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Post-Bac
1

linguistique française 3

Linguistique

tableau des déterminants

A retenir :

Le nom, dans la grammaire traditionnelle le nom c’est l’une des natures de mots, à côté du verbe , adjectif etc…

Les grammaire traditionnelle fonctionne beaucoup en général avec des critères sémantiques, c’est pour ça qu'elles ne sont pas très satisfaisantes. 

Et elles définissent le nom en opposition avec le verbe, le nom ça sert à désigner les êtres ou les choses et les verbes une action.

Le problème c’est que c’est pas satisfaisant parce qu’il y a des noms qui désignent une action ex la course et inversement le belvédère domine la ville dominer n’est pas une action. Ces définitions basées sur le sens ne sont pas justes. Donc il faut proposer autre chose. 

Donc le nom c’est déjà quelque chose qui est pourvu d’un genre etc il a un certain nombre de critère. 

Et en terme de signification les noms servent à désigner des objets (table, chaise) et aussi des actions, ils peuvent indiquer des quantité (un litre), des portions d’espace (un panorama) une portion de temps ( une semaine), comme des adjectifs ils peuvent désigner des manières d‘être (la tristesse ). 

Les noms servent a exprimer des objets de pensée c’est a dire des choses qui se présentent a nous comme si c’était des objets.

Il y a 3 et en réalité 4 concepts définitoire du nom, important pour parler des noms, expliquer comment fonctionne les noms. 

  • ?compréhension ( et référent)
  • ?Extension 
  • ?Extensité 



Compréhension et référent 


Donc par exemple dans le dictionnaire on prend le mot chien: 


Chien : « mammifère (1) domestique (2) dont il existe plusieurs races (3) élevées pour remplir certaines fonctions auprès de l’homme (4)


Ça c’est la définition de chien dans le dictionnaire, mais ce mot chien ne me parle d’aucun chien dans la définition, mais en revanche il donne l’idée de ce que c’est qu’un chien, il renvoie au concept de chien. Donc a coté on a le référent: c’est le vrai chien, le référent c’est extralinguistingue = en dehors du langage, c’est des choses. C’est des bestioles pour chien. Il faut bien distinguer d’abord entre le nom et le référent. Les noms servent à viser les référents. Les noms servent a designer des éléments de la réalité, des éléments extralinguistiques = les référents.

On peut dire que ce qu’on voit est un chien car le nom chien est associé a une compréhension. 

La compréhension du nom chien c’est la définition du mot, c’est parce que dans notre tête associé au nom chien on a une définition qu’ensuite on peut dire si s’en est un ou non. 

Le nom a une compréhension, pour être plus précis la compréhension c’est un ensemble de traits définitoire qui forme le concept associé au nom, l’idée associé au nom ici on voit bien que le concept de chien, c’est à dire la compréhension du nom chien elle est formée à l'aide de plusieurs traits définition numéroté dans la définition. On peut imaginer qu’il y a des traits de sens minimaux pour ensuite former ensuite le concept, l’idée de chien. C'est la compréhension qu’on appelle aussi intension. 

La comprehension c’est le concept fait de traits définitoire 

Le référent c’est ce qui est visé par les mots, des objets extralinguistiques qui sont visés par les noms. 


Extension et extensité 


Il y a des objets dans le monde donc certains ont 4 pattes et une queue comme les chiens. J’ai une compréhension associée associée au nom chien donc avec va je vais pouvoir filtrer la réalité je vais pouvoir dire que le nom chien ne s’applique pas à l'idée d’un téléphone par exemple, ça n’entre pas dans le concept définit par la compréhension donc je vais aboutir à l'extension. 

Ces petites croix, c'est des concepts qui se rapportent au référent chien. 


Tous ses référents qui se rapportent à chien on peut les rassembler dans un même groupe et ce groupe ça sera l’extension du nom.

L’extension d’un nom c’est l’ensemble des référents auxquels un nom est applicable en langue , elle est définie par la compréhension. 

Maintenant quand je dis : en venant tout à l’heure j’ai croisé un chien ou bien les chiens de mon voisin ont pisé contre ma porte ou les chiens sont des mammifères. 

Dans ce cas la c’est différents j’ai utilisé le nom chien pour parler de référent en particulier, j’ai parlé d’un chien en particulier ou plusieurs et dans le troisième cas j’ai visé tous les référents possible. Donc a chaque fois j’ai donné dans une phrase, appliqué le nom chien à un certain nombre de référent et donc ça c’est l’extensité. L’extensité d’un nom c’est nécessairement l’extensité d’un nom dans une phrase, c’est lorsque le nom est employé dans une phrase. L’extensité c’est le nombre de référents que le nom vise dans une situation de discours particulière, c’est à dire dans une phrase. C’est donc un nombre 


L’extension de X c’est tous les référents que l’on peut appeler X. 

