Les limites avec les lieux du génocide Tsigane

Les Tsiganes sont considérés comme racialement inférieur notamment discriminés par les lois de Nuremberg dès 1935. Ils devaient porter des signes discriminatoires (triangle noir ds les camps).

On va avoir une ghettoisation / mis ds des résidences surveillés. Ils seront aussi déportés ds des camps dès 1943 (23 000 Tsiganes à Auschwitz) où ils seront utilisés comme cobaye pr les expériences scientifiques / stérilisés.

La reconnaissance mémorielle est récente et partielle :

• place du silence ds leur culture / pas de notion de futur ni passé
• ignorent les concepts d'histoire et mémoire
• rareté des travaux historiques qui s'appuient sur de faibles témoignages
• poursuite de la ségrégation envers les Tsiganes après la g.

La mémoire est reconnue à la fin du 20e siècle, grâce à des associations communautaires en Europe, à l'art, à des témoignages des survivants. Cependant il n'y a pas de mot pr définir "génocide", des linguistes vont inventer :

• Porajmos
• Samudaripen (meurtre de masse en Romain)

Le génocide Tsigane est un génocide oublié :

• 250 000 à 500 000 victimes
• Pb d'archives car ils sont nomades
• lieux de mémoires rares.

6000 nomades internés dans des camps en France : devient des lieux de mémoire.

• stèle ds le camp de Montreuil Bellay en 2016 où 4000 Tsiganes furent internés. Classé monument historique en 2010 en tant que camp de c pr nomade.
• 1956, en Pologne, inauguration du premier mémorial Tsigane, stèle érigée.
• Berlin, mémorial inauguré en 2012, étang en triangle noir.

Juger les criminels nazis

Après 1945 ds le contexte de dénazification

On a les 4 D :

• démocratisation, désarmé, décartellisation, dénazification.

Des questionnaires sont distribués, des procès organisés ds les zones d'occupation alliés -> prolongement du Tribunal de Nuremberg.

Procès de décembre 1946 à octobre 1948.

• les médecins (23 inculpés dont 7 acquittement)