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S1

S1 Comment est structurée la société française actuelle ?


Définition

Espace social :
Représentation de la société. Les individus et groupes sociaux se situent les uns par rapport aux autres selon plusieurs dimensions (économiques, culturelles, symboliques…).
Groupe social :
Ensemble d’individus qui entretiennent des interactions directes ou indirectes entre eux et qui ont conscience d’appartenir au même groupe.
Structure socioprofessionnelle :
Manière dont sont répartis les actifs dans les différents Groupes socioprofessionnels
salarisation :
augmentation de la part des salariés dans la population active
tertiairisation
augmentation de la part des emplois occupés dans le secteur tertiaire.
féminisation :
augmentation de la part des emplois occupés par des femmes.
augm° qualif emploi
ensemble des connaissances professionnelles que possède un individu, ou qu’exige un emploi.
Travail :
Activité humaine contribuant à la production
Capital :
Biens durables utilisés dans la production
Classe sociale (chez Marx) :
groupes d’individus qui partagent la même position dans le système économique et sont animés par une conscience de classe
Stratification sociale :
Coexistence de groupes différenciés et hiérarchisés dans une même société
Les classes sociales (chez Weber)
regroupent donc des individus ayant une situation de classe mesurable par : - L’accès (ou pas) à un ensemble de biens - La propriété (ou pas) des moyens de production
Distance inter-classe :
inégalités existant entre des individus appartenant à deux classes sociales différentes.
Inégalités économiques et sociales :
avantage (ou désavantage) pour un groupe social par rapport à un autre dans l’accès à une ressource valorisée
Distance intraclasses:
inégalités existant entre des individus appartenant à la même classe sociale.
Rapports sociaux de genre :
Les "rapports sociaux de genre" désignent les relations et les interactions entre les individus basées sur le genre, c'est-à-dire les rôles, les comportements, les activités et les attributs qu'une société considère comme appropriés pour les hommes et les femmes. Ces rapports influencent la répartition du pouvoir, des ressources et des responsabilités entre les genres dans divers contextes sociaux, économiques et politiques. Ils sont souvent le résultat de constructions sociales et culturelles qui peuvent varier d'une société

Peut-on dire qu'une approche en termes de classes sociales est toujours pertinente pour rendre compte de la société française actuelle ?

amorce : amazon associates ( ouvriers )


intro :

  • Les salariés de chez amazon ne sont pas considérés comme des ouvriers mais comme des associates. Cette non considération des salariés enleve le terme " ouvrier " du vocabulaire des patrons comme des salariés. Cette disparition de ce terme conduit ainsi les salariés à ne pas se sentir concernés par la classe ouvrière. Malgrès une baisse d'identification à la classe ouvrière generale en france on sait que 38% des individus se sentent appartenir à la classe moyenne. Selon Karl Marx la classe sociale serait un groupe d'individus qui partagent la même position dans le systeme economique et sont animés par une conscience de classe. Ainsi { plan}


I) Oui


a) montée inégalités entre grp sociaux

  • depuis 1975 le ralentissement de la croissance économique a induit une augmentation des inégalités economiques entre milieux sociaux, particulierement vrai au niveau de l'exposition au risque d'etre u chomage ou dans une situation précaire, plus élevés pour ouvriers que cadres.


b) recomposition de l'identification des classes sociales + leurs retours

la reprise des inegalités semble entrainer une résurgence du sentiment d'appartenance à une classe sociale meme si celles ciont pu changer : 38% des individus pensent appartenir aux classes moyennes. Recomposotion sentiment d'appartenance


c) la bourgeoisie, une classe pour soi

Michel pinçon et Dominique pinçon Charlot

montrent que classe pour et en soi. Tres riches, cercles tres privés, statut de bourgeois. Forte sociabilité interne et evite les individus exterieurs


II) cependant


a) Distances intra classes grandissantes

entre les qualifiés ( emploi stables, rémmunerateurs, ouvrier cdi chez thalès) et non qualifiés ( risque de chomage , statut précaire, d'avantages marginalisés ouvrier intérimaire batiment)

entre hommes et femmes ( rapports sociaux de genre )

les,inégalités entre genres ne s'additionnent pas, elles se multiplient ( ex : femmeouvriere )

remmettent en cause l'homogeneité des classes sociales entre hommes et femmes

b) l'individualisation des conditions de travail et des salaires

  • differents statuts ( cdi cdd interim etc..)
  • rémunérations différentes
  • conditions travails diff ( temps partiels etc..)
  • employeurs diff ( sous traitance )


