Le groupe est un facteur déterminent de notre psychologie.
I. La vie d'un groupe
Qu'est-ce qu'un groupe ?
Tous les rassemblements ne sont pas un groupe
Définition
L'appartenance à un groupe n'est pas une réponse dichotomique, mais un CONTINUUM, et donc plusieurs facteurs vont être déterminants pour parler d'un groupe.
La plus importante est la notion d'entativité (former une entité)
ex: personnes qui attendent le métro n'est pas un groupe - Une manifestation (but commun) = groupe avec forte entativité
Définition
Plusieurs facteurs qui contribuent à l'entativité :
- Similiarité = sort commun (interdépendance)
- Proximité
Le fait d'avoir un but commun va créer de l'interdépendance entre les personnes qui ont besoin les unes des autres pour l'atteindre.
Cette interaction fera qu'ils seront de plus en plus un groupe, car elle va augmenter le sentiment d'un sort commun.
Ces 4 facteurs vont :
- encourager la cohésion et l'intégration sociale
- Favoriser le sentiment d'appartenance à un groupe
LICKEL et al (2000)
certains groupes sont plus entitatifs que d'autres : (du plus fort au plus faible).
- les groupes intimes (famille..)
- les groupes à tâches (autour d'un projet, le pro...)
- les groupes aux catégories sociales (femmes, jeunes...)
- Les groupes aux frontières peu définies (quartier, villes...)
La signification psychologique des groupes
3 motivations pour comprendre le besoin psycho d'appartenir à un gp
- Besoin d'appartenance = socialisation et ostracisme
- Besoin de compréhension
- Besoin de contrôle
YZERBYT et al (2000)
un groupe est une entité qui permet de repondre au besoin d'appartenance
LICKEL et al (2000)
Le degré d'entativité est lié au degré d'identification sociale au groupe
- Plus facile de s'identifier à un groupe aux frontières claires
- Plus cohérent = vision positive, augmente l'identification
NB : la similarité n'est pas forcément présente au départ
La socialisation
Elle permet de gérer la diversité
Rejoindre un groupe est un processus en 5 étapes :
- L'investigation
Niveau individuel
Reconnaissance des groupes qui vont satisfaire nos B
Parrallèlt les gp identifient des personnes qui vont satisfaire leurs objectifs
- La socialisation
Démarre quand la personne entre dans le gp
S'y assimile
Le gp s'accommode de cette assimila°
- L'entretien
Acceptation mutuelle
Négoc° du rôle de la personne
Si succès : engagement mutuel élevé et maintien de l'affiliation
Si échec :
- Resocialisation
Si les intérêts divergent, l'engagement diminue
W fait sur l'accommodation du gp et/ou l'assimilation
Si retour à la situation de base = maintien
Si continue de diverger --> quitte le gp
La personne gardera un souvenir du gp et fera partie de l'histoire du gp
Parfois l'entrée dans un groupe est imposée par l'environnement social
NEWCOMB (1935 - 1939)
Étude sur des jeunes filles de l'université de Bennigton
Issues de familles conservatrices
Cours dispensés par des profs de gauche
Rencontre avec des étudiants plus avancés et plus ouverts d'esprit
Va s'intéresser à leurs attitudes vis-à-vis des 2 candidats à la présentielle de 36
Compare les votes des :
- parents
- des étudiantes de 1ʳᵉ année, 2ᵉ, 3ᵉ et 4ᵉ années
Résultats :
Plus avancées dans le cursus univ = plus votent libéral
Seulemt les étudiantes qui continuent d'avoir des contacts rapprochés avec leur famille restaient proches de leur idéo de départ
ALWIN, COHEN, NEWCOM (1991)
NEWCOM, KOENING, FLACKS, WARWICK (1967)
Suivi des étudiantes sur 25 ans et d'autres sur 50 ans
ALWIN
73% votent pour le démocrate (reste stable) car choisissent des gp en rapport avec leurs attitudes à la sortie de l'univ
Cette étude souligne l'importance des paires dans la formation de l'identité (dépasse l'influ des parents)
Définition
L'entrée dans un groupe permet l'appge des normes partagées par ses membres
MORELAND, LEVINE (2002)
Se questionne sur la confiance envers les nouvelles recrues er parmi les membres déjà existants du gp
NOEL, WANN, BRASCOMBE (1995)
Tendance des nouveaux à montrer leur attachement aux valeurs du gp, + extrême, + radicaux que les anciens
= permet de ne pas laisser place aux doutes sur leur loyauté et ident. socle
Étude
Vont s'intéresser aux membres de cercles étudiants
--> membres actifs et --> membres aspirants (nouveaux)
Ils vont tous donner leur opinion à l'égard d'un autre membre d'un autre gp
Moitié : devront discuter de leur réponse avec d'autre du gp = Réponses NÉGATIVES
Autres : les réponses étaient anonymes = pas de diff.
