Partielo | Créer ta fiche de révision en ligne rapidement
Post-Bac
2

microbiologie

Définition

capsule bactérienne
élément structural facultatif des bactérie, pour pouvoir s'adapter dans des conditions défavorables. Cette structure est située à l'extérieur de la paroi, composé de sucre hydrophile qui forme ainsi un gel autour du corps bactérien. En limitant l'adherence des bactéries aux muqueuses et l'accès des anticorps aux antigènes de paroi, elle constitue un facteur de virulence. Elle permet de résister à la dessiccation. les sucres sont des composants antigéniques.
bactérie chémotrophe
synthétise l’ATP par des réactions d’oxydoréduction.
Une bactérie auxotrophe pour l’hémine et le NAD+
ne peut pas synthétiser ces composés indispensables à sa croissance et doit donc les trouver dans le milieu de culture
Une bactérie mésophile
un optimum thermique entre 20 et 40°C.
Une bactérie aéro-anaérobie facultative
pousse préférentiellement en présence d’oxygène (accepteur terminal de sa chaine respiratoire) mais tolère l’absence d’oxygène grâce à la possibilité d’un métabolisme fermentatif
la transformation bactérienne
un mécanisme d’échange génétique horizontal non orienté. Il consiste en l’acquisition par la bactérie receveuse d’ADN libre en solution. Une fois dans le cytoplasme bactérien, cet ADN peut s’intégrer au génome bactérien par recombinaison homologue, ou se recirculariser s’il s’agit d’un plasmide.

mise en évidence du pathogène dans le LCR : diagnostic direct

  • Première analyse macroscopique de l’échantillon, qui consiste à analyser son aspect à l’oeil nu. Ceci peut permettre une orientation diagnostique (par exemple, un LCR trouble ou purulent oriente vers une origine bactérienne).

soit :

  • On effectue ensuite une analyse microscopique à l’état frais et après coloration (telle que la coloration de Gram). Ca consiste à l’isolement par culture en milieu gélosé. Le but est d’obtenir des colonies isolées dont on analysera l’aspect macroscopique (taille, forme, couleur,... des colonies) et microscopique (état frais, coloration de Gram) et à partir desquelles on réalisera des test biochimiques rapides. Ces tests permettent de choisir une galerie d’identification biochimique adaptée.
  • Alternativement, on peut soumettre les colonies d’intérêt à une analyse par spectrométrie de masse.
  • Le diagnostic peut également être réalisé par biologie moléculaire en réalisant une PCR avec des amorces spécifiques du pathogène recherché.
  • On peut aussi mettre en œuvre un test d’immunoanalyse pour rechercher un antigène du pathogène grâce à un anticorps spécifique.

La réponse de la personne à la vaccination peut être évaluée par le dosage des anticorps de type IgG

dirigés contre Haemophilus influenzae. Le système immunitaire produit des anticorps spécifiques de classe IgM, puis de classe IgG. Les IgM produites sont transitoires et ne permettent à long terme de la réponse vaccinale. Les IgG perdurent dans le temps et sont donc adaptées à l’évaluation de l’immunité post-vaccinale.

cycle viral du VIH :

1. Etape d’attachement. Elle aboutit à la reconnaissance spécifique d’un récepteur.

2. Pénétration du virus dans la cellule. Celle-ci peut se faire à la membrane plasmique ou à la membrane de l’endosome.

3.Trafic intracellulaire et décapsidation. Dans le cas du HIV, l’ARN viral subit une rétrotranscription (ou transcription inverse) et l’ADN résultant est adressé au noyau

4. Intégration de l’ADN viral dans le génome de la cellule infectée (on parle alors de provirus).Et transcription du génome viral intégré en ARN messager. Dans le cas du HIV, cette étape est l’étape ultime de la réplication (production de nouvelles copies de génome viral)

5.Traduction. Les protéines virales sont traduites à partir des ARNm.

6. Assemblage, qui consiste en la production de nouvelles particules virales. Dans le cas du HIV, l’assemblage se fait à membrane plasmique.

