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Sans titre

CM 2 PSYCHO SOCIALE TE31PS- Emmanuelle Brigaud

I) Les influences sociales

0. Rappels :

Trois éléments : Entité sociale 1= cible ( 1 individu ou un groupe) ; Entité sociale 2= source ; et Objet=

sujet d’influence.

> Positions qui diffèrent

→ Dès lors qu’il y a un glissement d’opinion de la source, il y a de l’influence.

Il y a Influence sociale lorsque la pression exercée par une personne ou un groupe d’individus va orienter

l’opinion ou la conduite d’une autre personne/ groupe.

- Forme 1 : La Normalisation ( voir effet autocinétique)= réponses éparses d’un groupe d’individus, qui

à force de répétitions, arrivent à une entente de normes/valeurs communes, jusqu’à donner des réponses

similaires.

→ Nous sommes cibles et sources.

- Forme 2 : Le Conformisme ou Influence Majoritaire ( cf Asch), réponse à l’expérience de Shérif.

Ex : adoption d’un comportement néfaste comme l’alcool/ la drogue, malgré la conscience de ses effets.

- Forme 3 : L’obéissance ou la soumission à l’autorité ( relire cours SM2)

→ Contexte 2nd guerre mondiale

- Forme 4 : L’influence minoritaire ou innovation

1. Influence Minoritaire/ Processus d’innovation

- Idées novatrices qui partent d’un petit nombre de personnes et fait consensus à plus grande échelle.

Ex :

Thèse héliocentrique, Copernic et Galilée ; allaient à l’encontre de la thèse géocentrique jusqu’à la

reconnaissance de la véracité de leur théorie.

Droit de vote des femmes, 21/04/1944.

IVG, Loi Veil, 17/01/1975.

Mariage pour tous, Loi 2013-404, 17/04/2013.


Comment une minorité peut-elle imposer son point de vue ?


- Doms et Moscovici : « Un processus d’influence ayant généralement pour source une minorité ou un

individu qui s’efforce, soit d’introduire ou de créer des idées nouvelles, de nouveaux modes pensées ou de

comportements, soit de modifier des idées reçues, attitudes traditionnelles, d’anciens modes de pensées et

de comportements. »

- Expérience princeps, Moscovici, Lage et Naffrechoux ( 1969)

> 4 sujets naïfs= majorité qui ne connaît pas inexpérience ; et 2 compères= minorité.

>>Tâche de perception visuelle : tâche 1= indiquer couleur des diapos à voix haute ; tâche 2= évaluation

de l’intensité lumineuse.

VI : influence ; VD : réponses. Donc Condition contrôle : pas de compère= pas d’influence minoritaire.

> 6 séries de 6 diapos


> Tâche 0, discrimination chromatique durant laquelle les complices doivent toujours donner la bonne

réponse= rendre crédibles les complices.

> Conditions expérimentales :1 Consistants individuellement ( pour les diapositives à dominante bleue,

ils devaient unanimement dire VERT) et 2 Consensuels entre eux ( 2 compères).

→ Résultats condition contrôle : 0,25 % de verts ; présence de la minorité : 8,42 %.

→ 32 % influencés au moins une fois sur tous les essaies

Remarques :

> Situation non ambiguë= réponse à la tâche évidente ;

> Absence du pouvoir normatif= désir d’être accepté par une minorité futile ;

> Absence du pouvoir informationnel= désir d’être correcte.

Ex : influence quand un grand public intervient.

>>Réponse d’influence fausse et minoritaire mais s’applique quand même.

Atouts de la minorité

> Implication, volontariat, confiance

> Flexibilité, non dogmatique

> Avant-gardiste mais adapté à son temps

>>Consistance Comportementale!

- Consistance synchronique : même voie, unanimité des réponses entre la minorité ;

- Consistance diachronique : répétition systématique dans le temps de la réponse.

⇒ Plus d’influence quand la consistance est cassée ( 1,25 % d’influence dans l’expérience bleu-vert).