Partage des normes, valeurs et croyances est important pour la cohésion, explique la pression de s'y conformer
--> si éloigné = menace pour gp
Effet brebis galeuse = Sanction
MARQUES, YZERBYT, LEYENS (1988)
Définition
Étude
Sur des étudiants belges = avis vs à vis d'un autre étudiant
1ere variable manipulée = soit corme à 1 norme importante du gp / soit déviant
2ème variable manipulée = soit belge / Soit nord-africain
Résultats :
Si conforme = cible endogp perçues + positives que l'exogp (confère "biais de favoritisme TURNEK).
Si déviance = cible endogp jugée + négativement
L'endogp est plus entitatif que l'exogp
L'EBG s'observe que si le point transgressé est pertinent pour le gp
COULL et al (2001)
Pas étonnant que les membres fortement identifié à l'endgp soient également ceux qui déploient le + d'énergie contre les membres de l'endogp déviants.
L'ostracisme = rejet
WILLIAMS, SHORE, GRAPHE (1998)
expériences sur le traitement silencieux.
Les participants ayant été soumis au traitement silencieux disent avoir été :
- blessés dans leur appartenance
- dans l'estime d'eux
- dans le contrôle de la situation
Définition
WILLIMAS, SOMMER (1997)
confirme l'influence du rejet social sur le sentiment d'appartce et l'estime de soi.
Prolongeant l'effet sur l'investissement dans une tâche ultérieure
et sur le conformisme WILLIAMS, CHEUNG, CHOI (2000)
WILLIAMS, SOMMER (1997)
Étude
lancer de ballon à 2 autres partenaires — exclusion d'un partenaire
femmes excluent = investissement massif dans une tâche de gp pour compenser socialement
Pas vu chez les H
WILLIMAS, CHEUNG, CHOI (2000)
Même expérience, mais sur ordinateur = balle symboq / les participants ne se rencontrent pas
1486 personnes - 62 pays diff.
⇾ perte de sentiment d'appartce
⇾ perte d'estime de soi
Les effets négatifs de l'ostracisme semblent donc être les mêmes, qu'ils soient vécus en face à face ou via un ordinateur.
WILLIMAS (2009)
Modèle temporel besoin/menace de l'ostracisme
- Stade réflexe
Souffrance qui dépasse le niveau psychologq (douleurs physiq)
activation cortex cingulaire dorsale antérieur (zone associée à la douleur)
même si pas intentionnel
- Stade de la réflexion
Recherche du sens au ressenti
⇾ évaluation cognitive de l'ostracisme
Les 4 B fondamentaux mis à mal (appartce, estime de soi, contrôle, donner du sens à son existence).
⇉ la réaction dépendra du B le plus mis à mal
→ si B d'apparce / estime de soi
recherche de rétablir les liens sociaux
CARTER-SOWELL, CHEN, WILLIMAS (2008)
RIVA, WILLIAMS, TORS TWICK, MONTALI (2014)
→ si B de contrôle ou de sens
recherche de modification de son environnement (conduites agressives, fuite)
recherche de solitude (stragie de coping pour bénéficier d'un espace pour récup de la douleur sociale REN, WESSELMANN, WILLIAMS (2016))
Absence de réaction = sidération, réaction au stress
HALES, WILLIAMS (2018)
Questionnent l'influence de l'ostracisme sur les gp extrémistes
Hypothèses = personne ostracisées = + attirées par les gp extrémistes, car semblent répondre aux 4 B fondamentaux
B d'appce = réintégration
B estime de soi = gp extrémistes + sélectifs
B de contrôle = gp + d'impacts s/la société
Sens à son existence = participa° aux actions donne une sorte de recosse des autres (BREWER 1991)
Les gp extrémistes sont minoritaires = identité sociale + distincte
Étude
47 étudiants
Discussion avec un autre étudiant pour faire Csses - membre de PARTY
Participation au cyber-ball
Les participants étaient aléatoirement ostra ou pas
Répondent à un questionnaire contenant des mesures d'ostra
2ᵉ questionnaire qui va mesure l'intérêt d'appartenir au groupe PARTY - donné par un membre de PARTY
Résultats
Questionnaire 1 = participant ostracisé = + d'émot° négatives + d'incertitudes
Questionnaire 2 = Participant ostracisé = intérêt pour assister ) une réunion + percept° du gp moins extrême HALE, WILLIAMS (2018)
→ fait écho à la 1ʳᵉ étape de la socialisat° (modèle de LEVINE et al 2001)
Étude
inverse l'hypothèse
Les personnes extrêmes + sujettes à du rejet social
Étudiants pas affiliés = rejet des membres des gp dont les act° étaient extrêmes
ressenti plus fort si les act° sont pro-sociales (égalité des races, droits des femmes, etc...)
→ reflète un processus séquentiel
- Attention d'abord s/la cause défendue (quoi ?)
- Comment la cause est défendue (comment ?)
