Un risque est une catastrophe potentielle qui peut toucher une population. Les risques dépendent des aléas qui peuvent être climatiques ou telluriques. Parfois, les risques sont accentués parce que l'homme a construit (paysage artificialisé). Les risques sanitaires sont de plus importants car les populations se déplacent : les épidemiés sont plus fortes car elles se développent à l'échelle mondiale. Ce sont des pandémies, comme par exemple ebola.
Plus la concentration humaine augmente, plus les risques technologiques sont forts. Autour de villes s'installent des usines, près des littoraux, des fleuves, des frontières. Les actions humaines comme la déforestation aggravent les risques, la pollution est plus forte, elle est à l'origine de nombreux glissements de terrain. Enfin, le changement climatiques accentue certains aléas naturels : les inondations sont plus fortes, les incendies sont plus fréquents comme les ouragans.
La vulnérabilité est forte dans les P.V.D car il y a moins de moyens préventifs. Les catastrophes font six fois plus de victimes dans les pays pauvres que dans les pays riches car la prévention est insuffisante, les infrastructures sont faibles, les secours sont mals équipés, ils sont dépendants de l'aide internationnale, notamment des OGN (organisations indépendantes). Pour lutter contre le réchauffement climatiques, les COP sont organisées régulièrement: lors de la COP 21 à Paris, certains pays avaient réussi à se mettre d'accord pour que le changement climatiques soit inférieur à 2°.
Même si le nombre de catastrophes augmente depuis les années 70, la plupart des risques se trouvent dans des espaces spécifiques, surtout en Asie. Pour les réduire, il faut améliorer la prévention. Mais face aux enjeux économiques, la prévention n'est pas une priorité absolue, notamment dans les pays pauvres.
Un risque est une catastrophe potentielle qui peut toucher une population. Les risques dépendent des aléas qui peuvent être climatiques ou telluriques. Parfois, les risques sont accentués parce que l'homme a construit (paysage artificialisé). Les risques sanitaires sont de plus importants car les populations se déplacent : les épidemiés sont plus fortes car elles se développent à l'échelle mondiale. Ce sont des pandémies, comme par exemple ebola.
Plus la concentration humaine augmente, plus les risques technologiques sont forts. Autour de villes s'installent des usines, près des littoraux, des fleuves, des frontières. Les actions humaines comme la déforestation aggravent les risques, la pollution est plus forte, elle est à l'origine de nombreux glissements de terrain. Enfin, le changement climatiques accentue certains aléas naturels : les inondations sont plus fortes, les incendies sont plus fréquents comme les ouragans.
La vulnérabilité est forte dans les P.V.D car il y a moins de moyens préventifs. Les catastrophes font six fois plus de victimes dans les pays pauvres que dans les pays riches car la prévention est insuffisante, les infrastructures sont faibles, les secours sont mals équipés, ils sont dépendants de l'aide internationnale, notamment des OGN (organisations indépendantes). Pour lutter contre le réchauffement climatiques, les COP sont organisées régulièrement: lors de la COP 21 à Paris, certains pays avaient réussi à se mettre d'accord pour que le changement climatiques soit inférieur à 2°.
Même si le nombre de catastrophes augmente depuis les années 70, la plupart des risques se trouvent dans des espaces spécifiques, surtout en Asie. Pour les réduire, il faut améliorer la prévention. Mais face aux enjeux économiques, la prévention n'est pas une priorité absolue, notamment dans les pays pauvres.