RÉSULTATS PARADIGME BLEU-VERT


Est-ce qu’une majorité pèse plus qu’une minorité ?

Extrait p201 à 209, Les minorités actives- Moscovici à relire.


>Influence située et perception


HYPOTHÈSE : Si influence minoritaire => changements “latents” => modification du code


perceptif du sujet = déplacement du seuil de passage du bleu au vert.


→ Théories : 1- déplacement du seuil de perception bleu-vert des personnes qui veulent le +


être dans la norme ; 2- polarisation.


> 2eme expérience suivant la première: On propos aux sujets de participer à une 2nd

expérience sur les effets de fatigue sur les phénomènes de vision (Affabulation)= seize disques

dans la gamme bleu-vert du test de perception de Farnsworth 100-couleurs, avec différents


niveaux d’ambiguïté, présentés sur un fond neutre..


⇒ La réponse « vert » (qui indique l'étendue de l'influence exercée par la minorité représente

8,42% des réponses des 128 sujets dans les deux premières expériences.


* Seuil de perception variable.


→ Réaction observée autant chez les personnes ayant maintenu la réponse Bleu, que ceux qui

ont répondu Vert. Minorité consistante est plus efficace au niveau des réponses cachées que


celles manifestes.


> 3eme expérience : minorité qui n'exprime pas son opinion avec fermeté et consistance


n'exercera pas d'influence significative.

⇒ 1,25% de réponses « vert ».


> 4eme expérience : majorité numérique des compères vs 2 sujets naïfs.

⇒12,07 % pour l’influence majoritaire vs 10,07 % pour les minorités : pas d’influence

significative, l'influence d'une minorité est donc aussi grande que l'influence d'une majorité de

compères. L'importance numérique d'une source d'influence n'est donc pas en rapport direct

avec le degré d'influence exercée. Ici aussi consistance comportementale essentielle.

⇒ Les codes perceptifs des sujets expérimentaux ont été modifiés sous l'effet de l'influence.

Les trois mesures de comparaison (seuil différentiel, seuil inférieur et seuil supérieur) diffèrent

de façon significative entre les groupes expérimentaux et les groupes témoins. + les sujets

étaient en fait influencés par la minorité indépendamment des réponses individuelles qu'ils


avaient pu faire au cours de la phase d'interaction sociale.


Comment une minorité exerce t-elle une influence ?


⇒ Changement seulement de surface et non dans les convictions.


CONVERSION : Moscovici et

Al, ’influence minoritaire est

donc une influence indirecte,

les changements qu’elle

introduit étant souvent latents,

inconscient, profonds et

différés.


Vs ASCH et l’ influence de la

majorité sur la minorité qui a

un effet manifeste :

CONFORMISME.

L’influence de la Majorité

> Entraîne le suivisme ou la

complaisance.

«On tend à accepter

ouvertement ce qu’avance une majorité tant que celle-ci est présence ou psychologiquement

saillante. Dès qu’elle s’en va ou qu’elle n’est pas psychologiquement saillante, cette influence


disparaît ». Mugny et Perez ( 1986)


→ dans l’expérience de Moscovici : les sujets qui avaient été confrontés à une majorité

consistante ne modifiaient pas leur seuil de discrimination des couleurs en direction du vert


(simple accord de surface).

L’influence de la Majorité


> Conduit les individus à mettre en place des stratégies de résistances qui peuvent être

- Psychologisation : associer idées minoritaire à ceux qui la défendent, donc ne peut être


appropriées par groupe à part.

- Bloquer la conversation, déni

- Faciliter la conversation


Peut-on modifier nos attitudes sous l’influence d’une minorité ?

- L’étude de Maas et Clark sur les attitudes à l’égard des droits des homoxexuels

→ 56% de la population exprimaient une attitude modérée ou neutre à l’égard des droits des


homosexuels


> Phase 1: les étudiants devraient donner leurs opinions sur les droits des homosexuels : droits

des homosexuels en général ; protection juridique liée à l’emploi ; droit au mariage ; et droit à


l’adoption.