Si cause pas légitime = rejet ainsi que des membres
Si cause légitime = la manière dont elle est défendue est importante et le rejet des act° extrêmes est + fort
En conclus°
Être affilié à un gp extrême AUGMENTE le risque d'ê ostracisé par les membres de la sté (majo modérées)
Si rejeté = attiré davantage par un nouveau gp extrême
HALES, WILLIAMS (2020)
L'ostracisat° crée une boucle plongeant progressivement les personnes rejetées socialt dans l'extrême de + en + omportante
Raison = perturbat° de la balance des B marquée par une exagération allant jusqu'à l'obsess° du B à donner du sens et d'appartenir à un gp
- Stade de résignation
Si ostracisat° chronique = résignat° ou acceptat° que les B fond. ne soient pas satisfaits
= Ê dépressif avec faible estime de soi + une charge pour les autres
REN, WESSELMAN, WILLIAMS (2016)
Recherche de solitude pour fuire tout contact social dans l'hypo d'un nouveau scenar d'exclu° social
PFUNDMAIR, GRAUPMANN, FREY et AYDIN (2015)
ont observé chez des enfants rejetés qui ne voulaient plus aller à l'école
BUHS, LADD 2001
ou collégiens pour qui les interact° sociales négatives sont les principales raisons de recherche de solitude
WESSELMANN et al 2014
Conclusion
- Devenons membre d'un gp à travers un processus séquentiel et progressif
- l'appge des normes et l'adhésion est un élément pivot au maintien dans le gp
- Diversité y est gérée et admise via la socialisat°
=> si cette diversité = divergeance = redef° des frontières avec press° à l'uniformisat°
Si succès continue le processus de socialisat° du membre déviant sinon exclusion
- Exclusion = rejet social = conséquences tant psycho que physq
privat° de l'individu de réponse à un ou +sieurs B fond.
réact° = comportement hostile / fuite / isolement
ou
Adhésion à des gp/idées extrêmes
- Les gp apportent assistance et soutien
- Réponse à "qui suis-je ?"
- Les gp offrent des info s/la pertinence et l'exactitude de nos attitudes et conduites FESTINGER (1950,1954) (théo de la comprais° sociale)
- Ê membre d'un gp = développement de sa propre id. TASFEL, TURNER (1979, 1989) (théo de l'id sociale)
Pensée dans le groupe
Types de tâches et nature du problème
Performance du gp influencée par la facilitation scle TRIPLETT (1987) (enfant qui enroulaient plus rapidement un moulinet si pas seul)
ZAJONC (1965) la présence d'autrui augmente la réponse dominante d'un indivi
Les perfs sont différentes selon les objectifs du gp
- Indviduel = fav la compétition
- Commun = favo la coopération
Les perfs sont aussi différentes dans le concept de paresse scle RINGELMANN (1913)
(tire à la corde, plus, ils sont nombreux, plus les responsabilités sont partagées)
Variation selon cohés° et motiva° d'affilia°
Les tâ. de perf = éxécut°
Différents des tâ. de résol° de pb = approche collaborative
Résol° de pb en gp dépend de la nature du pb
- Bien définis
Solut° claire et précise (trouver le coupable)
vont plus rejeter les solut° incorrectes
2 explicat° LORGE et SOLOMON (1955)
→ Mise en commun des compétences individuelles
→ Influence d'une personne clé sans interact°
FAUST (1959)
Comparaison de gp réels et fictifs
montre la supériorité des gp n'était pas nécessairement due à une intelligence collective MAIS à la proba d'obtenir une bonne réponse par le biais de la combinaison des efforts individuels.
- Mal définis
Pas de solut° exacte
Majorité des cas
Culture d'entp, RH, Comm° = intelligence collective
-> décis° importantes données à des gp car diversité des infos, des Csses et des idées = décis° de meilleures qualités
DAVIS (1996), McGEATH (1984), STEINER (1972)
critiqué : est-ce que les grp examinent bien
- Les risques et avantages
- modère-t-il ?
- partage-t-il ttes les infos ?
- Exhaustivités de l'infos ?
