement privilégier. Autrement dit, la classe au sens de Weber est un groupe réunissant dans une dynamique de reproduction familiale des situation de classes socialement proche.


Weber, il distingue 4 classes sociales : 


  • la classe ouvrière 
  • La petite bourgeoisie 
  • Les intellectuel et les techniciens sans possessions 
  • La classe possédantes 


La situation statutaire : 


Weber pense que la société est structuré par autre chose que le système de marché. Des liens de natures extra économique associe les individus et les intègre socialement donc la situation statutaire est fonder sur le prestige dont bénéfice d’un individus dans l’ordre social ou dans sa communautés.


La distribution inégale du prestige est par conséquent à la base d’une autre hiérarchie que celle qui prévaut face au marché. Cette distribution inégale donne lieu à la constitution du groupe de statue qui ont un prestige et un honneur social différent au sein de la société 


Le prestige selon Weber : c’est un privilège positif ou négatif d’une considération social qui est fondé sur son style de vie, son niveau d’instruction, qui est lié à la naissance ou encore la profession.


La situation statutaire est donc une réalité soumise à la considération et à la perception des autres individus et qui s’appuie sur des éléments objectif. Cette reconnaissance dépend de la conformité de notre style de vie par rapport à ce qui est dévaloriser dans la société.


Weber, il indique que les groupes de statue sont stratifier en fonction de leurs « principes de consommation » dont de leur style de vie. Les groupes de statue dresse des barrières sociales par l’intermédiaires de pratique excluante.


Weber, il introduit une troisième dimension pour essayer d’expliquer le faite que certaines classes sociales, que certains groupe de statue se mobilise autour d’intérêt commun. Pour lui, le parti est une organisation dans laquelle des individus se regroupe en vue du contrôle de l’état que cette action collective soit lié à des groupes sociaux réelles ou non. 


La distribution du pouvoir de commander n’est pas répartie de manière égalitaire que ce soit pour les entreprises ou l’état.


Conclusion : weber, il développe une analyse multidimensionnelle dans la stratification sociale, il y’a trois dimensions qui correspondent à trois sphère d’activité différentes c’est autour de ces trois dimensions qui se cristallise la distribution inégal du pouvoir dans la société. 


Définition classes sociales : ensemble d’individus qui partagent certain critères lié à la position sociales ( le revenus, les pratiques) mais c’est aussi un groupe sociale pris dans une hiérarchie et donc il y’a des inégalités entre les classes sociales 


Et enfin, c’est une des manières de penser à la stratification sociale mais il y’en a d’autre 



Document 1p180 et 4p181 


Section 4 : L’approche en termes de classes sociales : Une approche en débat 



1 L’évolution des distances inter- et intra-classes 


La distance inter-classe elle mesure l’écart entre la position matérielle, les pratiques et les représentation entre deux classes différentes. 


La distance intra-classe elle mesure l’écart entre la position matérielle, les pratiques et les représentation à l’intérieur d’une même classe 


  1. Le phénomène de moyennisation sociale 


La moyennisation c’est la réduction des écarts inter-classes donc il y’a moins d’inégalités de revenus depuis 194. Il y’a un phénomène de massification scolaire ( plus d’individus à l’école et diplômer) mais aussi il y’a d’avantages de PCS intermédiaires. 


Henry Mendras : c’est celui qui a vraiment développé le concept de moyennisation c’est à dire le développement d’une vaste classe moyenne.


Dans l’analyse de Mendras seuls les extrémités de la toupie n’appartient pas à la classe moyenne 


Document 1p182 + Polycopier 


B) La persistance des écarts interclasses et intra-classes 


Le temps de la classe ouvrière homogène est révolue mais il reste quand même des clivages matérielles et culturelles entre classes (ex : ouvriers pratiques l’autocensure culturel) 


Au sein des employés, il y’a des distances intra-classes car c’est un monde hétérogène 


Document 3p183 


2 L’articulation des classes sociales avec les rapports sociaux de genre 


Les rapport sociaux de genre : système de bicatégorisation hiérarchiser entre les sexes et entre les représentation qui y sont associées.