>Phase 2 : 84 sujets ils étaient confrontés simultanément à des

opinions majoritaires et minoritaires. Différents groupes qui doivent lire une retranscription de

conversations entre 5 personnes, que ces mêmes groupes rencontreront après. 3 conditions


différentes avec des arguments pour ou contre différents.


> Phase 3 : les participants expriment à nouveau leurs attitudes à l’égard des homosexuels.


→ Division du groupe : certains répondront publiquement ( pouvoir nominatif) vs de façon


anonyme ( pouvoir du privé).


⇒ Glissement dans le sens de la majorité + extrême malgré les idées neutres initiales.

Glissement + marqué lors des prises de paroles publiques= conformisme public. À

l’inverse, pour les réponses dans le privé, plutôt glissement négatif vers l’avis minoritaire=


conversion privée.


Comment s’approprier les idées minoritaires ?


> Cryptomnésie sociale : oubli de l’origine minoritaire de certaines normes et valeurs


aujourd’hui largement acceptées.


- Expérience de Mugny et Perez ( 1989) : les valeurs chez les jeunes

→ 5 principes aujourd'hui plus ou moins acceptés ayant un passé minoritaire :


◼liberté associée aux anarchistes

◼égalité des sexes / féministes

◼égalité des races / antiraciste

◼paix / pacifistes


◼respect de l’environnement / écologistes


Groupe 1 : on leur demande d’exprimer leur degré d’accord de 1 à 8 avec les principes


présentés individuellement.


Groupe 2 : idem mais ici principes sont associés aux minorités qui les ont porté ou les portent


encore.


Groupe 3 : on leur demande d’exprimer leur degré d’accord de 1 à 8 avec les minorités


Résultats :


CONCLUSION :


La normalisation, conformisme et innovation fournissent l’essentiel du champ de l’influence

sociale dans les groupes.

Le thème de l’influence sociale est toujours d’actualité car il touche à l’un des problèmes

fondamentaux de la société. Ce problème est celui de l'effet que peuvent exercer les gens

les uns sur les autres quant à leur vision du monde.


Sans titre

CM 2 PSYCHO SOCIALE TE31PS- Emmanuelle Brigaud

I) Les influences sociales

0. Rappels :

Trois éléments : Entité sociale 1= cible ( 1 individu ou un groupe) ; Entité sociale 2= source ; et Objet=

sujet d’influence.

> Positions qui diffèrent

→ Dès lors qu’il y a un glissement d’opinion de la source, il y a de l’influence.

Il y a Influence sociale lorsque la pression exercée par une personne ou un groupe d’individus va orienter

l’opinion ou la conduite d’une autre personne/ groupe.

- Forme 1 : La Normalisation ( voir effet autocinétique)= réponses éparses d’un groupe d’individus, qui

à force de répétitions, arrivent à une entente de normes/valeurs communes, jusqu’à donner des réponses

similaires.

→ Nous sommes cibles et sources.

- Forme 2 : Le Conformisme ou Influence Majoritaire ( cf Asch), réponse à l’expérience de Shérif.

Ex : adoption d’un comportement néfaste comme l’alcool/ la drogue, malgré la conscience de ses effets.

- Forme 3 : L’obéissance ou la soumission à l’autorité ( relire cours SM2)

→ Contexte 2nd guerre mondiale

- Forme 4 : L’influence minoritaire ou innovation

1. Influence Minoritaire/ Processus d’innovation

- Idées novatrices qui partent d’un petit nombre de personnes et fait consensus à plus grande échelle.

Ex :

Thèse héliocentrique, Copernic et Galilée ; allaient à l’encontre de la thèse géocentrique jusqu’à la

reconnaissance de la véracité de leur théorie.

Droit de vote des femmes, 21/04/1944.

IVG, Loi Veil, 17/01/1975.

Mariage pour tous, Loi 2013-404, 17/04/2013.


Comment une minorité peut-elle imposer son point de vue ?