Il faut lutter individuellement et non collectivement donc pourquoi des classes ?


c ) moyennisation

Avec les 30 glorieuses on assiste à une moyennisation de la société, la lutte des classes laisse progressivement la place à la lutte des places : le niveau de vie général s’est élevé et les inégalités se sont réduites

-Déclin de la classe en soi, au sens de Marx

Pour H.Mendras, il s’est alors constitué dans la société une vaste classe moyenne qui engloberait progressivement l'ensemble des « constellations » sociales (représentation de la société en toupie)

• Conséquence L’essor rapide de la classe moyenne entraine le déclin progressif de la conscience de classe, et donc du sentiment d’appartenance dans les couches populaires. Cela entraine a son tour un déclin des organisations ouvrières (partis et syndicats) et une disparition progressive de la représentation populaire la lutte des classes

Déclin de la classe pour soi, au sens de Marx


Conclusion

 La société a eu tendance à se « moyenniser » durant les 30 glorieuses. D'autres différences que le statut professionnel ont pris de l’importance, animant les individus et les regroupant dans des communautés brouillant la structure sociale. On a pu alors penser que les classes sociales étaient devenues obsolètes pour structurer la société française. Cependant récemment on assiste à leur retour en raison de bouleversements économiques qui creusent à nouveau les inégalités, renforcent les clivages sociaux et les rapports de domination, entrainant un regain des luttes sociales.

Comment les pouvoirs publics peuvent ils réduire la fracture sociale et œuvrer pour une plus grande justice sociale ?



Quels facteurs structurent et hiérarchisent l'espace social actuel?


amorce : les femmes travaillent gratuitement depuis ce  vendredi 8 novembre 2024 à 16h48 jusqu'en 2025


intro :

En juin et juillet 2024, le vote en faveur du Rassemblement National lors des élections européennes et législatives a pu notamment être motivé par un sentiment de « déclassement » de la part de certains Français ayant l'impression que leur position dans la structure sociale était de plus en plus dégradée.

La majorité des sociétés modernes sont hiérarchisées. Les positions sociales diffèrent entre les individus ou les groupes sociaux dans le sens où certaines sont préférables à d'autres et sont donc plus ou moins élevées dans l'espace social.

Nous pouvons nous demander quels sont les facteurs qui structurent et hiérarchisent la société française actuelle. L'emploi et l'argent sont-ils les seuls critères qui la structurent ? Ou existe-t-il d'autres facteurs à prendre en compte ?

Dans une première partie, nous verrons que la société française actuelle est structurée et hiérarchisée autour de la catégorie socioprofessionnelle, du niveau de diplôme et du revenu. Puis dans un second temps, nous verrons qu'elle s'articule également autour d'autres facteurs comme la position dans le cycle de vie, le sexe, la composition du ménage et le lieu de résidence.


I) les facteurs socio pro 👉d'avantages déterminants pour structurer l'espace social ( donner lieu à des groupes sociaux permanents, voir des classes sociales )

a) csp

hiérarchisées en fonction de leur place dans la production et donc des revenus qu'ils procurent

b) revenu

permet d'accéder, ou pas, à un niveau de conso qui dit sa position dans la societe ( ex : voyager )

• Le critère essentiel aujourd’hui qui structure l’espace social relève de la sphère économique. Le revenu est en effet à l’origine du positionnement des individus dans différents groupes distincts et hiérarchise ces groupes. Le revenu est corrélé positivement au patrimoine ce qui accentue les inégalités économiques entre les groupes sociaux.

c) diplome

permet d'acceder aux métiers les plus valorisés et rémunérés + valeur symbolique qui donne du prestige.


II) D'autres facteurs tel que

a)le sexe

il existe de nombreuses manifestations de la domination masculine dans la société , moindre considérations , revenues inférieurs...