Cette expression elle mets l’accent sur la dimension conflictuel de ces rapports qui s’établissent à l’avantage d’un groupe sur un autre. À travers le genre, on se représente le monde en distinguant ce qui relève du féminin et ce qui relève du masculin, la notion de genre masculin renvoie au valeur ou au représentation qui sont associé au sexe ( masculin ou féminin) 




Document 2p184 et 3p185 


3 L’identification subjective a un groupe social 


Cette identification subjective a un groupe peut ne pas correspondre à la position objective de l’individu dans l’espace social. ( ex : les individus qui appartiennent au classe populaire ont parfois tendance à se positionner dans la classe moyenne). 


Pour analyser des n’identifiât ion subjectives ont peut s’intéresser aux enquête par questionnaire ( sondage) qui sont régulièrement réaliser sur le sentiment d’appartenance à une classe sociale.Ces enquêtes montrent que le sentiment d’appartenance n’a pas disparu mais qu’ils concernent davantage les milieux Les plus favoriser et notamment les cadres et les professions intellectuelles supérieurs. 


Cela rejoint l’analyse des classes supérieurs ou de la grande bourgeoisie comme véritable classes social à la fois classe en sois et classe pour sois. Les enquêtes sociologiques de terrains montre que certains ouvrier à cause du stigmates auquel cette classification renvoie. 

Caractéristique du stigmates : Ouvrier faible niveau d’éducation, de revenu, en bas de l’échelle social et il est précaire.


Il y’a pour certains individus une honte d’appartenir au monde ouvrier. Au sein du monde ouvrier il y’a une ligne de fracture entre ouvrier qualifié et ouvrier non qualifié. On retrouve ici une distance intra classe. 


À l’hétérogénéité objective mesure par la distance intra-classe s’ajoute une hétérogénéité subjective lié à une volonté de certains ouvrier de ne pas s’identifier ou de ne pas être identifié comme ouvrier. C’est l’inverse pour la haute bourgeoisie.


Le travail reste la principale source d’identification en France et d’autre source d’identification peuvent être utiliser : les loisirs, la pratique religieuse, la vie de couple où la vie de famille notamment au sein des classes populaire.





Document 2p186 et 4p187 


4 La multiplication des facteurs d’individualisation


L’individualisation des rapports sociaux et de manière générale la montée de l’individualisme ainsi que les distances intra-classes affaiblit la conscience de classe. Au sens sociologique il s’agit de l’affirmation de l’autonomie de l’individu par rapport aux valeurs de normes et au norme de ces groupes d’appartenance et de la société. L’individualisation elle est aussi arrivé dans le travail :


—> personnalisation des conditions d’emplois ( horaire , rémunération objectif) les horaires flexibles c’est d’autant plus vrais pour les cadres, il vont avoir une liberté dans leurs horaire à condition de faire les missions ou les tâcher qui leur sont assigné. 

L’entretient individuelle permet de discuter des performances, des objectifs, de la rémunération et de l’évolution de chaque salarier. Les salarier résonne davantage en terme individuel, il sont moins conscient des enjeux collectif. Les nouvelles technologies peuvent avoir tendance à renforcer se phénomène d’individualisation. Baisse du sentiment à une classe social + individualisation de la classe social. Défavorable à la mobilisation collective.


La hausse du niveau de vie permet quasi généraliser au bien d’équipement durable cela homogénéise les modes de vies et donne le sentiment aux individus d’appartenir plutôt à la classe moyenne et par contre à l’intérieur des classes sociales il y’a des situations de plus en plus varier en terme de conditions d’emplois et de revenu par exemple entre ceux qui ont un emplois précaire ou ceux qui ont un emplois stable. Les distances intra-classe s’accroissent ou les distances interclasse se resserre.


Conclusion : la classe social n’apparaît plus forcément comme un outil pertinent d’analyse des inégalités.


Rapport sociaux : type de relation et d’interaction entre les groupes sociaux.


Le sentiment d’injustice est partagé par les classes populaires ne permet pas plus forcément d’en faire une classe social car ils partagent d’autres critères d’identification. L’individu se définit tout simplement par son identification de classes d’autre critères d’identification prennent de l’importance pour son identification à un groupe social de référence. Les autres critères sont le genre, l’origine ethnique, le lieu de référence.


