1) L’être bien heureux et incorruptible (le divin) n’a pas de souci en lui-même :
A vrai dire, Il n’en donne pas non plus à autrui. De fait, il n’est ni là pour nous récompenser ni là pour nous punir. Il n’est sujet ni à la colère ni à la bienveillance. Aux yeux des dieux, le comportement des autres ne laisse rien à désirer ; ils sont totalement indifférents et indépendants. Ils ne s’intéressent pas aux humains. Ils n’existent pas tel que la foule les représente (tel des juges), mais son bel et bien indifférents.
2) La crainte de la mort est vide car :
-Le dieu ne juge pas avant la mort.
-L’homme, qui vit dans la sensation, ne doit pas craindre une mort extérieure au vivant, car celle-ci détruit la sensation. Or, pourquoi avoir peur de quelque chose qui ne nous appartiendra plus (sensation détruite à la mort, on est extérieur au vivant). La mort n’est rien par rapport à l’Homme, elle ne nous concerne pas. Ce sont des préoccupations vides.
3) Le plaisir :
-Le plaisir chasse la douleur. Contrairement à l’idéologie de Platon (qui soutient le fait que le plaisir ne soit en aucun cas la cessation de la douleur) ici le plaisir est l’antagoniste de la douleur. Quand il y a plaisir, il n’y a pas de place pour le chagrin, « lupé », ni pour la douleur.
- Le plaisir n’est pas corrélé à la souffrance selon Épicure.
- La douleur, elle, est limitée. Elle mérite d’être vaincue pour atteindre le souverain bien, qui demeure toujours accessible à l’homme.
1) L’être bien heureux et incorruptible (le divin) n’a pas de souci en lui-même :
A vrai dire, Il n’en donne pas non plus à autrui. De fait, il n’est ni là pour nous récompenser ni là pour nous punir. Il n’est sujet ni à la colère ni à la bienveillance. Aux yeux des dieux, le comportement des autres ne laisse rien à désirer ; ils sont totalement indifférents et indépendants. Ils ne s’intéressent pas aux humains. Ils n’existent pas tel que la foule les représente (tel des juges), mais son bel et bien indifférents.
2) La crainte de la mort est vide car :
-Le dieu ne juge pas avant la mort.
-L’homme, qui vit dans la sensation, ne doit pas craindre une mort extérieure au vivant, car celle-ci détruit la sensation. Or, pourquoi avoir peur de quelque chose qui ne nous appartiendra plus (sensation détruite à la mort, on est extérieur au vivant). La mort n’est rien par rapport à l’Homme, elle ne nous concerne pas. Ce sont des préoccupations vides.
3) Le plaisir :
-Le plaisir chasse la douleur. Contrairement à l’idéologie de Platon (qui soutient le fait que le plaisir ne soit en aucun cas la cessation de la douleur) ici le plaisir est l’antagoniste de la douleur. Quand il y a plaisir, il n’y a pas de place pour le chagrin, « lupé », ni pour la douleur.
- Le plaisir n’est pas corrélé à la souffrance selon Épicure.
- La douleur, elle, est limitée. Elle mérite d’être vaincue pour atteindre le souverain bien, qui demeure toujours accessible à l’homme.