7. Libération par bourgeonnement et maturation pour produire des particules virales infectieuses.

Post-Bac
2

microbiologie

Définition

capsule bactérienne
élément structural facultatif des bactérie, pour pouvoir s'adapter dans des conditions défavorables. Cette structure est située à l'extérieur de la paroi, composé de sucre hydrophile qui forme ainsi un gel autour du corps bactérien. En limitant l'adherence des bactéries aux muqueuses et l'accès des anticorps aux antigènes de paroi, elle constitue un facteur de virulence. Elle permet de résister à la dessiccation. les sucres sont des composants antigéniques.
bactérie chémotrophe
synthétise l’ATP par des réactions d’oxydoréduction.
Une bactérie auxotrophe pour l’hémine et le NAD+
ne peut pas synthétiser ces composés indispensables à sa croissance et doit donc les trouver dans le milieu de culture
Une bactérie mésophile
un optimum thermique entre 20 et 40°C.
Une bactérie aéro-anaérobie facultative
pousse préférentiellement en présence d’oxygène (accepteur terminal de sa chaine respiratoire) mais tolère l’absence d’oxygène grâce à la possibilité d’un métabolisme fermentatif
la transformation bactérienne
un mécanisme d’échange génétique horizontal non orienté. Il consiste en l’acquisition par la bactérie receveuse d’ADN libre en solution. Une fois dans le cytoplasme bactérien, cet ADN peut s’intégrer au génome bactérien par recombinaison homologue, ou se recirculariser s’il s’agit d’un plasmide.

mise en évidence du pathogène dans le LCR : diagnostic direct

  • Première analyse macroscopique de l’échantillon, qui consiste à analyser son aspect à l’oeil nu. Ceci peut permettre une orientation diagnostique (par exemple, un LCR trouble ou purulent oriente vers une origine bactérienne).

soit :

  • On effectue ensuite une analyse microscopique à l’état frais et après coloration (telle que la coloration de Gram). Ca consiste à l’isolement par culture en milieu gélosé. Le but est d’obtenir des colonies isolées dont on analysera l’aspect macroscopique (taille, forme, couleur,... des colonies) et microscopique (état frais, coloration de Gram) et à partir desquelles on réalisera des test biochimiques rapides. Ces tests permettent de choisir une galerie d’identification biochimique adaptée.
  • Alternativement, on peut soumettre les colonies d’intérêt à une analyse par spectrométrie de masse.
  • Le diagnostic peut également être réalisé par biologie moléculaire en réalisant une PCR avec des amorces spécifiques du pathogène recherché.
  • On peut aussi mettre en œuvre un test d’immunoanalyse pour rechercher un antigène du pathogène grâce à un anticorps spécifique.

La réponse de la personne à la vaccination peut être évaluée par le dosage des anticorps de type IgG

dirigés contre Haemophilus influenzae. Le système immunitaire produit des anticorps spécifiques de classe IgM, puis de classe IgG. Les IgM produites sont transitoires et ne permettent à long terme de la réponse vaccinale. Les IgG perdurent dans le temps et sont donc adaptées à l’évaluation de l’immunité post-vaccinale.

cycle viral du VIH :

1. Etape d’attachement. Elle aboutit à la reconnaissance spécifique d’un récepteur.

2. Pénétration du virus dans la cellule. Celle-ci peut se faire à la membrane plasmique ou à la membrane de l’endosome.

3.Trafic intracellulaire et décapsidation. Dans le cas du HIV, l’ARN viral subit une rétrotranscription (ou transcription inverse) et l’ADN résultant est adressé au noyau

4. Intégration de l’ADN viral dans le génome de la cellule infectée (on parle alors de provirus).Et transcription du génome viral intégré en ARN messager. Dans le cas du HIV, cette étape est l’étape ultime de la réplication (production de nouvelles copies de génome viral)

5.Traduction. Les protéines virales sont traduites à partir des ARNm.

6. Assemblage, qui consiste en la production de nouvelles particules virales. Dans le cas du HIV, l’assemblage se fait à membrane plasmique.

7. Libération par bourgeonnement et maturation pour produire des particules virales infectieuses.

Retour

Actions

Actions