Le nom chien a une définition stable, il faut qu’on ait tous la même définition de chien pour se comprendre. Ensuite la représentation peut être différente avec l’exemple de l’arbre pour nous la représentation prototypique de l’aube c’est un feuillus ex chêne pour les pays comme la Sibérie ce sera un sapin. On a la sémantique du prototypique, on a tous une représentation prototypique de ce qu’est un arbre. 


Une autre distinction à propos des noms: nom commun et nom propre


Exemple : le chien court après les enfants. 

  Medor court après les enfants 


Donc on note que le nom commun nécessite une détermination, on peut pas dire chien court derrière les enfants alors que le nom propre n’en nécessite pas. Le nom chien possède une compréhension ( une définition) et elle nous renseigne sur le référent. Et puis ce nom s’appelle commun puisque que c’est un nom que plusieurs référents possèdent en commun, il y a plusieurs référents qui possèdent le nom chien, le nom chien a une extension pluriel. 

Tandis que si on regarde, Medor ne nécessite pas de détermination. Attention certains noms propres nécessite un déterminant La France, La Loire, Les Alpes…les noms propres ne possèdent pas de compréhension, il n’y a pas de concept et son extension est réduite à 1. Évidement on peut faire des antonomases c’est un procédé qui consiste a prendre un nom propre et le transformer en un nom commun exemple : la marque frigidaire qui est ensuite devenu le nom comme Don Juan.  


GMF chapitre 6 point 3 5 2


Autres distinctions pour les noms communs : au sens sémantique


On peut creuser la question du nom commun, il se distingue du nom propre par une compréhension et extensité. 

Les noms désignent des objets de pensée c’est a dire qu’ils sont une façon de considérer les idées que l’on a comme si c’était des obit, c’est pour ça qu’ils peuvent exprimer tout un tas de truc différents (femme, chat, table, amour, désespoir, courage, départ, lecture). Pour faire le trie 

On utilise des opérateurs sémantiques :

 - nom concret vs nom abstrait alors il y a des noms qui désignent des noms concret matériel ( comme casserole ) que je peux toucher et il y des noms qui désignent des réalité abstraites ex: amour

- Nom animé vs nom non- animé il y a des noms qui désignent des choses non-animé comme casserole puis des noms qui désignent des aminé comme l’être humain 

À l’intérieur des noms animés on distingue les aminés humains (étudiants ) vs les aminés non humains ( âne) et masculin vs féminin. 


Autres distinctions pour les noms communs : au sens morphologique 


La question c’est la question du genre et du nombre. 

Le genre du nom ne dépend pas d’un autre mot dans la phrase contrairement à l’adjectif. Donc pour les aminés ( il a un référent) cette question du genre : 


  • d’abord on peut avoir une distinction au point de vue phonologique 

Exemple : boucher / bouchère


  • aussi sur une forme suffixé et non- suffixé ( simple) 

Exemple : tigre / tigresse 

  • elle peut également être une variation suffixale avoir un suffixe au masculin et un suffixe au féminin 

Exemple : facteur / factrice 


  • parfois on a même un doublet lexical un mot pour désigner une réalité masculine et un autre pour une réalité féminine 

Exemple : père / mère, homme / femme 


Même dans la catégorie des aminés ces distinctions ne sont pas forcément systématique


Exemple : une recru ( autant féminin que masculin) 


Pour les non aminé le genre est complètement fictif exemple table rien ne me permet de dire que c’est féminin.( C’est arbitraire pas de caractère référentiel) on peut constater des petites tendances pour les idées collectives c’est souvent au féminin, il est plus souvent employé pour désigner des idées abstraites. 


Autres distinctions pour les noms communs : au sens référentiel ( noms comptables vs noms massifs)


Cette distinction est référentielle elle se base sur les réfèrent, certains référents sont des entités discrètes ( ça veut dire séparé des unes des autres) 

Exemple : chaise

Si on met une chaise à côté d’une autre on peut les distinguer l’une de l’autre, les référents sont dénombrables 


A l’inverse il y a des référents que l’on appelle des entités continues ( pas séparables des uns des autres)

Exemple : une bassine d’eau 

l’eau c’est une entité continue car elle réagit positivement au test de prélèvement avec maintien de l’identité. 