• Le sexe est aujourd’hui un facteur déterminant dans la répartition des individus dans l’espace social : il permet de définir des groupes et de hiérarchiser les individus. On peut ainsi souligner des inégalités entre les femmes et les hommes, par exemple en termes de salaires (document 1) ou dans les situations d’emploi (document 2) plus favorables pour les hommes (promotion, accès à certains emplois).


b) position dans le cycle de vie / lieu de residence ( ex : etudiant en studio )

En règle générale, en vieillissant , les revenues , le patrimoines et les responsabilités professionels d'un individu on tendance a s'elever, un jeune ingénieur et son collègue de fin de carrière n'ont pas la meme position. Au niveau symbolique certains quartiers sont valorisés (le cap d'Antibes) alors que d'autres sont plus souvent stigmatisés (la zaine a Vallauris) au niveau économique on vie plus facilement dans les zones rurales ou l'immobilier est moins chers que dans les grandes agglomérations

La position dans le cycle de vie structure également l’espace social. Les jeunes et les plus âgés se différencient par leurs pratiques sociales et culturelles, par exemple l’utilisation des nouvelles technologies. Cette différenciation peut même engendrer une hiérarchisation : l’âge peut entraîner des différences de rémunérations, sources d’inégalités. 


c) compo menage

un individu qui doit élever seul plusieurs enfants a par exemple un niveau de vie inférieur qui dispose des memes revenus mais qui vie seul



conclusion


Pour conclure, de nombreux facteurs structurent et hiérarchisent la société française actuelle : la catégorie socioprofessionnelle, le diplôme, le revenu, la position dans le cycle de vie, le sexe, la composition du ménage et le lieu de résidence.

Le début de la conclusion doit bien veiller à répondre au sujet posé. Il est pour cela pertinent de bien reprendre les termes exacts du sujet.

Aujourd'hui, il semble que le critère générationnel soit de plus en plus pertinent pour expliquer les inégalités de situations. Les générations dites du « baby-boom » ont connu de nombreux avantages en termes de retraite ou d'accès à la propriété immobilière… Peut-être seront-elles également les dernières générations à ne pas avoir subi les conséquences du réchauffement climatique



S1

S1 Comment est structurée la société française actuelle ?


Définition

Espace social :
Représentation de la société. Les individus et groupes sociaux se situent les uns par rapport aux autres selon plusieurs dimensions (économiques, culturelles, symboliques…).
Groupe social :
Ensemble d’individus qui entretiennent des interactions directes ou indirectes entre eux et qui ont conscience d’appartenir au même groupe.
Structure socioprofessionnelle :
Manière dont sont répartis les actifs dans les différents Groupes socioprofessionnels
salarisation :
augmentation de la part des salariés dans la population active
tertiairisation
augmentation de la part des emplois occupés dans le secteur tertiaire.
féminisation :
augmentation de la part des emplois occupés par des femmes.
augm° qualif emploi
ensemble des connaissances professionnelles que possède un individu, ou qu’exige un emploi.
Travail :
Activité humaine contribuant à la production
Capital :
Biens durables utilisés dans la production
Classe sociale (chez Marx) :
groupes d’individus qui partagent la même position dans le système économique et sont animés par une conscience de classe
Stratification sociale :
Coexistence de groupes différenciés et hiérarchisés dans une même société
Les classes sociales (chez Weber)
regroupent donc des individus ayant une situation de classe mesurable par : - L’accès (ou pas) à un ensemble de biens - La propriété (ou pas) des moyens de production
Distance inter-classe :
inégalités existant entre des individus appartenant à deux classes sociales différentes.
Inégalités économiques et sociales :
avantage (ou désavantage) pour un groupe social par rapport à un autre dans l’accès à une ressource valorisée
Distance intraclasses:
inégalités existant entre des individus appartenant à la même classe sociale.
Rapports sociaux de genre :
Les "rapports sociaux de genre" désignent les relations et les interactions entre les individus basées sur le genre, c'est-à-dire les rôles, les comportements, les activités et les attributs qu'une société considère comme appropriés pour les hommes et les femmes. Ces rapports influencent la répartition du pouvoir, des ressources et des responsabilités entre les genres dans divers contextes sociaux, économiques et politiques. Ils sont souvent le résultat de constructions sociales et culturelles qui peuvent varier d'une société