Polarisat° des groupes
Risjy Shift
phénomène de polarisat° des gp reflète l'extrémisa° des décisions prises en gp
si tendances initiales de chaque membre est prudente = le gp prendra 1 décis° encore + prudente
Si tendance extrême = décis° de gp encore plus risquée
Plusieurs processus :
- Influence normatif DEUTSCH et GERARD (1955)
À travers des discuss° la personne mesure les opinions des autres, la norme du gp = se conforme
Arguments de + en + extrêmes opour avoir l'approba° du gp = décis° + extrême que la posit° initiale de chacun
- Informationnel d'influence BURNSTEIN, SENTIS (1981)
Prise de Csses de nouveaux arguments, mais convaincants en faveur de la posit° dominante = adopt° d'une décis° + extrême
⇉ fait écho à ce que les gp se convainc de + en + par leurs propres argu à mesure qu'il se les répète BRAUNER, JUDD, GLINER (1955)
La pensée du gp
JANIS (1972)
pas parce que nous sommes +sieurs que tous les éléments d'un pb soient pris en compte
Pensée du gp trouve son origine dans la volonté de parvenir à un concensus, limitant l'express° d'avis divergents
Pensée critique remplacée par la pensée unique
- Effet des savoirs communs
Études
LARSON, CHRISTENSEN, FRANZ et ABOTT (1998)
Simua° d'une situat° médicale
Eq de 3 (2 étudiants, 1 interne) doit poser un diag
Certaines infos diffusées aux 3 membres, d'autres qu'à un seul
+ manip° de la vigilance (tendance à clore rapidement la discu°)
Résultats
- Infos partagées = Plus communiquées / proba que l'info pas partagées soit donnée diminuait
Ldr + enclin à poser des ? s/ info partagées MAIS avec le tps + de ? sur l'info pas partagée
Plus le gp avait partagé les infos pas partagées + le diag était juste
⇒ les membres ayant des infos pas connues des autres sont mal jugés
⇒ Ceux qui possèdent l'info pas partagée (eux seuls connaissent) voient les autres + compétents, + instruits, + crédibles
WITTENBAUM, HUBBELL, ZUKERMAN (1999)
- Principe de renforcement mutuel
L'exactitude des infos peut être vérifiée et appuyée par les autres = éval° positive de celui qui parle MAIS aussi d'elle-même (signaux verbaux et non verbaux).
Augmentation de l'importance accordée aux infos partagées = favorise la Comm° s. des infos partagées et sous-exploitat° des infos uniques
Groupe et créativité
Brainstorming
Pas aussi efficace que les gp nominaux MULLEN et al (1991)
+sieurs facteurs :
- 1 seul membre parle
- interférence avec la mémorisa° des idées et 1 déroulement chaotique des tours de parole
- Appréh° de l'éval° = auto-censure
⇒ comparaison scle = convergence vers un standard de perf bas
Le brainstorming électronique = + efficace, car efface les blocages GALLUPE et al ( 1994) et l'anonymat réduit l'appréh° de l'éval° COOPER et al (1998).
Conclusion
⇒ en gp les décis° ne sont pas plus justes
⇒ l'exactitude des décis° est liée à la Comm° de ts les éléments d'un pb/situat°
⇒ la pensée du gp inhibe l'express° de nouvelles infos, méconnues des autres — privilégie les infos communes
⇒ Leader = rôle centrale s/ select° des infos (reformula°, rebondissemt s/ infos non partagées, approfondissemt)
⇒ L directifs + ouverts aux info° non partagées LABSON, FOSTER-FISCHMANN et FRANZ (1998)
+ on va répéter les infos pas partagées = recherche de concensus
= membres vont prendre une décis° conforme à la posit° initial du L directif
La gest° du gp (manamgment)
LARSON et al (1998)
Le L n'est pas celui qui impose une décis°
YZERBYT et KLEIN (2019)
Le L est celui qui parvient à motiver les autres à faire ce qu'il veut
D'après les recherches = +sieurs L dans un groupe
Le contexte et la structure déterminent le style de Lship adopté et le + approprié pr atteindre les objectifs
Cadre théo du Lship
LIPPIT et WHITE (1949)
⇒ 3 styles de Mgt
- Autoritaire
Décis° centralisée
L donne des ordres/consignes strictes
Ctr rigoureux
Critiques fréquentes
= procédure accrue MAIS dépendante de la présence du L
+ de tens° et frustrat°
Séparat° entre le L et le gp
- Démocratique
Décis° collective
L encourage les participants
Suggestions
Autonomisat° des membres
= + gde satisfact° et implicat°
impact + à long terme
Wer plus autonomes et motivés
- Laisser-faire
ABS de directives actives
Le L contente d'informer
Total autonomie des Wer
= forte aspirat° chez les membres MAIS peu de réalisat° concrètes
+ de tens° / frustrat° car manque de soutien et de directives
=> Le choix du style = selon objectifs spéq et du contexte du gp
MAIS principalemt des caractéq du L
BLAKE et MOUTON (1964)
associat° de différents styles de Mgt à des personnes spéq
⇒ 2 axes
- Centrat° s/ la tâche
Vise efficacité maxi en minimisant les facteurs humains
- Centrat° Scle
accent s/ la relat° humaine et son impact s/ la product°
⇒ L idéal (facilitateur) combine :
- Intérêt pour les personnes
- Recherche d'efficacité
⇒ Style de intermed = équilibre entre exigences de prod° et satisfa° des employés.
Théorie de la contingence
FIEDLER (1967)
Les L émergent de l'intera° entre la personne et la situation (=contingence)
Le style perso du L (centra° s/tâche VS dimens° humaines) entre en intera° avec le niveau de Ctrl de la situa° par le gp (degrés d'autorité, clarté de la tâche...)