Si je prélève une certaine quantité d’eau sur de l’eau ce que j’obtiens c’est toujours de l’eau tandis que si je fais ça sur la chaise je n'obtiens pas une chaise mais un bout de bois ou de fer. 

Les entités continue je ne peux pas les compter mais si j’en prélève une partie j'obtiens la même chose. En revanche les entités dénombrables je peux les compter mais pas faire un test de prélèvement. 

Noms comptables = entités discrète, ils sont compatibles avec des terminaisons numérales ( un, deux, trois ) et avec un article indéfini tandis que les référents qui sont des entités continue sont sont exprimés par des noms qu’on appelle des noms massifs ou non comptables et eux on peut utiliser la détermination partitive du, de la … 

Mais concernant la nourriture on peut faire changer un mot du vin / un vin 


2- les déterminants et leur rôle 


Les déterminants 


En linguistique on distingue le langage la langue le discours

Ces trois notions:

  • le langage c’est une disposition avec on est tous né, on né avec la faculté de langage et on doit l’activé avant les 6 ans sinon on ne peut plus parler. Faculté activée parce qu’on nous parle.
  • La langue : c’est un dictionnaire mental et puis un ensemble de règles, qui nous permet d’associer des mots pour donner des phrases qui ont un sens.   
  • Le discours c’est quand on utilise la langue pour produire des phrases des énoncés on fait passée la langue a un a-état actuel 


Le nom en langue est à l'état virtuel le nom chien dans notre tête ne parle d’aucun chien il a une compréhension, il a une extension, potentiellement applicable a bcp de référent. Mais je ne m'en sert pas et il n’est pas apte à être utilisé dans un discours je ne peux pas dire chien de mes voisin est effrayant parce qu’il est à l'état virtuel. Il va falloir que je me débrouille pour lui conférer le nom chien qui ne vise aucun référent pour qu’il vise un référent. 

Le déterminant c’est le groupe qui permet de passer de la langue en discours de conférer au nom qui était à l'état virtuel en langue dans ma tête, le fait qu’il désigne un ou plusieurs référents. Dès lors, il va prendre une extensité, donc on peut dire qu’il est actualisé. 

Pour être utilisé le nom a besoin d'être utilisé par un mot qui est le déterminant. C’est pour ça que le nom apparaît toujours dans un groupe nominal. 

Il existe des déterminants invisibles.


Nom + déterminant = syntagme / groupe nominal 

Déterminant c’est le mot qui doit nécessairement précédé un nom. 

Utiliser certaines autres classes de mots avec un déterminant ça sert à les changer et les transformer en nom. 

Donc pour revoir le déterminant sert à actualiser le nom, il le fait passer de l’état virtuel ou il a pas d’extensité à un état ou il prend une extensité dans une phrase et on dit qu’il est ainsi actualiser. 


Les caractéristique du déterminants :

  • son travail c’est d’actualiser le nom ( ça veut dire lui conféré une extensité, le faire passer de la langue vers le discours)
  • Il est souvent sous la forme déterminant + nom = syntagme nominal minimal 
  • Il porte les marques de genre et de nombre du nom
  • Il suffit à convertir d’autres unités/ parties du discours en nom 
  • Il est toujours à la gauche du nom 
  • Il en existe différents types et différentes formes  


Tableau de classements des déterminants 


Les différents déterminants :


  • le déterminant possessif :

      - il est variable en genre, en nombre et en personne ( selon le possesseur)

      - il est équivalant d’un SN [ art.def + nom + CdeN introduit par de ]

Exemple : le livre de moi ( mon livre )

     le livre de Marie ( son livre )

      - il exprime aussi des relations d’appartenances diverses 


Remarque :

  • il est en concurrence avec l’article défini ( le/ la/ les) dans une configuration particulière orques la relation entre ce qui est possédé et le possesseur est évidente on utilise pas le déterminant possessif ( évidente parce que relation d’inclusion, exemple : je me suis cassée le bras )
  • Il peut être utilisé avec des noms propres ( je suis venue avec mon Jean-Michel) pour désigner une proximité affective, peut être moqueur, la condescendance, ironique etc.   



  • le déterminant démonstratif  
  • il a des formes simples ( ce, ces, cette) et des formes composées ou il est associé a un petit éléments adverbial ci ou là placé après le nom ( ce livre ci, cette table là) 

Ci = plus proche du locuteur

Là = plus éloigné du locuteur 

Du point de vue physique mais aussi dans le temps ou pour la reprise pronominale. 

