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CHAPITRE 2 : CLIVAGES GAUCHES/DROITE ET POLITISATION DE LA SOCIÉTÉ FR


→ le clivage gauche droit est né pendant la revolution= impact encore ajd


-------------------------------------------------------------------


SECTION 1 : LES ENJEUX VARIABLES DU CLIVAGE GAUCHE/DROITE

I/ La question du régime : monarchistes versus républicains

le clivage gauche droite est le principe de base de la vie pol fr. Il est d’usage de faire remonté ce cliavge a la revolution fr le venredi 28 1889 l’assemblé constituante examine la quuestion du véto royale. Les deputes favorables se place a droit et les non’favorables ont à gauche.

-Commenec a se structuré au 19 : pposition binaire qui organise la vie politique entre H pol et les citoyens se repere et egalement pour les politologues= schema de oensé qui organise le champ pol. Le clivage a une longue hostoire mais ne se cristalise pas sur les meme question

« l’invarience du cloiavge dasn sa capacité a rendre compte de la vie pol mais le contenue de ce clivage evolu au cours du temps »

-il y a une evolution derriere les concepts de gauche et de droit = doivent etre analysé avec le contexte= ce sont des contruction historique , le clivage c’est d’abord crystalié sur le regime puis sur les question socio-eco

- de revolution fr juque 1880= debat autour du regime a abordé pour le pays

la gauche s’inscrit dans la filiation de la revolution fr dont elle revendique l’heritage et elle defend la republique, la droite refuse cet heritage et prone le retour a la monarchie. A droite on dit que la revolution a detruit l’ordre morale et l’organisation du pays et que l’on doit retourner au systeme feodaux

gauche = liberté / droite= ordre et autorité

il y a different courant monarchiste, les ultra et legitimiste / les orléaniste pour la monarchie constitutionnel qui reconnaît des droits au individus

- 1830=opposirtion entre gauche republicaine et la droite orléaniste qui structure les debats pol

- une autre sensibilité de droite= la droite bonapartiste qui accepte le suffrage universel mais elle est soucieuse d’autorité de l’eat et de grandeur nationale

- la droite se ralie a la republique dans les années 80 = la question du regime n’est plus la question du clivage mais la question sociale prend le dessus.

- la question religieuse est très fortement lié a la question du regime = avant monarchie da drot divin, depuis la revolution la souveraineté n’appartient pas au roi mais a la nation. La laicisation progressive denoue la politique et le religeiu= loi ferry et loi de 1905

- milieu du 19 eme s = question ouvriere en effet la revolution industrielle introduit une nouvelle classe dominate= la bourgeoisie montante = developpement du prolétariat

-la gauche et plus particulierement les socialiste soutiennent les classes pop

« classe laborieuse, classe dangereuse »= livre de droite

-il existe une gauche revolutionnaire mais aussi republicaine qui veut ameliorer la vie des gesn par des reformes

-droite = interet privé elle croit en la main invisible du marché, liberale au niveau eco = pas toucher a l’eco car se regule seule


SECTION 2 : LES GAUCHES ET LES DROITES A LA FIN DU XIXEME SIECLE


  1. 1- LE RÉPUBLICANISME
  2. -se developpe dans les années 1830 + REPUBLICAINS moderé classé au centre gauche , des la premiere moitié du 19 veulent dimuninution du cens puis suffrage universel, ils sont contre la monarchie de juillet et le second empire= pour la liberté d’opinion de la presse, syndical, d’association . Il se caracterise par la volonté laicisé l’etat et cléricalisme, veule un progres scientifique et technique, valorisation de l’ecole= pour assencion sociale . Ces repu soutienne l’engagement colonial
  3. 2- LE RADICALISME
  4. -devenu un parti marginale= c’est un acteur pol de premier plan, a mesur que la repu s’affrime ce parti decline, l’histoire du radicalisme est l’histoire de sa de redicalisation
  5. le sinistrisme=

-fr attaché au progrés

-laicité un de ses marqueurs pol , congrés fondateur en 1901

le terme de radicalisme = courant des defenseur de la revolution fr = gauche de echequier pol, le mot radicalisme vient de la monarchie de juillet (avant ct les republicains) se forme en parti grace a Léon Gambetta. =liberté et egalité= defense du suffrga universel, anticlericalisme et la laicité