L orienté vers la tâche = + efficace si le Ctrl est très faible (B de structure) OU très élevé (B d'efficacité)
Si Ctrl modéré = L centré s. dimens° humaines et + flexible tout aussi efficace

⇒ 3 principaux facteurs pour savoir si efficace :
- Relat° entre L et subordonnés (niveau de confiance, respect...)
- Structure de la tâche (degré de formalisat°, clarté de la tâche...)
- Posit° de pwer du L (capacité à influencer la tâche = recrutemt, sanctions, primes...)
FIEDLER
L'efficacité du L dépend de l'adéquat° de son style de Lship aux condit° spéq de la situat° dans laquelle il se trouve.
Styles de Lship basés sur les effets
Théorie transactionnelle
L'échange des ressources est valorisé tant par le L que par le gp (estime, récompense...)
= inspirée de la théo de l'échange scle BLAU (1964)
⇾ échange relationnel entre le L et les membres accompagnés d'un sentiment d'obligation de réciprocité sup. à une relat° d'échange économq et instrumentale.
= + le L apporte des bénéfices + les membres du gp sont fav à son maintien
- Lship transactionnel = échange direct- perf contre rémunéra°, récompenses...
- Lship transformationnel = inspier et stimuler les membres - niveau d'effort et de per + élevé - Moins de turnover + gde satisfa°
- Lship charismatique = (Elon Musk) - capable de transcender les limita° et prendre des risq pour réaliser leur vision
- Lship visoonnaire = (Michael Dell) - vision réaliste et crédible du futur qui influence la sitat° actuelle
- Lship d'équipe = L facilitateur - transmiss° des Csses - Équipe en autonomie - L intervient comme personne ressource
⇾ capable de lâcher prise et renoncer au Ctrl direct favorise la collabora° et l'autonomie
Protocole de Lship
LORD, DE VADER et ALLIGER (1986)
⇒ L possède 3 caratq :
- Intelligence
- Masculinité
- Dominance
DEN HARTOG, et al (1999)
Points communs/divergence selon les visions du L selon les cultures
- Collectivistes = L dominant et évite les conflits
- Individualistes = L dominant et tolère les conflits
Manières indépendantes des cultures = L masculin (préjugés s/ les femmes)
⇒ 3 effets pour les femmes
- Plafond de verre
Phéno selon lequel les niveaux sup. hiéraq ne seraient pas accessibles aux femmes
= prédit par la théo de la dominance scle PRATTO, SIDANIUS et LEVIN (2017) et SIDANIUS et PRATTO (1997)
⇾ pour maintenir leur posit° dominante, les membres développent et perpétuent des mythes légitimateurs = justifient moralement et intellectuellement la distribu° inéquitable du pwer
- La falaise de verre
HASLAM et RAYAN (2008)
Les F + succeptibles d'avoir le Lship en cas de crise ou organisa° en déclin
⇾ dû aux stéréotypes (+douces, + maternelles) et au phénomène du plafond de verre (accèdent peu aux postes à resp = + capable de relever le défi)
- La distanciation par rapport au gp d'appartenance
Ou syndrome de la reine des abeilles
= Les F ayant réussi dans un domaine dominé par les H + susceptibles de s'opposer à la réussite d'autres F
STEINES, TRAVIS et JAYARATNE (1974)
Étude
ELMER et al (2004)
études doctorantes/doctorants et enseignants chercheurs
= doctorantes moins investies que les doctorants
⇾ les F ayant réussi peuvent être différentes des autres F, voires proches des H
⇒ Aucune évolution entre l'étude de 2004 et celle de 2020
⇒ Les styles de Lship influencent et déterminent la structure scle d'une orga°
Rela° entre Lship et structure scle = bidirectionnelle
Structure sociale, statut(S) et pouvoir (Pwer)
⇒ style pyramidal
L'orga° scle se réfère à la disposition des indiv au sein d'une structure scle, classés selon des échelons subordonnés.
Soit dominé / Soit dominant
MAGEC et GALINSKY (2008)
La hiérarchie associée (implicite ou pas) organise les indiv u gp selon une dim° scle donnée.
Hiérarchie présente dans tous les gp (famille, W...)