  • il présuppose l’existence du référent indiqué par le nom

Exemple : ce livre présuppose qu’un tel livre existe 


  • il a deux types d'emplois : 
  • anaphorique : ( c’est lorsque sur le déterminant démonstratif permet l’identification du référent/ nom grâce au reste du discours) c’est un rappel, c'est-à- dire qu’on identifie le référent car il a déjà été mentionné précédemment dans le discours.

  • Déïctique  ( identification du référent il est connu car il est accessible dans la situation d’énonciation au moment ou je prononce une phrase), il est souvent accompagner d’un geste 
  • Et on peut avoir les deux 
  • exemple : vous voyez ce strapontin la, et ben asseyez vous sur ce strapontin 



  • il peut être utiliser avec des noms propres dans le cadre d’un usage particulier, exemple : Ah mais c’est ce cher Michel pour marquer des nuances affectives, admiratives ou encore méprisante 



  • les déterminants indéfinis ( tout, chaque, moins que, plus que, beaucoup de…)


  • ils peuvent se combiner avec d’autres déterminants en particulier avec des déterminants définis ( toute la journée, tout mon verre …)
  • La difficulté c’est qu’ils forment une classe particulièrement hétérogène, sur le plan de forme certains sont de forme simple ( tout, chaque) et d’autres de forme complexe ( assez de…) et aussi sur le plan du sens ( il donne tous une référence indéfini). 
  • Il y a un classement sémantique :

- certains indiquent des quantités: Quantifiants ( nul, quelques, chaque …)

- certains caractérisent: Caractérisants ( quelque, même …)

- et certains les deux : ( certains, divers, la plupart des …)


  • Le déterminant numéral 

? il faut faire la distinction entre le déterminant numéral et l’article indéfini ( 1 livre / un livre )

* en français on rajoute « seul » pour savoir si il compte exemple : j’ai lu un seul livre 

* ou « quelconque « pour savoir si je peux renvoyer à l’article indéfini

Numéral : dénombrer 

Indéfini : indiqué la refermante à un élément quelconque 

* les numéraux ordinaux ne sont pas des adjectifs : premier, deuxième etc …

* mais les numéraux cardinaux un deux trois quatre cinq six sont des déterminants 

* « Clément X » on utilise le numéral cardinal mais ce n’est pas un déterminant comme pour les livres 


Un mot sur l’absence de déterminant 


A chaque fois que j’utilise un nom je suis obligé d’utiliser un déterminant vu que je lui confère une extensité, je l’actualise mais dans certaines phrases certains mots vont apparaître sans déterminants. 

Exemple : mon collègue et ami ou tout le monde avait quitté le village hommes, femmes, enfants, vieillard 

  • Il faut distinguer absence ou invisibilité de surface ? 
  • Absence réelle: ça n’arrive que dans des types de texte spécifiques, ou c’est l’habitude comme sur les listes 
  • Invisibilité de surface mais présence structurelle, on parle d’article 0, il y a bien l’actualisation du nom qui est effectué par le mécanisme de détermination en structure profonde dans la grammaire de la phrase mais en surface ce n’est pas encodé dans un nom, il y a une invisibilité de surface du déterminant, il y en a un mais il est invisible qui existe dans la structure grammaticale de la phrase 


À connaître :


Le cas d’haplologie ( au 17è siècle règle de cacophonie )


C’est lorsqu’on a la structure suivante " une tasse de du café"

' det-nom-prépo-art.partitif-nom'


Le nom café doit être actualisé donc par le déterminant partitif « du » 

Le groupe bien formé c’est la première phrase mais pour des raison esthétique, comme c’est gênant à l’oreille, on a préconisé que quand on cette situation on va supprimer l’article partitif du complément du nom. 

Il y a une absence de déterminant mais il est restituable il a été enlevé pour des raisons esthétique avec « de du » et « de de la » 


L’article : 


La spécificité de l’article comme pour le déterminant chacun sa spécificité, pour lui c’est d’indiquer sous quel aspect se présente le référent et c’est ce qui nous permet de faire la différence entre les noms comptable (entité discrète) et les noms massifs (entité continue), avec le déterminant possessif la différence se voit pas 

  • l’article défini peut être utilisé quelque soit son aspect- 
  • Mais pour l’article indéfini on va faire la différence pour les noms comptable 
  • Et pour l’article partitif ne peut être utilisé qu‘avec les noms massifs ( du, de la )

La variation de l’article dépend de l’aspect sous lequel se présente le référent. 


