Sonnet écrit par Arthur Rimbaud en 1870, ce poème clôt le « recueil Demeny », marque un tournant dans son écriture : exprime les impressions, la liberté et la joie de l’errance. Son ton fantastique construit l’image du jeune poète vagabond, « l’homme aux semelles de vent » selon Verlaine. Nouvelle conception de la poésie : libre, personnelle, inspirée par la vie et l’imaginaire.
Introduction
Problématique
Dans quelle mesure ce poème de l'errance est-il à lire comme un hymne à la liberté, à la nature mais aussi comme un art poétique ?
Mouvement
Un poète vagabond
Un « petit Poucet rêveur »
La communion avec la nature
Un bonheur de la création poétique
Conclusion
Fantaisie : évoque une période de bohème, plus ou moins enjolivée, moment de fusion avec la nature. Traitement désinvolte de la forme et de la matière poétiques.
Ouverture
Sensation
Abandon à la nature, proche des idées de Rimbaud