-une partie des radiacaux deviennet realiste …

- leon bourgeois radicalisme pour lui c le solidarisme = egalité des droits

- crise pol

-1899

-les radicaux sont aidé par la gauche car proche des socialiste


  1. 3- LE SOCIALISME

-fondement theorique chez marx qui se diffuse dans la second emoitié du 19 eme s, le manifest du partis pol est diffusé en 1928, objectif fondé un socialisme scientifique = concept de lutte des classes, face a la bourgeoisie capitaliste le proletariat doit prendre conscience de son action revolutionnaire. « Proletaire de tout le spays , unissez vousé- le materisalisme historique= la pop doitprendre conscience de l’histoire en tout , ce sont les dinamyques materielle qu structures la société en profondeur. Dans l’idéologie allemenan « ce n’est pas la conscience qui determine l’existence mais l’existence qui determine la conscience »

- le rapport de production = la propriété des moyens de production , la repartition sociale du travail et les modes de distributions des richesses. Selon Marx chaque type de société est tréversé par les contradiction fondamentale qui quand elles sont trop forte change le regime de société, donc l’histoire est un enchenement de crise. Antagonisme irreductible. La société s’organise avec une classe dominante et une classe dominé « l’histoire de la société jusqu’a nos jours n’a etait que la lutte des classe » oppose h libre et esclave … A partir du 19 emme c’est la bourgeoisie industreielle et financiere qui devient la classe dominante qui exploite les travailleurs. Se dessine un nouvel antagoniste, d’une par la bourgoisie et le proletari. La classe pop doit se soulever pour faire valoir ses droits et avoir une société communiste. Marx developppe des tehorie economique dans « le capital » . le salarié n’est pas payé totalement pour faire du profit il faut alors que le salarié soit propirétaire avec une collectivisation des industrie.

-Les revendication progresse , en 1893 50 deputés socialiste

- dans les années 188° : 5 tendances

- les guesde du nom de Jules Guesde : plaide pour la constitution d’un parti ouvrier et pour les syndiact , il crée en 1882 le parti ouvrier fr

- les allemaniste : de jean allemane= prone un parti ouvrier socialiste revolutionnaire= croit en l’action directe

- les blanquiste= le commité revolutionnaire centrale eux pronne la revolution permanente

- les possibiliste= defende un socialisme reformiste, il cré la federation des socialiste en 83

- les socialiste independants

- en 1901 ils crée le parti socialiste de fr par les guesde

-socialiste et les independts = unifié en 1905= creation de la SFIO

-pas de burocratie partisanne

- c’est un parti notable, d’elu et de comité de locaux = n’etait pas pendant longtemps dans le systeme fr pol néamoins ce qui caracterise la SFIO c’est les mairie socialiste =position pour la sfio

- le socialisme force electorale proche des mileux ouvrieir mais peu de militant

- 1914 peu de militant

  1. 4- L’ANARCHISME REVOLUTIONNAIRE ET LE SYNDICALISME

Bakhouine et proudon = socialisme libertaire, exercice de la solidarité, defense de individu, le systme capitalisme milieu oppresif

« quest ce que la propriété » → « la propriété c’est me vol »

- il ecrit nous voulons la propriété pour tout le monde, denonciation radicale de l’appareil burocratique de l’etat= pour proudon l’etat detrouit la liberté individuel,un des pere fr de l’anarchisme , ilregette la democratie parlementaire et veut une democratie ouvriere

= promeut l’idée du mutualisme , il prone un systeme ou l’autonomie pour les communes, les idées de croudons pour le syndicalisme mis en place a la fin du 19 eme s. Il pronne une autonomise des organisation ouvriere

- pour abolition du capitaliste / proriété collective/ rôle decentralisé de letat mais plus pour les communes

- en 1895 est cré la CGT (provient de la federation national des syndicats et la federation des bourses du travail) lors du congrés de limoge



II- LES DIFFÉRENTES TENDANCES DE DROITE


Les trois droites au XIXème siècle selon l’historien René Rémond 

1) La droite légitimiste : droite ultra et monarchiste, hostile à l’héritage de la Révolution Française, traditionaliste et proche du catholicisme conservateur 

2) La droite orléaniste naît avec la Monarchie de Juillet, modérée, favorable à une monarchie constitutionnelle, libérale sur le plan économique, décentralisatrice. Si la souveraineté réside dans le peuple, il ne doit pas l’exercer directement par l’intermédiaire de notables


3) La droite bonapartiste qui apparaît sous le Second Empire : autoritaire, culte du chef et mystique de l’intérêt général. 