L’article indéfini 


  • le nom abstrait (courage bonté amour) est considéré comme un nom massif, mais on peut transformer les choses, dans certains cas et les transformer en nom comptable


Post-Bac
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linguistique française 3

Linguistique

tableau des déterminants

A retenir :

Le nom, dans la grammaire traditionnelle le nom c’est l’une des natures de mots, à côté du verbe , adjectif etc…

Les grammaire traditionnelle fonctionne beaucoup en général avec des critères sémantiques, c’est pour ça qu'elles ne sont pas très satisfaisantes. 

Et elles définissent le nom en opposition avec le verbe, le nom ça sert à désigner les êtres ou les choses et les verbes une action.

Le problème c’est que c’est pas satisfaisant parce qu’il y a des noms qui désignent une action ex la course et inversement le belvédère domine la ville dominer n’est pas une action. Ces définitions basées sur le sens ne sont pas justes. Donc il faut proposer autre chose. 

Donc le nom c’est déjà quelque chose qui est pourvu d’un genre etc il a un certain nombre de critère. 

Et en terme de signification les noms servent à désigner des objets (table, chaise) et aussi des actions, ils peuvent indiquer des quantité (un litre), des portions d’espace (un panorama) une portion de temps ( une semaine), comme des adjectifs ils peuvent désigner des manières d‘être (la tristesse ). 

Les noms servent a exprimer des objets de pensée c’est a dire des choses qui se présentent a nous comme si c’était des objets.

Il y a 3 et en réalité 4 concepts définitoire du nom, important pour parler des noms, expliquer comment fonctionne les noms. 

  • ?compréhension ( et référent)
  • ?Extension 
  • ?Extensité 



Compréhension et référent 


Donc par exemple dans le dictionnaire on prend le mot chien: 


Chien : « mammifère (1) domestique (2) dont il existe plusieurs races (3) élevées pour remplir certaines fonctions auprès de l’homme (4)


Ça c’est la définition de chien dans le dictionnaire, mais ce mot chien ne me parle d’aucun chien dans la définition, mais en revanche il donne l’idée de ce que c’est qu’un chien, il renvoie au concept de chien. Donc a coté on a le référent: c’est le vrai chien, le référent c’est extralinguistingue = en dehors du langage, c’est des choses. C’est des bestioles pour chien. Il faut bien distinguer d’abord entre le nom et le référent. Les noms servent à viser les référents. Les noms servent a designer des éléments de la réalité, des éléments extralinguistiques = les référents.

On peut dire que ce qu’on voit est un chien car le nom chien est associé a une compréhension. 

La compréhension du nom chien c’est la définition du mot, c’est parce que dans notre tête associé au nom chien on a une définition qu’ensuite on peut dire si s’en est un ou non. 

Le nom a une compréhension, pour être plus précis la compréhension c’est un ensemble de traits définitoire qui forme le concept associé au nom, l’idée associé au nom ici on voit bien que le concept de chien, c’est à dire la compréhension du nom chien elle est formée à l'aide de plusieurs traits définition numéroté dans la définition. On peut imaginer qu’il y a des traits de sens minimaux pour ensuite former ensuite le concept, l’idée de chien. C'est la compréhension qu’on appelle aussi intension. 

La comprehension c’est le concept fait de traits définitoire 

Le référent c’est ce qui est visé par les mots, des objets extralinguistiques qui sont visés par les noms. 


Extension et extensité 


Il y a des objets dans le monde donc certains ont 4 pattes et une queue comme les chiens. J’ai une compréhension associée associée au nom chien donc avec va je vais pouvoir filtrer la réalité je vais pouvoir dire que le nom chien ne s’applique pas à l'idée d’un téléphone par exemple, ça n’entre pas dans le concept définit par la compréhension donc je vais aboutir à l'extension. 

Ces petites croix, c'est des concepts qui se rapportent au référent chien. 


Tous ses référents qui se rapportent à chien on peut les rassembler dans un même groupe et ce groupe ça sera l’extension du nom.

L’extension d’un nom c’est l’ensemble des référents auxquels un nom est applicable en langue , elle est définie par la compréhension. 

Maintenant quand je dis : en venant tout à l’heure j’ai croisé un chien ou bien les chiens de mon voisin ont pisé contre ma porte ou les chiens sont des mammifères. 

Dans ce cas la c’est différents j’ai utilisé le nom chien pour parler de référent en particulier, j’ai parlé d’un chien en particulier ou plusieurs et dans le troisième cas j’ai visé tous les référents possible. Donc a chaque fois j’ai donné dans une phrase, appliqué le nom chien à un certain nombre de référent et donc ça c’est l’extensité. L’extensité d’un nom c’est nécessairement l’extensité d’un nom dans une phrase, c’est lorsque le nom est employé dans une phrase. L’extensité c’est le nombre de référents que le nom vise dans une situation de discours particulière, c’est à dire dans une phrase. C’est donc un nombre 


L’extension de X c’est tous les référents que l’on peut appeler X. 