⇾ Hierarchisa° remplit +sieurs fonctions :
- Fonction d'organisa° =
ordre scl - permet de coordonner les activités - répondre aux B de structure et stabilité - définit les rôles et responsabilités
- Fonction de motiva°
La hiérarchisa° incite à progresser
Statut VS Pouvoir
⇒ 2 concepts différents, mais qui interagissent
BRAUER et BOUHRIS (2006) / CHAPPE et CASTANO (2004) / MAGEE et GALINSKY ( 2008)
Définition
Le Pwer implique une influence directe + capacités à diriger ou imposer des décisi°
Définition
Le S engendre une dépendant des indiv ou gp ayant un S élevé envers ceux qui leur accordent du respect et de l'admira°
⇒ 6 différents types de Pwer MARQUEZ (2006), COLIN (2005)
- Légitime = posit° formelle et officielle
- Coercitif = capacité à imposer des punitions ou exercer un Ctrl négatif
- Nuisance = Y est le seul à pouvoir accorder des congés
- Récompense = offrir des récompenses réelles ou symboliques (Y qui réparti les primes)
- D'expertise = compétences spéq ou de l'expértise reconnues d'un indivi. (Y seul à savoir utiliser la machine)
- Référent = adminra° et traits perso qui inspirent le respect (Y est reconnu dans le métier et donc exerce une influence importante)
Conséquence du positionnement face au pouvoir
Positionnt d'un indiv face au Pwer qui influence son comportement et ses perceptions.
- Si posit° dominante = pense et agit pour maintenir
- Si posit° dominée = B de Ctrl la situa° et obtenir des récompenses
Théorie de l'approche — inhibition
KELTNER et al (2003)
explique les différences comportementales en fonct° du niveau de Pwer
- Pwer élevé :
Comprtt d'approche
Faible inhibition comportemle
Moins sensi à l'influence scle
+ à prendre des risques
- Pwer faible :
Comprt d'évitement
Liberté d'action réduite
Sensi aux punit° / menaces
Dépendance à l'opinion des autres
⇒ +sieurs études pour induire le Pwer
on observe des VD comme :
- Gestuelle ELLYSON et DOVIDO (1985)
- Prise de risque ANDERSON et GALINSKY (2006)
- Conso et propreté WARD et KELTNER (2003)
= Si Pwer élevé -> + de liberté dans leurs actions et expressions — se conforment moins aux normes
Gp puissant = + de tolérance dans le gp - favo + grande hétérogénéité
Gp faible = homogénéité — tendance à se conformer et éviter les conflits internes
Pwer et prise de perspective (PPve)
Définition
Si Pwer élevé = difficile, car indépendant des autres et focus s/ ses objectifs = PPve limitée

GALINSKY et al (2006)
Études
Inscrire une lettre s/ front
Activa° PPve = réponse orientée var SOI (lettre E sens pour soi)
II. Relation intergroupe
1ᵉʳ travaux en psycho scle s/ la relation intergroupe ont commencé dans les années 1940.
Objectif ⇾ expliquer l'origine des stéréotypes (Stéréo) et des préjugés (préj.) caractéristiques des relations intergp problématiques.
Les 3 approches traditionnelles sur les conflits intergp
Approche fonctionnelle
Mussafer SHERIF et Carolyne SHERIF (1979) = théorie des conflits réels
L'objectif est de comprendre les causes des conflits sociaux e apporter des solut°
Approche fonctionnelle ⇉ pour SHERIF les comportements sont guidés par des buts fonctionnels. (recherche de Rces et d'intérêts matériels)
⇒ 2 idées centrales :
- 2 types de RIG = compétitives ou coopératives (conflit au centre des préoccupations de SHERIF)
- Compétition pour les motifs réels engendre le conflit = préj. et stéréo (conflit à l'rigine des préj. et stéréo.)
⇒ L'exp de la Caverne des voleurs
SHERIF et al (1954/1961)
Étude
22 garçons ne se connaissent pas d'une douzaine d'années
4 phases :
1) interact° libres et activités agréables = relat° de sympathie et d'amitié
2) Division en 2 groupes en séparant les paires d'amis
Evol° des deux groupes de manière indépendante
activités agréables pour les 2 sans saoir ce que fait l'autre gp
Observations =
- Restructura° de chq gp = L + normes
- Signes de cohé° interne + signes d'hostilités
- Paires initiales d'amis dissoutes au profit de choix internes
3) 2 gp en contact + activités agréables, mais compétit° :
- dév de la rivalité
- dev de l'exclus°
- dév de la déval° du hors gp
+ changt des structures des rela° (L initial rempla par un + actif)
Mesures des percept°, attitudes et perf
= suréval° de l'endogp et déval° +++ de l'exogp
4) Tentative de réduction des conflits intergp
⇾ 3 méthodes :
- Contact lors de situa° agréables sans compétit° = bilan négatif (les 2 gp s'installent dans des aires séparées + animosité)
- Réunion face à un 3ᵉ gp (adversaire commun) = efficacité relative et très provisoire
- Objectif commun dont l'atteinte est conditionnée à la mise en commun des efforts (situation urgente et importante qui crée de l'interdépendance) = baisse de l'hostilité et du favo intragp + rétablisst des choix sociométriques evnvers les mebres de l'autre gp
⇒ Les stéréotypes et les discriminations dans la théorie des conflits réels (TCR)
L'exp de SHERIF confirme l'hypothèse = compét° génère du conflit qui entraine des comportt hostiles et discriminatoires
⇒ TCR = + la compétition pour atteindre et posséder des Rces limitées est indispensable + les préj. et la discimina° seront intenses = accenta° de la disctinct° s/ le plan perceptif, affectif, relationnel, comportemental.
