Edward Freeman est un philosophe et universitaire americain né en 1961 et est à l'origine de la théorie des parties prenantes il permet de comprendre pourquoi et comment les organisations intègrent les attentes de l'ensemble de leurs paerties prenantes Cette théorie est largement utilisé dans le domaine de la RSE.
Le but premier d’une E est de réaliser des profits lui permettant de rémunéré ses investisseurs, ses salariés ces investissements mais lui laissant en même temps la possibilité d’investir pour innover afin d’assurer sa pérennité Cet objectif n’est cependant pas le seul susceptible d’être poursuivit par l’E qui cherche également à assurer un maximum de bien être pour ses salariés ( but cosial ) et à participer à celui de la société notamment en veillant à ne pas lui nuit (but sociétal) On pouvais s’attendre à ce que la poursuite de ces deux but soit opposé à la performance économique en réalité il n’en est rien car poursuivre des finalité sociale et sociétale c’est en réalité conférer un avantage concurrentiel à l’E et améliorer la productivité de ses salariés, historiquement un des premiers théoriciens du management dénommer Peter Drucker (1909 – 2005)à la finalité d’une E consistait exclusivement à développer une clientèle en se fixant des obj précis en matière d’innovation, d’organisation des RH, de ressource f€ de productivité et de responsabilité sociale.
Définition
La finalité d’une E
c’est sa raison d’exister défini lors de sa création on peut dire que la finalité est l’ADN de l’E.
Il s’agit donc d’un but définit sur le long terme contrairement aux objectif qui correspondent à des seuils quantifiés dans tels et tels secteur de l’activité, les obj sont donc des résultat que l’E souhaite atteindre dans un délais déterminé
La finalité économique
consiste à créer de la valeur financière en combinant le profit et la croissance. Elle permet à l’entreprise de réaliser son activité, d’assurer sa pérennité et de pouvoir accomplir d’autres finalités.
La finalité sociale
correspond à l’engagement de l’entreprise à prendre en compte les attentes de ses salariés, par exemple en améliorant leurs conditions de travail ou en favorisant leur épanouissement.
La finalité sociétale
est l’engagement de l’entreprise à contribuer au bien-être de la société et à interdire ce qui peut lui nuire (par exemple, utiliser des matériaux non polluants, refuser de s’installer dans un pays où les droits de l’homme sont bafoués).
A retenir :
On désigne par le terme de finalité les différents but à l’origine de la création d’une E ces finalités sont certes automatiquement d’ordre économique l’essence même d’une E étant de réaliser un profit s’y ajoute toute fois une finalité sociale correspondant de la prise en compte des attentes et besoins des salariés ainsi qu’une finalité sociétale afin de contribuer au bien être de la société ou à tout le moins en évitant de lui nuire.
La responsabilité sociale des entreprise (RSE) est constituée par l’intégration volontaire des préoccupation sociale et environnementale des activités de l’E .
L’activité de l’E peut affecter ou être affecté par des acteurs économiques c’est ce qui a était à l’origine de la théorie de Freeman qui parle alors de parties prenantes ces parties prenantes peuvent être soit interne à l’E soit externe, elle sont également classifié en fonction de leur importance pour la survie de l’E en partie prenante primaire et secondaire, pour apprécier la qualité de l’activité d’une E on mesure sa performance c’est-à-dire sa capacité à atteindre des obj fixés en respectant les ressources mises à sa disposition cette performance conjugue l’efficacité (résultat conforme aux obj) et l’efficience (réalisation des obj avec un minimum de ressources)
La performance d’une E est dites globale lorsqu’elle réunit toute les catégories de performances possible cette performance se mesure grâce à des indicateurs soit de nature quantitative (CA, résultat, etc) soit qualitative (notoriété, satisfaction des salariés, etc). Afin de suivre l’évolution de ces indicateurs il est pratique d’établir des tableau de bord ( Robert Norton, Caplan). En effet leur tableau de bord prospectifs (TBP) est un outil de management novateur car il regroupe des indicateurs financier et non financier quantitatif et qualitatif.