Le nom chien a une définition stable, il faut qu’on ait tous la même définition de chien pour se comprendre. Ensuite la représentation peut être différente avec l’exemple de l’arbre pour nous la représentation prototypique de l’aube c’est un feuillus ex chêne pour les pays comme la Sibérie ce sera un sapin. On a la sémantique du prototypique, on a tous une représentation prototypique de ce qu’est un arbre. 


Une autre distinction à propos des noms: nom commun et nom propre


Exemple : le chien court après les enfants. 

  Medor court après les enfants 


Donc on note que le nom commun nécessite une détermination, on peut pas dire chien court derrière les enfants alors que le nom propre n’en nécessite pas. Le nom chien possède une compréhension ( une définition) et elle nous renseigne sur le référent. Et puis ce nom s’appelle commun puisque que c’est un nom que plusieurs référents possèdent en commun, il y a plusieurs référents qui possèdent le nom chien, le nom chien a une extension pluriel. 

Tandis que si on regarde, Medor ne nécessite pas de détermination. Attention certains noms propres nécessite un déterminant La France, La Loire, Les Alpes…les noms propres ne possèdent pas de compréhension, il n’y a pas de concept et son extension est réduite à 1. Évidement on peut faire des antonomases c’est un procédé qui consiste a prendre un nom propre et le transformer en un nom commun exemple : la marque frigidaire qui est ensuite devenu le nom comme Don Juan.  


GMF chapitre 6 point 3 5 2


Autres distinctions pour les noms communs : au sens sémantique


On peut creuser la question du nom commun, il se distingue du nom propre par une compréhension et extensité. 

Les noms désignent des objets de pensée c’est a dire qu’ils sont une façon de considérer les idées que l’on a comme si c’était des obit, c’est pour ça qu’ils peuvent exprimer tout un tas de truc différents (femme, chat, table, amour, désespoir, courage, départ, lecture). Pour faire le trie 

On utilise des opérateurs sémantiques :

 - nom concret vs nom abstrait alors il y a des noms qui désignent des noms concret matériel ( comme casserole ) que je peux toucher et il y des noms qui désignent des réalité abstraites ex: amour

- Nom animé vs nom non- animé il y a des noms qui désignent des choses non-animé comme casserole puis des noms qui désignent des aminé comme l’être humain 

À l’intérieur des noms animés on distingue les aminés humains (étudiants ) vs les aminés non humains ( âne) et masculin vs féminin. 


Autres distinctions pour les noms communs : au sens morphologique 


La question c’est la question du genre et du nombre. 

Le genre du nom ne dépend pas d’un autre mot dans la phrase contrairement à l’adjectif. Donc pour les aminés ( il a un référent) cette question du genre : 


  • d’abord on peut avoir une distinction au point de vue phonologique 

Exemple : boucher / bouchère


  • aussi sur une forme suffixé et non- suffixé ( simple) 

Exemple : tigre / tigresse 

  • elle peut également être une variation suffixale avoir un suffixe au masculin et un suffixe au féminin 

Exemple : facteur / factrice 


  • parfois on a même un doublet lexical un mot pour désigner une réalité masculine et un autre pour une réalité féminine 

Exemple : père / mère, homme / femme 


Même dans la catégorie des aminés ces distinctions ne sont pas forcément systématique


Exemple : une recru ( autant féminin que masculin) 


Pour les non aminé le genre est complètement fictif exemple table rien ne me permet de dire que c’est féminin.( C’est arbitraire pas de caractère référentiel) on peut constater des petites tendances pour les idées collectives c’est souvent au féminin, il est plus souvent employé pour désigner des idées abstraites. 


Autres distinctions pour les noms communs : au sens référentiel ( noms comptables vs noms massifs)


Cette distinction est référentielle elle se base sur les réfèrent, certains référents sont des entités discrètes ( ça veut dire séparé des unes des autres) 

Exemple : chaise

Si on met une chaise à côté d’une autre on peut les distinguer l’une de l’autre, les référents sont dénombrables 


A l’inverse il y a des référents que l’on appelle des entités continues ( pas séparables des uns des autres)

Exemple : une bassine d’eau 

l’eau c’est une entité continue car elle réagit positivement au test de prélèvement avec maintien de l’identité. 