1- LES RECOMPOSITIONS DES DROITES MODÉRÉES

Les deux premiers partis de droite modérée 

L’Alliance Républicaine Démocratique, 1901 

Républicains qualifiés de progressistes situés alors au centre gauche  

(soutien au bloc des gauches en 1902, à la loi de 1905) puis glissement au  

centre droit à partir de 1914  

Exemple : Raymond Poincaré (Alliance Républicaine Démocratique) 

Ministre de l’instruction publique 1893 et 1895 

Président de la République de 1913 à 1920 

À plusieurs reprises, président du conseil et ministre entre 1922 et 1929 


La Fédération Républicaine, créée en 1903, aile droite des républicains modérés, hostiles aux républicains radicaux et opposants au Bloc des gauches, composée de notables élus locaux.  

Exemple : Eugène Motte (Fédération Républicaine) 

Industriel roubaisien (usines textile) 

Fondateur de la fédération républicaine en 1903 

député du Nord (1898-1906) 

maire de Roubaix (1902-1912) 


L’émergence du catholicisme social à la fin du XIXème siècle et de la démocratie chrétienne 

Exemple : Marc Sangnier, fondateur du Sillon 

« Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une œuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » 


Marc Sangnier crée en 1912 la ligue de la Jeune République 

Marc Sangnier est député de 1919 à 1924 (d’abord centre droit mais passe au centre gauche et soutient le Front Populaire en 1936) 

de nouveau député de 1945 à 1950 (groupe MRP : mouvement républicain populaire)

2- L’ÉMERGENCE D’UNE EXTRÊME DROITE NATIONALISTE ET XÉNOPHOBE

- Ligue des patriotes en 1882 fondée par Paul Déroulède, Soutien au général Boulanger de 1887 à 1889. Redevient active à partir de 1898 pendant l’Affaire Dreyfus 

- l’Action Française en 1898 fondée par Charles Maurras : royaliste, antidreyfusarde, ordre et Etat fort 


Les fondements de l’Extrême-droite selon Pierre-André Taguieff : 

• « C’est donc seulement à la toute fin du XIXe siècle qu’une nouvelle doctrine politique s’installe dans le paysage idéologique, certes sous le nom de "nationalisme", mais dissimulant derrière cette désignation vague une étrange tentative de synthèse entre une vision traditionaliste de l’ordre social, une version scientiste de la "théorie des races" et une conception conspirationniste de l’ennemi (Juifs, francs-maçons, etc.), dont dérive l’appel xénophobe à défendre par tous les moyens la nation française menacée, la « vieille France » (Drumont), la « France des Français » (Soury). »


SECTION 3 : PROFESSIONNALISATION ET STRUCTURATION DES PARTIS POLITIQUES

I/ NOTABLES ET « NOUVEAUX ENTREPRENEURS POLITIQUES »

Les notables fondent leur autorité et leur légitimité politiques sur leur autorité sociale c’est-à-dire les ressources qu’ils tirent de leur statut social. Ces ressources sont l’estime sociale et la notoriété, leur ancrage local et la possession de terres et de richesses (par lesquelles ils font vivre une partie de la population qui contribue à leur élection). 


Le pouvoir politique des notables est « la ratification de leur autorité sociale évidente » (André Siegfried)• Surtout à droite  

• Socialement : propriétaires terriens, aristocrates ou grande bourgeoisie industrielle et financière

• Ils font de la politique en amateur, sont peu liés aux partis politiques et se font élire surtout sur leur nom grâce à leurs ressources personnelles 

• 

Les « nouveaux entrepreneurs politiques » (A. Garrigou) 

Ils opposent « la force du nombre (ressources collectives et organisationnelles : partis, militants, idées) à la force  du Nom des notables » (Garrigou) 

Surtout à gauche  

Socialement :  

• en partie issus de ce que Gambetta appelle les « nouvelles classes moyennes » : professions libérales ou bourgeoisie capacitaire, médecins, avocats, notaires, enseignants...  

• des ouvriers ou des représentants du mouvement ouvrier en voie de structuration. 


La figure du « professionnel de la politique » moderne résulte de la concurrence de ces deux types d’acteurs.  