Peut-on dire qu'une approche en termes de classes sociales est toujours pertinente pour rendre compte de la société française actuelle ?

amorce : amazon associates ( ouvriers )


intro :

  • Les salariés de chez amazon ne sont pas considérés comme des ouvriers mais comme des associates. Cette non considération des salariés enleve le terme " ouvrier " du vocabulaire des patrons comme des salariés. Cette disparition de ce terme conduit ainsi les salariés à ne pas se sentir concernés par la classe ouvrière. Malgrès une baisse d'identification à la classe ouvrière generale en france on sait que 38% des individus se sentent appartenir à la classe moyenne. Selon Karl Marx la classe sociale serait un groupe d'individus qui partagent la même position dans le systeme economique et sont animés par une conscience de classe. Ainsi { plan}


I) Oui


a) montée inégalités entre grp sociaux

  • depuis 1975 le ralentissement de la croissance économique a induit une augmentation des inégalités economiques entre milieux sociaux, particulierement vrai au niveau de l'exposition au risque d'etre u chomage ou dans une situation précaire, plus élevés pour ouvriers que cadres.


b) recomposition de l'identification des classes sociales + leurs retours

la reprise des inegalités semble entrainer une résurgence du sentiment d'appartenance à une classe sociale meme si celles ciont pu changer : 38% des individus pensent appartenir aux classes moyennes. Recomposotion sentiment d'appartenance


c) la bourgeoisie, une classe pour soi

Michel pinçon et Dominique pinçon Charlot

montrent que classe pour et en soi. Tres riches, cercles tres privés, statut de bourgeois. Forte sociabilité interne et evite les individus exterieurs


II) cependant


a) Distances intra classes grandissantes

entre les qualifiés ( emploi stables, rémmunerateurs, ouvrier cdi chez thalès) et non qualifiés ( risque de chomage , statut précaire, d'avantages marginalisés ouvrier intérimaire batiment)

entre hommes et femmes ( rapports sociaux de genre )

les,inégalités entre genres ne s'additionnent pas, elles se multiplient ( ex : femmeouvriere )

remmettent en cause l'homogeneité des classes sociales entre hommes et femmes

b) l'individualisation des conditions de travail et des salaires

  • differents statuts ( cdi cdd interim etc..)
  • rémunérations différentes
  • conditions travails diff ( temps partiels etc..)
  • employeurs diff ( sous traitance )


Il faut lutter individuellement et non collectivement donc pourquoi des classes ?


c ) moyennisation

Avec les 30 glorieuses on assiste à une moyennisation de la société, la lutte des classes laisse progressivement la place à la lutte des places : le niveau de vie général s’est élevé et les inégalités se sont réduites

-Déclin de la classe en soi, au sens de Marx

Pour H.Mendras, il s’est alors constitué dans la société une vaste classe moyenne qui engloberait progressivement l'ensemble des « constellations » sociales (représentation de la société en toupie)

• Conséquence L’essor rapide de la classe moyenne entraine le déclin progressif de la conscience de classe, et donc du sentiment d’appartenance dans les couches populaires. Cela entraine a son tour un déclin des organisations ouvrières (partis et syndicats) et une disparition progressive de la représentation populaire la lutte des classes

Déclin de la classe pour soi, au sens de Marx


Conclusion

 La société a eu tendance à se « moyenniser » durant les 30 glorieuses. D'autres différences que le statut professionnel ont pris de l’importance, animant les individus et les regroupant dans des communautés brouillant la structure sociale. On a pu alors penser que les classes sociales étaient devenues obsolètes pour structurer la société française. Cependant récemment on assiste à leur retour en raison de bouleversements économiques qui creusent à nouveau les inégalités, renforcent les clivages sociaux et les rapports de domination, entrainant un regain des luttes sociales.

Comment les pouvoirs publics peuvent ils réduire la fracture sociale et œuvrer pour une plus grande justice sociale ?



Quels facteurs structurent et hiérarchisent l'espace social actuel?


amorce : les femmes travaillent gratuitement depuis ce  vendredi 8 novembre 2024 à 16h48 jusqu'en 2025


intro :

En juin et juillet 2024, le vote en faveur du Rassemblement National lors des élections européennes et législatives a pu notamment être motivé par un sentiment de « déclassement » de la part de certains Français ayant l'impression que leur position dans la structure sociale était de plus en plus dégradée.

