"Connaissez-vous le cœur des femmes, Perdican ?":
1)question oratoire =elle n'attend pas de réponse mais prend le devant sur la conversation.
2)l'apostrophe =permet de renforcer l'impression quelle veut toute son intention.
3)métonymie =elle parle des sentiment en employant le mot cœur.
"Avez-vous bien réfléchi à la nature de cet être faible et violent, à la rigueur avec laquelle on le juge, aux principes qu'on lui impose ?":
4)périphrase =de la société faible et violent.
5)champ lexical de la loi =les femmes ne sont pas libre.
6)"elle lève la tapisserie": la didascalie =traduit un jeu de scène qui est comme un lever de rideaux.
7)"Evanouie": didascalie =révèle que Rosette est très sensible et n'a pas supporter ce quelle a entendu.
"Que répondrez-vous à cette enfant, Perdican, lorsqu’elle vous demandera compte de vos paroles ? Si vous ne mentez jamais, d’où vient donc qu’elle s’est évanouie en vous entendant me dire que vous m’aimez ?":
8)Les deux points d’interrogation : ce sont des questions oratoires =qui prouvent que Camille est sûre d’elle.
9)"cette enfant ": périphrase =qui insiste sur l’enfance, l’innocence.
"Je vous laisse avec elle ; tâchez de la faire revenir. (Elle veut sortir.)":
10)"tâchez": c’est un impératif =un ordre qui montre sa position de domination.
11)Les deux propositions sont très courtes =son ton est sec.
"Perdican : Un instant, Camille, écoutez moi."
12)"Ecoutez moi ": Perdican reprend le vouvoiement =pour traduire la distance, il veut se justifier mais Camille le fait taire.
"Que voulez-vous me dire ? c’est à Rosette qu’il faut parler. Je ne vous aime pas, moi ; je n’ai pas été chercher par dépit cette malheureuse enfant au fond de sa chaumière":
13)"je ne vous aime pas, moi": c’est une énumération =qui amplifie la gravité de ce que Perdican a fait.
14)"je n’ai pas "ou de " je ne lui ai pas ": en début de proposition est une anaphore =qui crée une instance, qui martèle la même idée.
15) "malheureuse enfant": est une périphrase =qui suscite la pitié