Ces rapport sociaux ont un peu de différent, ils ont des différences : existence d’inégalité —> intra-classe qui vont être lié à l’âge, au genre parfois plus importante que les inégalités interclasse. Apparition de conflit et de revendication autre que ceux lié à l’appartenance de classe (ex les gilets jaune) 


Si on a des inégalités intra classe plus importante que les inégalités interclasses cela veut dire que d’autre critères que la place dans le système productif sont pertinent pour analyser la structuration social.


Document 3 et 4p189 

une fiche de révision aérer et pas trop longue mais du contenu un peu quand même


Sans titre

Comment est structuré la société française actuel ? 


Introduction : l’analyse de l’espace social chez Bourdieu 


Document polycopié 


Capital économique: ensemble des ressources économiques d’un individu que se soit ces revenu ou sont patrimoine matériel. 


Le faite de disposer du capital économique ça permet de posséder plus facilement les autres formes de capitaux 


Capital culturel: ressource culturel qui permette a un individu d’apprécier les biens et les pratique propre a la culture savante 


Capital social: Ensemble des ressource actuel ou potentiel qui sont lier a la possession d’un réseaux durable, de relation plus ou moins institutionnaliser ainsi d’interconnaissance et d’interreconnaissance  = un individu a un capital social d’autant plus important que sont réseaux de relations est grand attention toute les relation ne se valent pas et certaines sont plus profitable que d’autre 


Capital symbolique: Ça renvoie au notion de prestige et de reconnaissance social 


Pour faire apparaître la structure social d’un espace social il faut repérer des critères a partir de quel on peut distinguer des groupes sociaux qui composent cette espace. 


Espace social: Bourdieu le définit comme un espace structurer en fonction des distance social qui sépare les agents. Les individu sont positionnés dans cette espaces selon plus ou moins grande dotation en capital (Bourdieu distingue 4 capitaux) 



Section 1 : les multiples facteurs de structuration et de hiérarchisation de l’espace social 



  1 les PCS un outils statistiques d’analyse de la structure sociale 


Structure social : découpage de la population en catégorie ou groupe sociaux différencié au sein d’une société donner 





A) Description de la grille 


L’INSEE à élaborer une grille ou une nomenclature des professions , il s’agit de catégorie statistique qui permette de caractériser les individus et d’abord les actifs ( qui travaille ou en recherche d’emplois) selon leur profession et en même temps d’associé un statut social à l’activité professionnelle. La création nomenclature des CSP fut créer en 1954 et remplacer par les PCS en 1982. Les PCS ont objet de classer l’ensemble de la population en un nombre restreint de catégorie présentent chacune une certaine homogénéité social, il s’agissait à la fois de présenter une certaines réalité social = approche réaliste et cela renvoie à Marx et c’est en même outil qui a été construit par les sociologiques et qui permet de classer les individus cela renvoie à une approche nominaliste (Weber). On peut terminer en disant que la nomenclature elle est multidimensionnelle car elle est le résultat de la combinaison de plusieurs critères.


Les critères de construction :


  • l’activité professionnelle
  • le niveau hiérarchique
  • Qualification de l’emploie
  • Statut juridique ( salarier ou non)
  • Secteur public ou privé 


8 catégorie : 1. agriculteur exploitants 2. Artisans, commerçants, chef d’entreprise 3. Cadres et profession intellectuelles supérieures 4. Profession intermédiaire 5. Employés 6. Ouvriers 7. Retraités 8. Autres personnes sans activité professionnelle 


Il y’a 486 profession différentes. 


Document polycopier 


B) Les avantages et les limites des PCS 


  1. les avantages 


—> Cela permet d’étudier les pratiques économique et culturel, comprendre les mutations de la société parce que cela donne une vision quantifié de la structure social. L’évolution des groupes sociaux professionnel révèles les transformations sociaux économiques de la société au cours depuis les années 50 : 


  • tertiarisation de l’économie 
  • Extension du salariat 
  • Monter des qualifications


—> mesurer les inégalités économiques et social 




2) les limites 


À partir des années 80, les PCS font l’objet de critiques diverse : 

 —> identifier les individus par leur seul situation professionnelle conduit à regrouper des individus très différents ( mode de vie, croyances, origines) de La même façon des individus aux caractéristiques social assez proche peuvent se retrouver éparpiller dans des catégories bien différentes.