Double reconversion par hybridation des façons de faire de la politique :  

- les notables vont se professionnaliser. Ils vont faire de la politique avec des idées, des partis… - les entrepreneurs politiques vont se notabiliser, se « faire un nom »  


Sans titre

CHAPITRE 2 : CLIVAGES GAUCHES/DROITE ET POLITISATION DE LA SOCIÉTÉ FR


→ le clivage gauche droit est né pendant la revolution= impact encore ajd


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SECTION 1 : LES ENJEUX VARIABLES DU CLIVAGE GAUCHE/DROITE

I/ La question du régime : monarchistes versus républicains

le clivage gauche droite est le principe de base de la vie pol fr. Il est d’usage de faire remonté ce cliavge a la revolution fr le venredi 28 1889 l’assemblé constituante examine la quuestion du véto royale. Les deputes favorables se place a droit et les non’favorables ont à gauche.

-Commenec a se structuré au 19 : pposition binaire qui organise la vie politique entre H pol et les citoyens se repere et egalement pour les politologues= schema de oensé qui organise le champ pol. Le clivage a une longue hostoire mais ne se cristalise pas sur les meme question

« l’invarience du cloiavge dasn sa capacité a rendre compte de la vie pol mais le contenue de ce clivage evolu au cours du temps »

-il y a une evolution derriere les concepts de gauche et de droit = doivent etre analysé avec le contexte= ce sont des contruction historique , le clivage c’est d’abord crystalié sur le regime puis sur les question socio-eco

- de revolution fr juque 1880= debat autour du regime a abordé pour le pays

la gauche s’inscrit dans la filiation de la revolution fr dont elle revendique l’heritage et elle defend la republique, la droite refuse cet heritage et prone le retour a la monarchie. A droite on dit que la revolution a detruit l’ordre morale et l’organisation du pays et que l’on doit retourner au systeme feodaux

gauche = liberté / droite= ordre et autorité

il y a different courant monarchiste, les ultra et legitimiste / les orléaniste pour la monarchie constitutionnel qui reconnaît des droits au individus

- 1830=opposirtion entre gauche republicaine et la droite orléaniste qui structure les debats pol

- une autre sensibilité de droite= la droite bonapartiste qui accepte le suffrage universel mais elle est soucieuse d’autorité de l’eat et de grandeur nationale

- la droite se ralie a la republique dans les années 80 = la question du regime n’est plus la question du clivage mais la question sociale prend le dessus.

- la question religieuse est très fortement lié a la question du regime = avant monarchie da drot divin, depuis la revolution la souveraineté n’appartient pas au roi mais a la nation. La laicisation progressive denoue la politique et le religeiu= loi ferry et loi de 1905

- milieu du 19 eme s = question ouvriere en effet la revolution industrielle introduit une nouvelle classe dominate= la bourgeoisie montante = developpement du prolétariat

-la gauche et plus particulierement les socialiste soutiennent les classes pop

« classe laborieuse, classe dangereuse »= livre de droite

-il existe une gauche revolutionnaire mais aussi republicaine qui veut ameliorer la vie des gesn par des reformes

-droite = interet privé elle croit en la main invisible du marché, liberale au niveau eco = pas toucher a l’eco car se regule seule


SECTION 2 : LES GAUCHES ET LES DROITES A LA FIN DU XIXEME SIECLE


  1. 1- LE RÉPUBLICANISME
  2. -se developpe dans les années 1830 + REPUBLICAINS moderé classé au centre gauche , des la premiere moitié du 19 veulent dimuninution du cens puis suffrage universel, ils sont contre la monarchie de juillet et le second empire= pour la liberté d’opinion de la presse, syndical, d’association . Il se caracterise par la volonté laicisé l’etat et cléricalisme, veule un progres scientifique et technique, valorisation de l’ecole= pour assencion sociale . Ces repu soutienne l’engagement colonial
  3. 2- LE RADICALISME
  4. -devenu un parti marginale= c’est un acteur pol de premier plan, a mesur que la repu s’affrime ce parti decline, l’histoire du radicalisme est l’histoire de sa de redicalisation
  5. le sinistrisme=

-fr attaché au progrés

-laicité un de ses marqueurs pol , congrés fondateur en 1901

le terme de radicalisme = courant des defenseur de la revolution fr = gauche de echequier pol, le mot radicalisme vient de la monarchie de juillet (avant ct les republicains) se forme en parti grace a Léon Gambetta. =liberté et egalité= defense du suffrga universel, anticlericalisme et la laicité

