Dans une maille, la somme algébrique des tensions est nulle.
Exemple :
U – U2 – U1 =0 U = U2 + U1
Dans une maille, la somme algébrique des tensions est nulle.
Exemple :
U – U2 – U1 =0 U = U2 + U1
En courant continu ou lentement variable, il ne peut y avoir accumulation de charges électriques en un point du circuit : la somme des charges électriques arrivant à chaque instant au nœud N est égale à la somme des charges qui s'en éloignent (conservation de l'électricité). Conséquence: si I1, I2, I3, I4 désignent les intensités des courants de sens connu au nœud N, nous avons : I1 + I2 = I3 + I4
La somme algébrique des intensités des courants qui entrent dans un nœud est égale à la somme algébrique des intensités des courants qui en sortent.
Lorsqu’un élément résistif est parcouru par un courant d’intensité I, la tension U à ses bornes est orientée comme ci-contre (flèche du coté du courant entrant) et l’on peut écrire la relation suivante : U = R x I
La tension U aux bornes d'un conducteur ohmique est égale au produit de sa résistance R par l'intensité I du courant qui le traverse.
Puissance : la puissance maximale admissible par le composant : P = U.I =RI2
Dans une maille, la somme algébrique des tensions est nulle.
Exemple :
U – U2 – U1 =0 U = U2 + U1
En courant continu ou lentement variable, il ne peut y avoir accumulation de charges électriques en un point du circuit : la somme des charges électriques arrivant à chaque instant au nœud N est égale à la somme des charges qui s'en éloignent (conservation de l'électricité). Conséquence: si I1, I2, I3, I4 désignent les intensités des courants de sens connu au nœud N, nous avons : I1 + I2 = I3 + I4
La somme algébrique des intensités des courants qui entrent dans un nœud est égale à la somme algébrique des intensités des courants qui en sortent.
Lorsqu’un élément résistif est parcouru par un courant d’intensité I, la tension U à ses bornes est orientée comme ci-contre (flèche du coté du courant entrant) et l’on peut écrire la relation suivante : U = R x I
La tension U aux bornes d'un conducteur ohmique est égale au produit de sa résistance R par l'intensité I du courant qui le traverse.
Puissance : la puissance maximale admissible par le composant : P = U.I =RI2