Si je prélève une certaine quantité d’eau sur de l’eau ce que j’obtiens c’est toujours de l’eau tandis que si je fais ça sur la chaise je n'obtiens pas une chaise mais un bout de bois ou de fer. 

Les entités continue je ne peux pas les compter mais si j’en prélève une partie j'obtiens la même chose. En revanche les entités dénombrables je peux les compter mais pas faire un test de prélèvement. 

Noms comptables = entités discrète, ils sont compatibles avec des terminaisons numérales ( un, deux, trois ) et avec un article indéfini tandis que les référents qui sont des entités continue sont sont exprimés par des noms qu’on appelle des noms massifs ou non comptables et eux on peut utiliser la détermination partitive du, de la … 

Mais concernant la nourriture on peut faire changer un mot du vin / un vin 


2- les déterminants et leur rôle 


Les déterminants 


En linguistique on distingue le langage la langue le discours

Ces trois notions:

  • le langage c’est une disposition avec on est tous né, on né avec la faculté de langage et on doit l’activé avant les 6 ans sinon on ne peut plus parler. Faculté activée parce qu’on nous parle.
  • La langue : c’est un dictionnaire mental et puis un ensemble de règles, qui nous permet d’associer des mots pour donner des phrases qui ont un sens.   
  • Le discours c’est quand on utilise la langue pour produire des phrases des énoncés on fait passée la langue a un a-état actuel 


Le nom en langue est à l'état virtuel le nom chien dans notre tête ne parle d’aucun chien il a une compréhension, il a une extension, potentiellement applicable a bcp de référent. Mais je ne m'en sert pas et il n’est pas apte à être utilisé dans un discours je ne peux pas dire chien de mes voisin est effrayant parce qu’il est à l'état virtuel. Il va falloir que je me débrouille pour lui conférer le nom chien qui ne vise aucun référent pour qu’il vise un référent. 

Le déterminant c’est le groupe qui permet de passer de la langue en discours de conférer au nom qui était à l'état virtuel en langue dans ma tête, le fait qu’il désigne un ou plusieurs référents. Dès lors, il va prendre une extensité, donc on peut dire qu’il est actualisé. 

Pour être utilisé le nom a besoin d'être utilisé par un mot qui est le déterminant. C’est pour ça que le nom apparaît toujours dans un groupe nominal. 

Il existe des déterminants invisibles.


Nom + déterminant = syntagme / groupe nominal 

Déterminant c’est le mot qui doit nécessairement précédé un nom. 

Utiliser certaines autres classes de mots avec un déterminant ça sert à les changer et les transformer en nom. 

Donc pour revoir le déterminant sert à actualiser le nom, il le fait passer de l’état virtuel ou il a pas d’extensité à un état ou il prend une extensité dans une phrase et on dit qu’il est ainsi actualiser. 


Les caractéristique du déterminants :

  • son travail c’est d’actualiser le nom ( ça veut dire lui conféré une extensité, le faire passer de la langue vers le discours)
  • Il est souvent sous la forme déterminant + nom = syntagme nominal minimal 
  • Il porte les marques de genre et de nombre du nom
  • Il suffit à convertir d’autres unités/ parties du discours en nom 
  • Il est toujours à la gauche du nom 
  • Il en existe différents types et différentes formes  


Tableau de classements des déterminants 


Les différents déterminants :


  • le déterminant possessif :

      - il est variable en genre, en nombre et en personne ( selon le possesseur)

      - il est équivalant d’un SN [ art.def + nom + CdeN introduit par de ]

Exemple : le livre de moi ( mon livre )

     le livre de Marie ( son livre )

      - il exprime aussi des relations d’appartenances diverses 


Remarque :

  • il est en concurrence avec l’article défini ( le/ la/ les) dans une configuration particulière orques la relation entre ce qui est possédé et le possesseur est évidente on utilise pas le déterminant possessif ( évidente parce que relation d’inclusion, exemple : je me suis cassée le bras )
  • Il peut être utilisé avec des noms propres ( je suis venue avec mon Jean-Michel) pour désigner une proximité affective, peut être moqueur, la condescendance, ironique etc.   



  • le déterminant démonstratif  
  • il a des formes simples ( ce, ces, cette) et des formes composées ou il est associé a un petit éléments adverbial ci ou là placé après le nom ( ce livre ci, cette table là) 

Ci = plus proche du locuteur

Là = plus éloigné du locuteur 

Du point de vue physique mais aussi dans le temps ou pour la reprise pronominale. 