 —> le critère de la profession est insuffisant pour représenter à l’heure où la part des emplois atypiques tant à augmenter ( CDD intérim…)

—> la montée du chômage et de la précarité ne sont pas directement visible dans les PCS.


Pierre Rosanvallon, dans son ouvrage « la nouvelle question social » sont souvent plus importante que entre les différentes catégories social. Il préconise donc d’utiliser d’autres critère comme le revenu, l’âge, le diplôme ou le lieu de résidence.



Remarque schéma : 


Critère de distinction : activité (actif ou inactif), statut, niveau de qualification et secteur d’activité 



2 Les autres critères de classement possibles  



C) Les revenus


Revenus : il est principalement constitué d’argent perçu par une personne au cours d’une période donner. On utilise principalement 


Revenu disponible : Revenu que possède réellement un ménage pour consommer ou épargnés 


Revenu primaire = revenu du capital + revenu mixtes  


Prélèvements obligatoire = impôts + cotisation social


Revenus mixtes = travail +capital 


  


D) La composition du ménage 


Ménage : ensemble des occupants d’un même logement qu’il est ou non des liens de parenté ( famille, un couple, une personne seul)


Revenu médian : il y’a la moitié de la population qui touche en dessous et l’autre moitié qui tout au dessus.


La composition du ménage qui prend en compte la composition du ménage ainsi que leur âge influence le niveau de vie d’un ménage. Avoir des enfants donne droits à des prestation social.


Être seul accroit la possibilité d’être pauvre = femme seul avec enfant 


Document 1p70 


E) Le diplôme 


Le diplôme c’est un titre délivré par une autorité d’un niveau d’enseignement, un degré d’aptitude et de connaissance. Le diplôme est un critère de classement dans les PCS car pour entrer dans les cadres, il faut avoir une qualification élever. En France, il y’a peu de cadre sans diplôme car il y’a peu de promotion interne et il y’a peu de diplômé qui reste ouvrier car ils vont chercher un meilleurs emplois.


Qualification : ensemble de connaissance, des aptitudes et des expérience nécessaires pour un emploi déterminer. On parle de qualification d’un emplois ou d’un poste déterminer ou qui est susceptible de mettre en oeuvre un individu = on parle de qualification individuelle ( ex = prof bac plus 5)


F) La position dans le cycle de la vie 


Le cycle de vie: place de l’individuel dans les différents étapes de la vie 


A chaque étape de la vie sont associé des caractéristiques matériel et certains comportements distincts ( ex : utilisation du numérique différentes entre parents et enfants ) l’âge de l’individu à une incidence par rapport à l’emploi. Le taux de chômage des jeunes actifs ( - 25 ans ) il est particulièrement élever. Il faut savoir que les jeunes sont d’avantage toucher par la précarité et la pauvreté que les séniors. Le critère de l’âge fait donc apparaitre des inégalités intergénérationnel  


Document 4p169 


G) les autres critères 


Dans le secteur publique il y’a pas d’écart de rémunérations entre les hommes et les femmes. Elles ont moins accès à des postes à responsabilité. Elle sont bien plus toucher par les violences intra familial et sexuel. Les femmes elles ont une double journée de travail. Elles sont moins visible dans le domaine sportif et culturel.


Le premier critère 


-> le sexe : s’explique par la socialisation différencié cela conduit aujourd’hui à ce qu’on appelle la deuxième journée de travaille pour les femmes donc avec les taches domestiques et s’occuper des enfants cela à des répercussion dans le monde du travail ( plus toucher par le temps partiel, elle accepte moins des postes à responsabilité, occupe des emplois moins rémunérés 


Socialisation différencié : fille et garçons = pas socialiser de la même manière ce qui conduit à intérioriser des stéréotypes de genres


-> le lieu de résidence : la répartition des ressources publique est inégalement réaliser sur le territoire ( ex : habitant de la Seine Saint Denis ont moins accès au service publique que les parisiens ) cette inégalités d’accès au services publique ont des conséquences à la réussite scolaire, l’accès à l’emploi ce qui à un impact sur la place des individus dans l’espace social.