-une partie des radiacaux deviennet realiste …

- leon bourgeois radicalisme pour lui c le solidarisme = egalité des droits

- crise pol

-1899

-les radicaux sont aidé par la gauche car proche des socialiste


  1. 3- LE SOCIALISME

-fondement theorique chez marx qui se diffuse dans la second emoitié du 19 eme s, le manifest du partis pol est diffusé en 1928, objectif fondé un socialisme scientifique = concept de lutte des classes, face a la bourgeoisie capitaliste le proletariat doit prendre conscience de son action revolutionnaire. « Proletaire de tout le spays , unissez vousé- le materisalisme historique= la pop doitprendre conscience de l’histoire en tout , ce sont les dinamyques materielle qu structures la société en profondeur. Dans l’idéologie allemenan « ce n’est pas la conscience qui determine l’existence mais l’existence qui determine la conscience »

- le rapport de production = la propriété des moyens de production , la repartition sociale du travail et les modes de distributions des richesses. Selon Marx chaque type de société est tréversé par les contradiction fondamentale qui quand elles sont trop forte change le regime de société, donc l’histoire est un enchenement de crise. Antagonisme irreductible. La société s’organise avec une classe dominante et une classe dominé « l’histoire de la société jusqu’a nos jours n’a etait que la lutte des classe » oppose h libre et esclave … A partir du 19 emme c’est la bourgeoisie industreielle et financiere qui devient la classe dominante qui exploite les travailleurs. Se dessine un nouvel antagoniste, d’une par la bourgoisie et le proletari. La classe pop doit se soulever pour faire valoir ses droits et avoir une société communiste. Marx developppe des tehorie economique dans « le capital » . le salarié n’est pas payé totalement pour faire du profit il faut alors que le salarié soit propirétaire avec une collectivisation des industrie.

-Les revendication progresse , en 1893 50 deputés socialiste

- dans les années 188° : 5 tendances

- les guesde du nom de Jules Guesde : plaide pour la constitution d’un parti ouvrier et pour les syndiact , il crée en 1882 le parti ouvrier fr

- les allemaniste : de jean allemane= prone un parti ouvrier socialiste revolutionnaire= croit en l’action directe

- les blanquiste= le commité revolutionnaire centrale eux pronne la revolution permanente

- les possibiliste= defende un socialisme reformiste, il cré la federation des socialiste en 83

- les socialiste independants

- en 1901 ils crée le parti socialiste de fr par les guesde

-socialiste et les independts = unifié en 1905= creation de la SFIO

-pas de burocratie partisanne

- c’est un parti notable, d’elu et de comité de locaux = n’etait pas pendant longtemps dans le systeme fr pol néamoins ce qui caracterise la SFIO c’est les mairie socialiste =position pour la sfio

- le socialisme force electorale proche des mileux ouvrieir mais peu de militant

- 1914 peu de militant

  1. 4- L’ANARCHISME REVOLUTIONNAIRE ET LE SYNDICALISME

Bakhouine et proudon = socialisme libertaire, exercice de la solidarité, defense de individu, le systme capitalisme milieu oppresif

« quest ce que la propriété » → « la propriété c’est me vol »

- il ecrit nous voulons la propriété pour tout le monde, denonciation radicale de l’appareil burocratique de l’etat= pour proudon l’etat detrouit la liberté individuel,un des pere fr de l’anarchisme , ilregette la democratie parlementaire et veut une democratie ouvriere

= promeut l’idée du mutualisme , il prone un systeme ou l’autonomie pour les communes, les idées de croudons pour le syndicalisme mis en place a la fin du 19 eme s. Il pronne une autonomise des organisation ouvriere

- pour abolition du capitaliste / proriété collective/ rôle decentralisé de letat mais plus pour les communes

- en 1895 est cré la CGT (provient de la federation national des syndicats et la federation des bourses du travail) lors du congrés de limoge



II- LES DIFFÉRENTES TENDANCES DE DROITE


Les trois droites au XIXème siècle selon l’historien René Rémond 

1) La droite légitimiste : droite ultra et monarchiste, hostile à l’héritage de la Révolution Française, traditionaliste et proche du catholicisme conservateur 

2) La droite orléaniste naît avec la Monarchie de Juillet, modérée, favorable à une monarchie constitutionnelle, libérale sur le plan économique, décentralisatrice. Si la souveraineté réside dans le peuple, il ne doit pas l’exercer directement par l’intermédiaire de notables


3) La droite bonapartiste qui apparaît sous le Second Empire : autoritaire, culte du chef et mystique de l’intérêt général. 