  • il présuppose l’existence du référent indiqué par le nom

Exemple : ce livre présuppose qu’un tel livre existe 


  • il a deux types d'emplois : 
  • anaphorique : ( c’est lorsque sur le déterminant démonstratif permet l’identification du référent/ nom grâce au reste du discours) c’est un rappel, c'est-à- dire qu’on identifie le référent car il a déjà été mentionné précédemment dans le discours.

  • Déïctique  ( identification du référent il est connu car il est accessible dans la situation d’énonciation au moment ou je prononce une phrase), il est souvent accompagner d’un geste 
  • Et on peut avoir les deux 
  • exemple : vous voyez ce strapontin la, et ben asseyez vous sur ce strapontin 



  • il peut être utiliser avec des noms propres dans le cadre d’un usage particulier, exemple : Ah mais c’est ce cher Michel pour marquer des nuances affectives, admiratives ou encore méprisante 



  • les déterminants indéfinis ( tout, chaque, moins que, plus que, beaucoup de…)


  • ils peuvent se combiner avec d’autres déterminants en particulier avec des déterminants définis ( toute la journée, tout mon verre …)
  • La difficulté c’est qu’ils forment une classe particulièrement hétérogène, sur le plan de forme certains sont de forme simple ( tout, chaque) et d’autres de forme complexe ( assez de…) et aussi sur le plan du sens ( il donne tous une référence indéfini). 
  • Il y a un classement sémantique :

- certains indiquent des quantités: Quantifiants ( nul, quelques, chaque …)

- certains caractérisent: Caractérisants ( quelque, même …)

- et certains les deux : ( certains, divers, la plupart des …)


  • Le déterminant numéral 

? il faut faire la distinction entre le déterminant numéral et l’article indéfini ( 1 livre / un livre )

* en français on rajoute « seul » pour savoir si il compte exemple : j’ai lu un seul livre 

* ou « quelconque « pour savoir si je peux renvoyer à l’article indéfini

Numéral : dénombrer 

Indéfini : indiqué la refermante à un élément quelconque 

* les numéraux ordinaux ne sont pas des adjectifs : premier, deuxième etc …

* mais les numéraux cardinaux un deux trois quatre cinq six sont des déterminants 

* « Clément X » on utilise le numéral cardinal mais ce n’est pas un déterminant comme pour les livres 


Un mot sur l’absence de déterminant 


A chaque fois que j’utilise un nom je suis obligé d’utiliser un déterminant vu que je lui confère une extensité, je l’actualise mais dans certaines phrases certains mots vont apparaître sans déterminants. 

Exemple : mon collègue et ami ou tout le monde avait quitté le village hommes, femmes, enfants, vieillard 

  • Il faut distinguer absence ou invisibilité de surface ? 
  • Absence réelle: ça n’arrive que dans des types de texte spécifiques, ou c’est l’habitude comme sur les listes 
  • Invisibilité de surface mais présence structurelle, on parle d’article 0, il y a bien l’actualisation du nom qui est effectué par le mécanisme de détermination en structure profonde dans la grammaire de la phrase mais en surface ce n’est pas encodé dans un nom, il y a une invisibilité de surface du déterminant, il y en a un mais il est invisible qui existe dans la structure grammaticale de la phrase 


À connaître :


Le cas d’haplologie ( au 17è siècle règle de cacophonie )


C’est lorsqu’on a la structure suivante " une tasse de du café"

' det-nom-prépo-art.partitif-nom'


Le nom café doit être actualisé donc par le déterminant partitif « du » 

Le groupe bien formé c’est la première phrase mais pour des raison esthétique, comme c’est gênant à l’oreille, on a préconisé que quand on cette situation on va supprimer l’article partitif du complément du nom. 

Il y a une absence de déterminant mais il est restituable il a été enlevé pour des raisons esthétique avec « de du » et « de de la » 


L’article : 


La spécificité de l’article comme pour le déterminant chacun sa spécificité, pour lui c’est d’indiquer sous quel aspect se présente le référent et c’est ce qui nous permet de faire la différence entre les noms comptable (entité discrète) et les noms massifs (entité continue), avec le déterminant possessif la différence se voit pas 

  • l’article défini peut être utilisé quelque soit son aspect- 
  • Mais pour l’article indéfini on va faire la différence pour les noms comptable 
  • Et pour l’article partitif ne peut être utilisé qu‘avec les noms massifs ( du, de la )

La variation de l’article dépend de l’aspect sous lequel se présente le référent. 


L’article indéfini 


  • le nom abstrait (courage bonté amour) est considéré comme un nom massif, mais on peut transformer les choses, dans certains cas et les transformer en nom comptable


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