-> le handicap : 38 % seulement des personnes reconnu comme handicap ont un emplois don deux fois plus toucher par le chômage. Chaque entreprise de plus de 20 salariés doit avoir au moins 6 % de son personnel en situation handicap.


Documents 1p168 


Section 2 : Les principales évolutions de la structures de la socioprofessionnelle en France depuis les années 1950 


1 La salarisation 


En France, 10 % des emplois sont non salarier et 90 % des emplois sont salarier.



Salarisation de l’emploi correspond à l'accroissement de la part des emplois salariés dans l'ensemble des emplois.


Depuis un siècle, en France on a une augmentation des emplois salariés sur l’emplois total même si environ plus de 10 ans on a de plus en plus d’emplois non salariés. (Cause) La part des indépendant et des artisans diminuent du faite que les entreprises vont chercher à fidéliser leur salarier et de l’autre les individus cherchent un salaire fixe avec des droits sociaux.


Document 1p172 


2 La tertiarisation de l’économie 


On distingue le tertiaire marchand et le tertiaire non marchand 


Tertiaire marchand : commerce, transport, activités financières, restauration


Tertiaire non marchand : l’enseignement, santé humaine 


Tertiarisation : c’est la tendance à l’augmentation et à la prédominance de la part des activités tertiaires 



Les deux principales causes de la tertiairisation : 


- Les gains de productivité dans l’agriculture et dans l’industrie 


- L’augmentation de la demande des services en quantité et en qualité 



Document 2p172 et 3p173 


3 L’élévation du niveau de qualification 


Il y’a une augmentation du niveau de diplôme lier à la massification scolaire voulu par l’état, la hausse et la demande du travail qualifié qui est lié au progrès technique.


La hausse du niveau de vie qui incite les individus à faire des études plus long pour occuper des emplois plus qualifier. Cela ne signifie pas que l’emplois non qualifier disparais.



Document 1p174 


4 La féminisation des emplois 


La féminisation des emplois : c’est l’augmentation de la part des emplois occuper par des femmes. Il faut savoir que tertiairisation et féminisation et fortement lié. Le développement tertiaire a ouvert des emplois au femmes qui souhaitais entrer sur le marché du travail.


Les femmes occupent d’autres secteurs d’activités dans d’autres secteurs plus important. Certains métiers sont quasiment exclusivement exercer par des hommes et inversement.


Cette féminisation est illégales selon les métiers et le niveau de responsabilité. Les femmes sont principalement toucher par la précarisation et des emplois atypiques. 


Doc 2p176 et 4p177 


Section 3 : Les théories des classes sociales et de la stratification social dans la tradition sociologique. 


1 L’analyse marxiste: Une approche réaliste ( courant sociologique) 


Réalisme = courant sociologique 


Pour ce courant, les classes sociales existent en tant que tel, elle ne sont donc pas une construction abstraite du sociologue Henri Lefebvre : « Marx n’est pas un sociologue mais il y a une sociologie dans le Marxisme.


D’après Marx le développement historique des sociétés réside dans le rapport d’opposition que nous les individus en fonction de leur condition matériel des distance qui sont lié à leur place dans le processus de production. On qualifie la théorie de Marx de matérialisme historique.


Pour Marx, les classes sociales est un groupement d’individus qui occupe la même classe dans le monde de production. Cette place est définit 

Placer dans les mêmes conditions matériels des distances, développe une conscience de classe qui débouchent sur la lutte des classes. 


Marx distingue deux grandes catégories de classes sociales 


la classe en soi, elle existe de fait sans que ces membres en est conscience.


la classes pour soi est une classe dont les membres ont conscience de former une classe et sont amené à lutter contre les autres classes.


À l’époque de Marx nous allons avoir une opposition entre deux classes, deux classes qui ont des places antagoniste au sein du mode de production : 


Bourgeoisie : il possède des moyens de production 


Prolétariat : il n’ont que leur force de travail qu’il vende pour vivre 


C’est donc la conscience de classe qui va pousser la classe ouvrière à s’organiser et à lutter contre la bourgeoisie pour prendre le pouvoir politique.