- Doms et Moscovici : « Un processus d’influence ayant généralement pour source une minorité ou un

individu qui s’efforce, soit d’introduire ou de créer des idées nouvelles, de nouveaux modes pensées ou de

comportements, soit de modifier des idées reçues, attitudes traditionnelles, d’anciens modes de pensées et

de comportements. »

- Expérience princeps, Moscovici, Lage et Naffrechoux ( 1969)

> 4 sujets naïfs= majorité qui ne connaît pas inexpérience ; et 2 compères= minorité.

>>Tâche de perception visuelle : tâche 1= indiquer couleur des diapos à voix haute ; tâche 2= évaluation

de l’intensité lumineuse.

VI : influence ; VD : réponses. Donc Condition contrôle : pas de compère= pas d’influence minoritaire.

> 6 séries de 6 diapos


> Tâche 0, discrimination chromatique durant laquelle les complices doivent toujours donner la bonne

réponse= rendre crédibles les complices.

> Conditions expérimentales :1 Consistants individuellement ( pour les diapositives à dominante bleue,

ils devaient unanimement dire VERT) et 2 Consensuels entre eux ( 2 compères).

→ Résultats condition contrôle : 0,25 % de verts ; présence de la minorité : 8,42 %.

→ 32 % influencés au moins une fois sur tous les essaies

Remarques :

> Situation non ambiguë= réponse à la tâche évidente ;

> Absence du pouvoir normatif= désir d’être accepté par une minorité futile ;

> Absence du pouvoir informationnel= désir d’être correcte.

Ex : influence quand un grand public intervient.

>>Réponse d’influence fausse et minoritaire mais s’applique quand même.

Atouts de la minorité

> Implication, volontariat, confiance

> Flexibilité, non dogmatique

> Avant-gardiste mais adapté à son temps

>>Consistance Comportementale!

- Consistance synchronique : même voie, unanimité des réponses entre la minorité ;

- Consistance diachronique : répétition systématique dans le temps de la réponse.

⇒ Plus d’influence quand la consistance est cassée ( 1,25 % d’influence dans l’expérience bleu-vert).

RÉSULTATS PARADIGME BLEU-VERT


Est-ce qu’une majorité pèse plus qu’une minorité ?

Extrait p201 à 209, Les minorités actives- Moscovici à relire.


>Influence située et perception


HYPOTHÈSE : Si influence minoritaire => changements “latents” => modification du code


perceptif du sujet = déplacement du seuil de passage du bleu au vert.


→ Théories : 1- déplacement du seuil de perception bleu-vert des personnes qui veulent le +


être dans la norme ; 2- polarisation.


> 2eme expérience suivant la première: On propos aux sujets de participer à une 2nd

expérience sur les effets de fatigue sur les phénomènes de vision (Affabulation)= seize disques

dans la gamme bleu-vert du test de perception de Farnsworth 100-couleurs, avec différents


niveaux d’ambiguïté, présentés sur un fond neutre..


⇒ La réponse « vert » (qui indique l'étendue de l'influence exercée par la minorité représente

8,42% des réponses des 128 sujets dans les deux premières expériences.


* Seuil de perception variable.


→ Réaction observée autant chez les personnes ayant maintenu la réponse Bleu, que ceux qui

ont répondu Vert. Minorité consistante est plus efficace au niveau des réponses cachées que


celles manifestes.


> 3eme expérience : minorité qui n'exprime pas son opinion avec fermeté et consistance


n'exercera pas d'influence significative.

⇒ 1,25% de réponses « vert ».


> 4eme expérience : majorité numérique des compères vs 2 sujets naïfs.

⇒12,07 % pour l’influence majoritaire vs 10,07 % pour les minorités : pas d’influence

significative, l'influence d'une minorité est donc aussi grande que l'influence d'une majorité de

compères. L'importance numérique d'une source d'influence n'est donc pas en rapport direct

avec le degré d'influence exercée. Ici aussi consistance comportementale essentielle.

⇒ Les codes perceptifs des sujets expérimentaux ont été modifiés sous l'effet de l'influence.