1- LES RECOMPOSITIONS DES DROITES MODÉRÉES

Les deux premiers partis de droite modérée 

L’Alliance Républicaine Démocratique, 1901 

Républicains qualifiés de progressistes situés alors au centre gauche  

(soutien au bloc des gauches en 1902, à la loi de 1905) puis glissement au  

centre droit à partir de 1914  

Exemple : Raymond Poincaré (Alliance Républicaine Démocratique) 

Ministre de l’instruction publique 1893 et 1895 

Président de la République de 1913 à 1920 

À plusieurs reprises, président du conseil et ministre entre 1922 et 1929 


La Fédération Républicaine, créée en 1903, aile droite des républicains modérés, hostiles aux républicains radicaux et opposants au Bloc des gauches, composée de notables élus locaux.  

Exemple : Eugène Motte (Fédération Républicaine) 

Industriel roubaisien (usines textile) 

Fondateur de la fédération républicaine en 1903 

député du Nord (1898-1906) 

maire de Roubaix (1902-1912) 


L’émergence du catholicisme social à la fin du XIXème siècle et de la démocratie chrétienne 

Exemple : Marc Sangnier, fondateur du Sillon 

« Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une œuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux. » 


Marc Sangnier crée en 1912 la ligue de la Jeune République 

Marc Sangnier est député de 1919 à 1924 (d’abord centre droit mais passe au centre gauche et soutient le Front Populaire en 1936) 

de nouveau député de 1945 à 1950 (groupe MRP : mouvement républicain populaire)

2- L’ÉMERGENCE D’UNE EXTRÊME DROITE NATIONALISTE ET XÉNOPHOBE

- Ligue des patriotes en 1882 fondée par Paul Déroulède, Soutien au général Boulanger de 1887 à 1889. Redevient active à partir de 1898 pendant l’Affaire Dreyfus 

- l’Action Française en 1898 fondée par Charles Maurras : royaliste, antidreyfusarde, ordre et Etat fort 


Les fondements de l’Extrême-droite selon Pierre-André Taguieff : 

• « C’est donc seulement à la toute fin du XIXe siècle qu’une nouvelle doctrine politique s’installe dans le paysage idéologique, certes sous le nom de "nationalisme", mais dissimulant derrière cette désignation vague une étrange tentative de synthèse entre une vision traditionaliste de l’ordre social, une version scientiste de la "théorie des races" et une conception conspirationniste de l’ennemi (Juifs, francs-maçons, etc.), dont dérive l’appel xénophobe à défendre par tous les moyens la nation française menacée, la « vieille France » (Drumont), la « France des Français » (Soury). »


SECTION 3 : PROFESSIONNALISATION ET STRUCTURATION DES PARTIS POLITIQUES

I/ NOTABLES ET « NOUVEAUX ENTREPRENEURS POLITIQUES »

Les notables fondent leur autorité et leur légitimité politiques sur leur autorité sociale c’est-à-dire les ressources qu’ils tirent de leur statut social. Ces ressources sont l’estime sociale et la notoriété, leur ancrage local et la possession de terres et de richesses (par lesquelles ils font vivre une partie de la population qui contribue à leur élection). 


Le pouvoir politique des notables est « la ratification de leur autorité sociale évidente » (André Siegfried)• Surtout à droite  

• Socialement : propriétaires terriens, aristocrates ou grande bourgeoisie industrielle et financière

• Ils font de la politique en amateur, sont peu liés aux partis politiques et se font élire surtout sur leur nom grâce à leurs ressources personnelles 

• 

Les « nouveaux entrepreneurs politiques » (A. Garrigou) 

Ils opposent « la force du nombre (ressources collectives et organisationnelles : partis, militants, idées) à la force  du Nom des notables » (Garrigou) 

Surtout à gauche  

Socialement :  

• en partie issus de ce que Gambetta appelle les « nouvelles classes moyennes » : professions libérales ou bourgeoisie capacitaire, médecins, avocats, notaires, enseignants...  

• des ouvriers ou des représentants du mouvement ouvrier en voie de structuration. 


La figure du « professionnel de la politique » moderne résulte de la concurrence de ces deux types d’acteurs.  

Double reconversion par hybridation des façons de faire de la politique :  

- les notables vont se professionnaliser. Ils vont faire de la politique avec des idées, des partis… - les entrepreneurs politiques vont se notabiliser, se « faire un nom »  

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