Pour Marx, les conflits sont des conflits d’intérêt de classe entre ceux qui ont intérêt à ce que la situation perdure et ceux qui ont intérêt à ce que la situation change. Le conflit traduit une relation de domination, il exprime la contestation d’un système de pouvoir.


Pour Marx, ces conflits sont inéluctables et se font de manière rapide et violente ( aspect révolutionnaire) dans la société capitaliste la lutte des classes est un conflit irréductible et permanent entre la bourgeoisie et le prolétariat il doit trouver son aboutissement dans la révolution social qui précipitera l’effondrement de la société capitaliste. 


Pour Marx « l’histoire de toute société jusqu’à nous et celle de la lutte des classes »


En conclusion : 


On peut dire que les conflits de classes chez Marx sont donc au centre du changement social puisqu’il conduire à la révolution. L’analyse de Marx est contester mais elle en demeure pas moins pertinente car les classes sont des groupes sociaux qui existe objectivement. 


Groupe sociaux : ensemble d’individus entretenant des relations direct ou indirect et qui ont conscience de appartenir au même groupe.



Document 2p178 et 3p179 


2 L’analyse de Weber : une analyse nominaliste 


Dans l’approche nominaliste, les classes sociale n’existe pas en tant que tel dans la réalité, elles sont une construction abstraite du sociologue. 


Pour Weber, la stratification s’explique par une distribution inégale du pouvoir 


Stratification sociale : découpage des sociétés en catégorie hiérarchiser présentant en leur sein une certaine homogénéité et qui résulte des différences sociales associé aux inégalités de richesses, de pouvoir, de prestige ou de connaissance. 


Cette distribution est fonction de structure de domination stable à l’intérieur de la société que l’ont peut approcher au travers de trois critères. 


Weber met en évidence 3 groupes sociétés et à ces 3 composantes des divisions sociales correspondent à 3 sphères d’activités : 


  • Ordre économique 
  • Ordre social
  • Ordre politique 

Pour Weber contrairement à Marx n’est qu’une dimension de stratification sociale parmi d’autres. Cette situation de classe correspond à la situation occupé par les individus sur le marché. C’est l’ensemble des personnes qui occupent une même situation économique.


Le pouvoirs que les individus sont en mesure d’exercer dans le monde du travail est dépendant du type de bien qu’il possède (par exemple leur force de travail) et qu’il peuvent apporter sur le marcher dans le but de générer un revenu ( leur force de travail). C’est la détention ou la non propriété qui détermine la situation de classe


Situation de classe : c’est à dire les opportunités d’exercer un pouvoir dans la sphère économique.


Ces situations de classes constituent un déterminant important des champs des individus face à la vie. Le degrés de pouvoir que l’on est en mesure d’exercer sur le marcher donne lieu à des conditions de vie et des expériences différentes.


La différenciations des situations de classes est à considérer selon le type de possessions dont l’ont tire des bénéfices. On a d’un côté les classes possédantes ( les rentiers) et de l’autre les entrepreneurs qu’il mène leur capital de travail pour produire de nouvelles richesses ( classes d’acquisitions) 


Le deuxième critères de différenciation des situations de classes sont les types de service que l’ont peut offrir sur le marcher. Avec ce second critères on a d’un côté les classes de production positivement privilégier et de l’autre les classes de négativement privilégier. Autrement dit, la classe au sens de Weber est un groupe réunissant dans une dynamique de reproduction familiale des situation de classes socialement proche.


Weber, il distingue 4 classes sociales : 


  • la classe ouvrière 
  • La petite bourgeoisie 
  • Les intellectuel et les techniciens sans possessions 
  • La classe possédantes 


La situation statutaire : 


Weber pense que la société est structuré par autre chose que le système de marché. Des liens de natures extra économique associe les individus et les intègre socialement donc la situation statutaire est fonder sur le prestige dont bénéfice d’un individus dans l’ordre social ou dans sa communautés.