Les trois mesures de comparaison (seuil différentiel, seuil inférieur et seuil supérieur) diffèrent

de façon significative entre les groupes expérimentaux et les groupes témoins. + les sujets

étaient en fait influencés par la minorité indépendamment des réponses individuelles qu'ils


avaient pu faire au cours de la phase d'interaction sociale.


Comment une minorité exerce t-elle une influence ?


⇒ Changement seulement de surface et non dans les convictions.


CONVERSION : Moscovici et

Al, ’influence minoritaire est

donc une influence indirecte,

les changements qu’elle

introduit étant souvent latents,

inconscient, profonds et

différés.


Vs ASCH et l’ influence de la

majorité sur la minorité qui a

un effet manifeste :

CONFORMISME.

L’influence de la Majorité

> Entraîne le suivisme ou la

complaisance.

«On tend à accepter

ouvertement ce qu’avance une majorité tant que celle-ci est présence ou psychologiquement

saillante. Dès qu’elle s’en va ou qu’elle n’est pas psychologiquement saillante, cette influence


disparaît ». Mugny et Perez ( 1986)


→ dans l’expérience de Moscovici : les sujets qui avaient été confrontés à une majorité

consistante ne modifiaient pas leur seuil de discrimination des couleurs en direction du vert


(simple accord de surface).

L’influence de la Majorité


> Conduit les individus à mettre en place des stratégies de résistances qui peuvent être

- Psychologisation : associer idées minoritaire à ceux qui la défendent, donc ne peut être


appropriées par groupe à part.

- Bloquer la conversation, déni

- Faciliter la conversation


Peut-on modifier nos attitudes sous l’influence d’une minorité ?

- L’étude de Maas et Clark sur les attitudes à l’égard des droits des homoxexuels

→ 56% de la population exprimaient une attitude modérée ou neutre à l’égard des droits des


homosexuels


> Phase 1: les étudiants devraient donner leurs opinions sur les droits des homosexuels : droits

des homosexuels en général ; protection juridique liée à l’emploi ; droit au mariage ; et droit à


l’adoption.


>Phase 2 : 84 sujets ils étaient confrontés simultanément à des

opinions majoritaires et minoritaires. Différents groupes qui doivent lire une retranscription de

conversations entre 5 personnes, que ces mêmes groupes rencontreront après. 3 conditions


différentes avec des arguments pour ou contre différents.


> Phase 3 : les participants expriment à nouveau leurs attitudes à l’égard des homosexuels.


→ Division du groupe : certains répondront publiquement ( pouvoir nominatif) vs de façon


anonyme ( pouvoir du privé).


⇒ Glissement dans le sens de la majorité + extrême malgré les idées neutres initiales.

Glissement + marqué lors des prises de paroles publiques= conformisme public. À

l’inverse, pour les réponses dans le privé, plutôt glissement négatif vers l’avis minoritaire=


conversion privée.


Comment s’approprier les idées minoritaires ?


> Cryptomnésie sociale : oubli de l’origine minoritaire de certaines normes et valeurs


aujourd’hui largement acceptées.


- Expérience de Mugny et Perez ( 1989) : les valeurs chez les jeunes

→ 5 principes aujourd'hui plus ou moins acceptés ayant un passé minoritaire :


◼liberté associée aux anarchistes

◼égalité des sexes / féministes

◼égalité des races / antiraciste

◼paix / pacifistes


◼respect de l’environnement / écologistes


Groupe 1 : on leur demande d’exprimer leur degré d’accord de 1 à 8 avec les principes


présentés individuellement.


Groupe 2 : idem mais ici principes sont associés aux minorités qui les ont porté ou les portent


encore.


Groupe 3 : on leur demande d’exprimer leur degré d’accord de 1 à 8 avec les minorités


Résultats :


CONCLUSION :


La normalisation, conformisme et innovation fournissent l’essentiel du champ de l’influence

sociale dans les groupes.

Le thème de l’influence sociale est toujours d’actualité car il touche à l’un des problèmes

fondamentaux de la société. Ce problème est celui de l'effet que peuvent exercer les gens

les uns sur les autres quant à leur vision du monde.

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