YZERBIT et KLEIN (2019)
En dev des stéréo et attitudes négatives envers l'exogp = solidarité de son gp
Maximise les Rces dont dispose l'endogp au détriment de son rival
⇒ Pour réduire le conflit = le contact ne suffit pas, MAIS coopération nécessaire et qui doit se solder par un succès.
!!! CRITIQUES !!!
- Préj et comportements discriminatoires présentés comme forcémt le résultat d'un conflit.
- Pb de la généralisa° de ces résultats s/ la réduction du conflit via le but supraordonné = ne fonctionne pas si l gp a déjà une longue histoire conflictuelle
- 2ème phase = signes d'hostilités déjà présents alors que pas de compétit°
Approche de la théorie de l'identité sociale : motivationnelle et cognitive
Apparition dans les années 70 avec les W de TAJFEL (1981) et TURNER (1979, 1986)
- Pour appréhender les phénomènes de catégorisa° d'ID sociales
- Montre que le conflit n'est pas une condition nécessaire à l'émergence des préj., des stéréo et des comportt discriminatoires.
TAJFEL a voulu mettre en avant que les Rces symboliques et pas seulement les matérielles sont importantes
⇒ Paradigme des groupes nominaux (PGM) / Biais de favoritisme de l'endogp (BFE)
TAJFEL, FLAMENT, BILLING et BUNDY (1971)
Étude
1ʳᵉ phase :
- Série de diapo avec des pts - rapide
- donner une estim° du nbr de pts
- Lors des résultats donnés aux participants = surestima° ou sous-estima°
Puis divisés en 2 gp selon leur réponse (répartition arbitraire et aléatoire)
But = créer 2 gp minimaux cad épurés de toutes rela°
2ᵉ phase :
- dde de prise de décision = montant rému pour 2 personnes dont ils ne connaissent quee l'appartenance groupale
Résultats = Montant plus élevé pour le membre de son gp = BFE
BOURHIS, COLE et GAGNON (1992)
=> Ppe généraux du BFE :
- 2 gp avec répartit° arbitraire : Eux/nous
- Aucune histoire de conflit (gp formé pour le B de l'exp)
- Anonymat complet
- Pas d'interact° sociale
- Abs de lien instrumental
=> La théorie de l'identité sociale (TIS)
Mise en place pour rendre compte de favoritisme pro-endgp apparu sans qu'une situa° de compétition et conflictuelle ne soit instaurée.
Donne une explica° motivationnelle et cognitive qui articule les processus cognitifs :
- Catégorisa° sociale
- Comparaison sociale
avec les B motivationnels identitaires
Selon la théorie, les indiv cherchent à savoir ou à maintenir une estime positive de soi
⇾ Pas suffisant = avoir une ID sc=cle positive
Une ID scle peut être + ou -
- Si + = cherche à conserver et étendre la sup. de son gp
- Si - = cherche à accéder à une ID scle positive ⇾ +sieurs straté BOURHIS et LEYENS (1994)
⇒ Les stéréotypes et la discrimination dans l'approche de l'identité sociale
Permettent de conserver une ID scle positive selon 3 fonctions :
- Explication YZERBIT et SHADRON (1994)
+ qu'un contenu évaluatif
comprennent le pq, l'explica° du fait que ces personnes constituent un gp et l'explica° de leurs ressemblances.