La distribution inégale du prestige est par conséquent à la base d’une autre hiérarchie que celle qui prévaut face au marché. Cette distribution inégale donne lieu à la constitution du groupe de statue qui ont un prestige et un honneur social différent au sein de la société 


Le prestige selon Weber : c’est un privilège positif ou négatif d’une considération social qui est fondé sur son style de vie, son niveau d’instruction, qui est lié à la naissance ou encore la profession.


La situation statutaire est donc une réalité soumise à la considération et à la perception des autres individus et qui s’appuie sur des éléments objectif. Cette reconnaissance dépend de la conformité de notre style de vie par rapport à ce qui est dévaloriser dans la société.


Weber, il indique que les groupes de statue sont stratifier en fonction de leurs « principes de consommation » dont de leur style de vie. Les groupes de statue dresse des barrières sociales par l’intermédiaires de pratique excluante.


Weber, il introduit une troisième dimension pour essayer d’expliquer le faite que certaines classes sociales, que certains groupe de statue se mobilise autour d’intérêt commun. Pour lui, le parti est une organisation dans laquelle des individus se regroupe en vue du contrôle de l’état que cette action collective soit lié à des groupes sociaux réelles ou non. 


La distribution du pouvoir de commander n’est pas répartie de manière égalitaire que ce soit pour les entreprises ou l’état.


Conclusion : weber, il développe une analyse multidimensionnelle dans la stratification sociale, il y’a trois dimensions qui correspondent à trois sphère d’activité différentes c’est autour de ces trois dimensions qui se cristallise la distribution inégal du pouvoir dans la société. 


Définition classes sociales : ensemble d’individus qui partagent certain critères lié à la position sociales ( le revenus, les pratiques) mais c’est aussi un groupe sociale pris dans une hiérarchie et donc il y’a des inégalités entre les classes sociales 


Et enfin, c’est une des manières de penser à la stratification sociale mais il y’en a d’autre 



Document 1p180 et 4p181 


Section 4 : L’approche en termes de classes sociales : Une approche en débat 



1 L’évolution des distances inter- et intra-classes 


La distance inter-classe elle mesure l’écart entre la position matérielle, les pratiques et les représentation entre deux classes différentes. 


La distance intra-classe elle mesure l’écart entre la position matérielle, les pratiques et les représentation à l’intérieur d’une même classe 


  1. Le phénomène de moyennisation sociale 


La moyennisation c’est la réduction des écarts inter-classes donc il y’a moins d’inégalités de revenus depuis 194. Il y’a un phénomène de massification scolaire ( plus d’individus à l’école et diplômer) mais aussi il y’a d’avantages de PCS intermédiaires. 


Henry Mendras : c’est celui qui a vraiment développé le concept de moyennisation c’est à dire le développement d’une vaste classe moyenne.


Dans l’analyse de Mendras seuls les extrémités de la toupie n’appartient pas à la classe moyenne 


Document 1p182 + Polycopier 


B) La persistance des écarts interclasses et intra-classes 


Le temps de la classe ouvrière homogène est révolue mais il reste quand même des clivages matérielles et culturelles entre classes (ex : ouvriers pratiques l’autocensure culturel) 


Au sein des employés, il y’a des distances intra-classes car c’est un monde hétérogène 


Document 3p183 


2 L’articulation des classes sociales avec les rapports sociaux de genre 


Les rapport sociaux de genre : système de bicatégorisation hiérarchiser entre les sexes et entre les représentation qui y sont associées.


Cette expression elle mets l’accent sur la dimension conflictuel de ces rapports qui s’établissent à l’avantage d’un groupe sur un autre. À travers le genre, on se représente le monde en distinguant ce qui relève du féminin et ce qui relève du masculin, la notion de genre masculin renvoie au valeur ou au représentation qui sont associé au sexe ( masculin ou féminin) 




Document 2p184 et 3p185 


3 L’identification subjective a un groupe social 


Cette identification subjective a un groupe peut ne pas correspondre à la position objective de l’individu dans l’espace social. ( ex : les individus qui appartiennent au classe populaire ont parfois tendance à se positionner dans la classe moyenne). 


