Le champs magnétique terrestre peu être comparé à un aiment situé au centre de la Terre. Il s'inverse de manière aléatoire au cours des temps géologiques. On peut le voir grâce aux basaltes qui contiennent des minéraux ferromagnésien qui enregistre les champs magnétique ( normale et inverse )
Au moment de leurs cristallisations. On parle de paléo-magnétisme.
On a pu voir au début du XXème siècle une inversion dans des coulées de lave de volcans continentaux .
Une échelle magnétostratigraphique à été établie.
Grâce à des magnétomètre embarqués sur des navires océanographique on a pu voir des anomalies du champs magnétique grâce au basalte. Ces anomalies magnétiques révèlent une alternance de bande parallèle et symétrique par rapport à la dorsale .= datation des roches.
Existence de volcans aux frontières de plaques mais aussi au sein même des plaques.
plus on s'éloigne de l'axe des dorsales, plus la couche de sédiment est épaisse( contact avec le basalte ) .
Plus on s'éloigne de l'axe des dorsales, plus la croute océanique est vielle
possible de le savoir grâce aux forages :carottes
Modèle NUVEL1 :
1930: à partir de la vitesse moyenne des plaques, ordre de grandeur 1 à 10 cm/an
ce modèle présente 12 plaques lithosphériques rigides qui se déplacent à la surface du globe.
Modèle MORVEL:
2010-2012 intègre les données satellites= améliore la précision
comprend 25 plaques rigides
Les plaques lithosphériques peuvent diverger, converger ou coulisser les unes par rapport aux autres.
Les frontières divergentes:
Les frontières convergentes:
soit:
Différentes approches permettent de calculer la vitesse de déplacement des plaques lithosphériques à la surface de la Terre :
• Le volcanisme de point chaud: En suivant le déplacement des volcans par rapport au volcan actif ou du point chaud nous pouvons voir grâce à l'alignement le sens de déplacement de la plaque. Plus le volcans est loin du point chaud, plus le volcan est vieux.Et grâce aux roches volcaniques il est possible de trouver la vitesse
• La sédimentation océanique: Les sédiments océaniques peuvent aider pour calculer la vitesse grâce aux carottes qui prélèvent du basaltes et des sédiments accumulés.
• Le paléomagnétisme: Grâce à l'échelle magnétostratigraphique et la distance par rapport à la dorsale, il est possible de démontrer que les plaques lithosphériques s'écartent et de connaitre la vitesse de leurs déplacement
• Le système GPS :Des satellites envoient des signaux à des balises, leurs positions longitudinales et latitudinales sont alors connu (bcp de précisions) En suivant leurs positions dans le temps, il est possible de mesurer la vitesse et déterminer le sens de déplacement des plaques. Les données géodésiques permettent d'avoir des mesures imédiates de ces déplacement. ( concordance à 90% )
v= d/t
Le champs magnétique terrestre peu être comparé à un aiment situé au centre de la Terre. Il s'inverse de manière aléatoire au cours des temps géologiques. On peut le voir grâce aux basaltes qui contiennent des minéraux ferromagnésien qui enregistre les champs magnétique ( normale et inverse )
Au moment de leurs cristallisations. On parle de paléo-magnétisme.
On a pu voir au début du XXème siècle une inversion dans des coulées de lave de volcans continentaux .
Une échelle magnétostratigraphique à été établie.
Grâce à des magnétomètre embarqués sur des navires océanographique on a pu voir des anomalies du champs magnétique grâce au basalte. Ces anomalies magnétiques révèlent une alternance de bande parallèle et symétrique par rapport à la dorsale .= datation des roches.
Existence de volcans aux frontières de plaques mais aussi au sein même des plaques.
plus on s'éloigne de l'axe des dorsales, plus la couche de sédiment est épaisse( contact avec le basalte ) .
Plus on s'éloigne de l'axe des dorsales, plus la croute océanique est vielle
possible de le savoir grâce aux forages :carottes
Modèle NUVEL1 :
1930: à partir de la vitesse moyenne des plaques, ordre de grandeur 1 à 10 cm/an
ce modèle présente 12 plaques lithosphériques rigides qui se déplacent à la surface du globe.
Modèle MORVEL:
2010-2012 intègre les données satellites= améliore la précision
comprend 25 plaques rigides
Les plaques lithosphériques peuvent diverger, converger ou coulisser les unes par rapport aux autres.
Les frontières divergentes:
Les frontières convergentes:
soit:
Différentes approches permettent de calculer la vitesse de déplacement des plaques lithosphériques à la surface de la Terre :
• Le volcanisme de point chaud: En suivant le déplacement des volcans par rapport au volcan actif ou du point chaud nous pouvons voir grâce à l'alignement le sens de déplacement de la plaque. Plus le volcans est loin du point chaud, plus le volcan est vieux.Et grâce aux roches volcaniques il est possible de trouver la vitesse
• La sédimentation océanique: Les sédiments océaniques peuvent aider pour calculer la vitesse grâce aux carottes qui prélèvent du basaltes et des sédiments accumulés.
• Le paléomagnétisme: Grâce à l'échelle magnétostratigraphique et la distance par rapport à la dorsale, il est possible de démontrer que les plaques lithosphériques s'écartent et de connaitre la vitesse de leurs déplacement
• Le système GPS :Des satellites envoient des signaux à des balises, leurs positions longitudinales et latitudinales sont alors connu (bcp de précisions) En suivant leurs positions dans le temps, il est possible de mesurer la vitesse et déterminer le sens de déplacement des plaques. Les données géodésiques permettent d'avoir des mesures imédiates de ces déplacement. ( concordance à 90% )
v= d/t