La majorité des sociétés modernes sont hiérarchisées. Les positions sociales diffèrent entre les individus ou les groupes sociaux dans le sens où certaines sont préférables à d'autres et sont donc plus ou moins élevées dans l'espace social.

Nous pouvons nous demander quels sont les facteurs qui structurent et hiérarchisent la société française actuelle. L'emploi et l'argent sont-ils les seuls critères qui la structurent ? Ou existe-t-il d'autres facteurs à prendre en compte ?

Dans une première partie, nous verrons que la société française actuelle est structurée et hiérarchisée autour de la catégorie socioprofessionnelle, du niveau de diplôme et du revenu. Puis dans un second temps, nous verrons qu'elle s'articule également autour d'autres facteurs comme la position dans le cycle de vie, le sexe, la composition du ménage et le lieu de résidence.


I) les facteurs socio pro 👉d'avantages déterminants pour structurer l'espace social ( donner lieu à des groupes sociaux permanents, voir des classes sociales )

a) csp

hiérarchisées en fonction de leur place dans la production et donc des revenus qu'ils procurent

b) revenu

permet d'accéder, ou pas, à un niveau de conso qui dit sa position dans la societe ( ex : voyager )

• Le critère essentiel aujourd’hui qui structure l’espace social relève de la sphère économique. Le revenu est en effet à l’origine du positionnement des individus dans différents groupes distincts et hiérarchise ces groupes. Le revenu est corrélé positivement au patrimoine ce qui accentue les inégalités économiques entre les groupes sociaux.

c) diplome

permet d'acceder aux métiers les plus valorisés et rémunérés + valeur symbolique qui donne du prestige.


II) D'autres facteurs tel que

a)le sexe

il existe de nombreuses manifestations de la domination masculine dans la société , moindre considérations , revenues inférieurs...

• Le sexe est aujourd’hui un facteur déterminant dans la répartition des individus dans l’espace social : il permet de définir des groupes et de hiérarchiser les individus. On peut ainsi souligner des inégalités entre les femmes et les hommes, par exemple en termes de salaires (document 1) ou dans les situations d’emploi (document 2) plus favorables pour les hommes (promotion, accès à certains emplois).


b) position dans le cycle de vie / lieu de residence ( ex : etudiant en studio )

En règle générale, en vieillissant , les revenues , le patrimoines et les responsabilités professionels d'un individu on tendance a s'elever, un jeune ingénieur et son collègue de fin de carrière n'ont pas la meme position. Au niveau symbolique certains quartiers sont valorisés (le cap d'Antibes) alors que d'autres sont plus souvent stigmatisés (la zaine a Vallauris) au niveau économique on vie plus facilement dans les zones rurales ou l'immobilier est moins chers que dans les grandes agglomérations

La position dans le cycle de vie structure également l’espace social. Les jeunes et les plus âgés se différencient par leurs pratiques sociales et culturelles, par exemple l’utilisation des nouvelles technologies. Cette différenciation peut même engendrer une hiérarchisation : l’âge peut entraîner des différences de rémunérations, sources d’inégalités. 


c) compo menage

un individu qui doit élever seul plusieurs enfants a par exemple un niveau de vie inférieur qui dispose des memes revenus mais qui vie seul



conclusion


Pour conclure, de nombreux facteurs structurent et hiérarchisent la société française actuelle : la catégorie socioprofessionnelle, le diplôme, le revenu, la position dans le cycle de vie, le sexe, la composition du ménage et le lieu de résidence.

Le début de la conclusion doit bien veiller à répondre au sujet posé. Il est pour cela pertinent de bien reprendre les termes exacts du sujet.

Aujourd'hui, il semble que le critère générationnel soit de plus en plus pertinent pour expliquer les inégalités de situations. Les générations dites du « baby-boom » ont connu de nombreux avantages en termes de retraite ou d'accès à la propriété immobilière… Peut-être seront-elles également les dernières générations à ne pas avoir subi les conséquences du réchauffement climatique


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