Pour analyser des n’identifiât ion subjectives ont peut s’intéresser aux enquête par questionnaire ( sondage) qui sont régulièrement réaliser sur le sentiment d’appartenance à une classe sociale.Ces enquêtes montrent que le sentiment d’appartenance n’a pas disparu mais qu’ils concernent davantage les milieux Les plus favoriser et notamment les cadres et les professions intellectuelles supérieurs. 


Cela rejoint l’analyse des classes supérieurs ou de la grande bourgeoisie comme véritable classes social à la fois classe en sois et classe pour sois. Les enquêtes sociologiques de terrains montre que certains ouvrier à cause du stigmates auquel cette classification renvoie. 

Caractéristique du stigmates : Ouvrier faible niveau d’éducation, de revenu, en bas de l’échelle social et il est précaire.


Il y’a pour certains individus une honte d’appartenir au monde ouvrier. Au sein du monde ouvrier il y’a une ligne de fracture entre ouvrier qualifié et ouvrier non qualifié. On retrouve ici une distance intra classe. 


À l’hétérogénéité objective mesure par la distance intra-classe s’ajoute une hétérogénéité subjective lié à une volonté de certains ouvrier de ne pas s’identifier ou de ne pas être identifié comme ouvrier. C’est l’inverse pour la haute bourgeoisie.


Le travail reste la principale source d’identification en France et d’autre source d’identification peuvent être utiliser : les loisirs, la pratique religieuse, la vie de couple où la vie de famille notamment au sein des classes populaire.





Document 2p186 et 4p187 


4 La multiplication des facteurs d’individualisation


L’individualisation des rapports sociaux et de manière générale la montée de l’individualisme ainsi que les distances intra-classes affaiblit la conscience de classe. Au sens sociologique il s’agit de l’affirmation de l’autonomie de l’individu par rapport aux valeurs de normes et au norme de ces groupes d’appartenance et de la société. L’individualisation elle est aussi arrivé dans le travail :


—> personnalisation des conditions d’emplois ( horaire , rémunération objectif) les horaires flexibles c’est d’autant plus vrais pour les cadres, il vont avoir une liberté dans leurs horaire à condition de faire les missions ou les tâcher qui leur sont assigné. 

L’entretient individuelle permet de discuter des performances, des objectifs, de la rémunération et de l’évolution de chaque salarier. Les salarier résonne davantage en terme individuel, il sont moins conscient des enjeux collectif. Les nouvelles technologies peuvent avoir tendance à renforcer se phénomène d’individualisation. Baisse du sentiment à une classe social + individualisation de la classe social. Défavorable à la mobilisation collective.


La hausse du niveau de vie permet quasi généraliser au bien d’équipement durable cela homogénéise les modes de vies et donne le sentiment aux individus d’appartenir plutôt à la classe moyenne et par contre à l’intérieur des classes sociales il y’a des situations de plus en plus varier en terme de conditions d’emplois et de revenu par exemple entre ceux qui ont un emplois précaire ou ceux qui ont un emplois stable. Les distances intra-classe s’accroissent ou les distances interclasse se resserre.


Conclusion : la classe social n’apparaît plus forcément comme un outil pertinent d’analyse des inégalités.


Rapport sociaux : type de relation et d’interaction entre les groupes sociaux.


Le sentiment d’injustice est partagé par les classes populaires ne permet pas plus forcément d’en faire une classe social car ils partagent d’autres critères d’identification. L’individu se définit tout simplement par son identification de classes d’autre critères d’identification prennent de l’importance pour son identification à un groupe social de référence. Les autres critères sont le genre, l’origine ethnique, le lieu de référence.


Ces rapport sociaux ont un peu de différent, ils ont des différences : existence d’inégalité —> intra-classe qui vont être lié à l’âge, au genre parfois plus importante que les inégalités interclasse. Apparition de conflit et de revendication autre que ceux lié à l’appartenance de classe (ex les gilets jaune) 


Si on a des inégalités intra classe plus importante que les inégalités interclasses cela veut dire que d’autre critères que la place dans le système productif sont pertinent pour analyser la structuration social.


Document 3 et 4p189 

une fiche de révision aérer et pas trop longue mais du contenu un peu quand même

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