En géographie, un risque correspond à la probabilité qu’un aléa se transforme en dommage pour les sociétés humaines. Les risques naturels sont très variés. Ils peuvent être sismique ou volcanique ou être des cyclones des tempêtes, des inondations. Un aléa, ne devient un risque qu’en présence d’enjeux humains, économique et/ou environnementaux. Le risque correspond aux pertes potentielles que va subir cette société humaine à cause de l’aléa .
A retenir :
Un risque est naturel quand il se rapporte un aléa naturel. On peut parler par exemple :
-du risque sismique ( tremblement de terre)
-du risque cyclonique ( ouragan, cyclone typhon)
-du risque volcanique
Si le risque se réalise et que l’aléa provoque des dégâts très important sur une société, on parle alors de catastrophe naturelle. Aucun espace terrestre n’est exempt d’aléa naturels. Cependant, certains aléas se rapporte à une zone géographique particuliere. Les risques sismiques se manifeste généralement au niveau d’une faille , le long des grandes plaques tectoniques du globe terrestre. Quand un séisme se produit dans l’océan, il peut occasionner un tsunami. Les déplacement des plaques tectoniques on également former la plupart des volcans. Les dégâts occasionnés par les inondations sont aggravées par l’urbanisation.
A retenir :
Un Risque technologique et d’origine humaine. Il existe 4 catégorie de risques technologiques :
-le risque nucléaire ( qui frappe dans le temps et dans l’espace )
-le risque industriel ( qui concerne les usines, industriel, chimique ou pétrochimique )
-le risque de transport de matières dangereuses
-le risque de rupture de barrage ( causés par un séisme ou un défaut technique lors de la construction, ou alors une erreur humaine dans l’exploitation du barrage )
Afin de faire face a la vulnérabilité des espaces habités , les sociétés ont mis en place des politiques de prévention des risques. Pour cela, les sociétés humaines, on d’abord chercher à comprendre les aléas auxquelles elles étaient soumises pour mieux s’en prémunir. Chaque aléa est donc définie par son intensité :
-séisme: l’échelle de Richter
-cyclone, ouragan, et typhon : l’échelle de Saffir-Simpson
-nucléaire: l’échelle INES
Pour limiter les risques technologiques, les autorités publiques mettent en place une législation particulière qui s’impose aux industriels . L’union européenne a par exemple imposé la mise en place des normes SEVESO .
Lors de la survenue d’une catastrophe, la vulnérabilité des sociétés doit être réduite par le respect des plans de prévention des risques ou autre plan de secours. Pour aider la société il faut :
-envoyer des signaux d’alerte aux populations partout les moyens disponible: message, radiophonique ou télévisé, alarmes
-la mise en place d’une aide alimentaire et de relogement pour les populations touchées
-la mise en place d’une médecine de catastrophe
Les pays en développement ne dispose pas de moyens financiers comparable au pays développés
pour mener des politiques de prévention. Une fois la catastrophe survenu, les pays les plus pauvres peuvent se trouver démunis dans leur gestion de la crise, ils doivent faire face:
-au manque de moyens
-au manque d’infrastructures pour délivrer attends l’aide alimentaire ou médical nécessaire
-à un temps de reconstruction rallonger
Si les conséquences économiques d’une catastrophe, affecte toujours les pays touchés, elles peuvent être désastreuses pour un pays vulnérables.