ex : stéréo négatifs envers les élèves de milieux défav (moins intelligents que ceux favo) permettent d'expliquer leur échec scl
⇒ un stéréo sera plus utilisé s'il fournit une explication du comportement des membres
- Justification JOST et BANAJI (1994) ROGIER et YZERBIT (2002)
Justifie les inégalités entre les gp sociaux
ex : le stéréo d'infériorité intellectuelle envers les élèves de milieu def justifie leurs faibles statuts socio-éconoq
- Différenciation sociale LAYENS et YZERBIT (1992)
permet d'accentuer les différences entre l'endogp et l'exogp pour mettre en valeur l'endogp
L'approche cognitive de la catégorisation sociale
Passe d'une théo phénoménologique (approche fonctionnelle et TIS) à une théo + opératoire fondée s/ les mécanismes de base + généraux
⇒ L'origine cognitive des stéréotypes
2 mécanismes cognitifs :
- Assimilation et contraste
expérience en présentant des séries d'objets en variat° continue = double effet au niveau de la percept°-estimat°
⇾ éléments appartenant au même ensemble = + homogènes qu'en absence de regroupement
⇾ éléments ensemble différents sont + différents qu'en absence de regroupement
2 conséquences complémentaires :
⇾ Accentuat° des ressemblances intra-catégo (effet d'assimilation)
⇾ Accentuat° des différents inter-catégo (effet de contraste)
DOISE, DESCHAMPS et MEYER (1978)
TAJFEL et WILKES (1963)
étendues au gp et aux indi
- Accentua° des ressemblances entre les individus d'un même gd (effet d'assmilia°)
- Accentua° des différences entre les individus de gp différents (effet de contraste)
=> Le degré d'accentuation dépend du gp = l'effet d'accentua° pas le même pour les membres de l'endogp que l'exogp
Tendance à minimiser les différences entre les membres de l'exogp
⇾ effet d'homogénéisa° de l'exogp ROTHBRT, DRAWES et PARK (1984)
⇒ Corrélation illusoire
Imaginer un lien entre 2 évènements (croyances pop, supersitit°....) ex: pleine lune et accouchement = proba accouchement accentué
Analyse s/ un échantillon faible, mais s'en contente, mémorisation que des coïncidences qui vont dans ce sens = renfo croyance
HAMILTON et GIFFORD (1976)
tendance à associer les données saillantes entre elles, comme les évènements rares à des gp minoritaires =origine des stéréo envers les minorités
Étude
Présentation de comportements + ou -
1 gp majo et un gp mino
1ère exp : 2 x plus de +
= surestima° de la fréquence des actes 6 dans le groupe mino
⇾ les évènements rares (comprtt 6) sont associés à la mino
Si inverse = majo associée aux comprtt 6 et mino aux comprtt +
Fonction des stéréotypes = décharge cognitive (DC)
Permettent de faire des inférences autoq pour allouer nos Rces Cves à d'autres tâches ?
⇒ Stéréo autoq DEVINE (1989)
même si on n'adhère pas au stéréo, nous en connaissons l'existence
Stéréo et labels catégoriels (gp d'appartce) sont associés en mémoire
Labels activent le contenu du stéréo
Les stéréo influencent nos jugements même si nous n'y souscrivons pas
= pour évaluer on utilise le paradigme de l'amorçage
Étude
1ʳᵉ phase :
pero blanches moitié raciste moitié non
s'assurer que les non racistes connaissent le stéréo s/ l'aggressivité des noires
2ᵉ phase :
Amorçage
exposit° des 2 moitiés à de smots de manière subliminale (pas conscient des mots qu'ils voient)
1ʳᵉ moitié = mots associés au stéréo majoritaire 80%
2ᵉ moitié = mots associés au stéréo minoritaire 20%
doivent ensuite juger une cible
Résultats :
- les sujets avec l'amorçage à 80% faisaient davantage d'interprétation hostile que les autres = pas d'ineract° si raciste ou pas
- Stéréo s'activent autoq
!!! CRITIQUES !!!
- utilisat° des mots associés au stéréo sont tous négatifs = activent seuls l'hostilité
- La force de cet effet d'amorçage diffère selon le degré de préjugé LEPORE et BROWN (97)
- Activat° des stéréo pas systématiquement autoq mais dépend de la dispo des Rces Cves
⇒ Leurs applications dépendent de la dispo des Rces Cves
Automatisa° soumise à certaines condit° — la simple expos° à l'objet du stéréo ne suffit pas
La dispo des Rces de tratt constitue une pré-condit° imortante de l'activat° = si occupé cognivt et rencontrent l'objet d'un stéréo pas de signe d'activ°
2 études
PREMIÈRE
Montrer que la charge Cve peut inhiber la simple activa° des stéréo
tâche de cplét° de mots s/ forme d'enregistt vidéo = femme asiatique ou pas avec panneau de mot à compléter
Maipula° ethnique = activer le stéréo timidité des asiatiques
1 moitié surcharge Cve en retenant un nb à 8 chiffres
Résultats :
Si distrait par une tâche = complètent moins pour donner des mots caractéristiques du stéréo
Mais ont bien enregistré que la femme était asiatique
→ la surcharge a donc empêché l'activa° en mémoire du stéréo
SECONDE
idem que la 1ʳᵉ SAUF
discours de l'expérimentatrice à partir de son quotidien
1 moitié en surcharge
Résultat
Une variable idem que l'étude 1 - 2nd VD (jugement émis) participants surchargés cognitivt pendant la phase de jugt = stéréotypisa° +++
⇾ Une fois que le stéréo est activé, son application est facilitée par le manque de Rces Cves
La réduction des conflits intergroupes
Le contact intergroupe
Gordon ALLPORT (1954) fondateur de la psy scle
Définition
Mais ne supposait pas que tous les contacts auraient cet effet (certains de ses W ont montré que la proxi = augmenta° des hostilités)
⇒ Les conditions optimales
ALLPORT (1954) différents types de contacts et qui peut varier selon de nombreux paramètres
- quantitatifs (fréquence)
- statut (mino/majo numq..)
- rôle (compét ou coopé)
- ambiance (contact vol ou non, contact perso interperso ou intergroupal)
- personnalité (diff indiv présents)
- de domaine (pro religieux...)
= proposition d'une liste de 4 conditions pour effets bénéfiques :