I. L'aire urbaine de Toulouse :
Toulouse est une grande ville du sud-ouest de la France, appartenant à la région Occitanie.
1.La ville-centre : la Place du Capitole et ses environs : Un Toulousain sur trois habite dans la ville-centre. On y trouve donc une très forte densité de population et une omniprésence du bâti avec des maisons anciennes, un patrimoine historique (comme le Couvent des Jacobins) et des rues étroites et tortueuses. C'est le centre historique de la ville où se développent aujourd'hui des activités commerciales et touristiques (boutiques, restaurants, hôtels luxueux, etc). Le coût très élevé des loyers et du mètre carré (5 000 euros environ) n'est accessible qu'à une population aisée, tandis que les habitants des classes moyennes ou populaires doivent s'installer dans les banlieues (c’est le phénomène de gentrification). On y trouve aussi des fonctions de commandement (Hôtel de ville ; sièges de grandes entreprises, etc).
2.Les banlieues : la commune de Tournefeuille
La densité de population y est moins forte. On y trouve des maisons individuelles avec jardin. Le cadre de vie y est plus agréable (forêts, espaces verts). Tournefeuille se trouve dans une banlieue à l’ouest de Toulouse où vivent des habitants des classes moyennes, généralement propriétaires de leur maison. Principal inconvénient : l’éloignement de la ville-centre où ils doivent se rendre chaque matin pour aller travailler, d’où la présence de gros axes routiers (voies rapides).
3. La couronne périurbaine : La commune de Bonrepos sur Aussonnelle (à 25 km de Toulouse)
Située à 25 km de Toulouse, Bonrepos est une commune rurale avec la présence de fermes et des champs cultivés. La densité de population y est faible, mais le nombre d’habitants est en forte croissance (x7) depuis 50 ans : 162 habitants en 1968 ; 1 187 habitants en 2017.
On distingue clairement l’ancien village avec ses vieilles maisons, son château médiéval et son église du 18ème s. et une extension plus récente avec des lotissements où se sont installés de nouveaux habitants travaillant en ville (les « rurbains »).
L’étalement urbain a pour conséquence l’augmentation des mobilités à l’intérieur de l’aire urbaine : Plus de 40% des habitants de la couronne périurbaine partent le matin travailler dans les banlieues ou dans la ville-centre et reviennent le soir à leur domicile : ce sont les migrations pendulaires.
I. L'aire urbaine de Toulouse :
Toulouse est une grande ville du sud-ouest de la France, appartenant à la région Occitanie.
1.La ville-centre : la Place du Capitole et ses environs : Un Toulousain sur trois habite dans la ville-centre. On y trouve donc une très forte densité de population et une omniprésence du bâti avec des maisons anciennes, un patrimoine historique (comme le Couvent des Jacobins) et des rues étroites et tortueuses. C'est le centre historique de la ville où se développent aujourd'hui des activités commerciales et touristiques (boutiques, restaurants, hôtels luxueux, etc). Le coût très élevé des loyers et du mètre carré (5 000 euros environ) n'est accessible qu'à une population aisée, tandis que les habitants des classes moyennes ou populaires doivent s'installer dans les banlieues (c’est le phénomène de gentrification). On y trouve aussi des fonctions de commandement (Hôtel de ville ; sièges de grandes entreprises, etc).
2.Les banlieues : la commune de Tournefeuille
La densité de population y est moins forte. On y trouve des maisons individuelles avec jardin. Le cadre de vie y est plus agréable (forêts, espaces verts). Tournefeuille se trouve dans une banlieue à l’ouest de Toulouse où vivent des habitants des classes moyennes, généralement propriétaires de leur maison. Principal inconvénient : l’éloignement de la ville-centre où ils doivent se rendre chaque matin pour aller travailler, d’où la présence de gros axes routiers (voies rapides).
3. La couronne périurbaine : La commune de Bonrepos sur Aussonnelle (à 25 km de Toulouse)
Située à 25 km de Toulouse, Bonrepos est une commune rurale avec la présence de fermes et des champs cultivés. La densité de population y est faible, mais le nombre d’habitants est en forte croissance (x7) depuis 50 ans : 162 habitants en 1968 ; 1 187 habitants en 2017.
On distingue clairement l’ancien village avec ses vieilles maisons, son château médiéval et son église du 18ème s. et une extension plus récente avec des lotissements où se sont installés de nouveaux habitants travaillant en ville (les « rurbains »).
L’étalement urbain a pour conséquence l’augmentation des mobilités à l’intérieur de l’aire urbaine : Plus de 40% des habitants de la couronne périurbaine partent le matin travailler dans les banlieues ou dans la ville-centre et reviennent le soir à leur domicile : ce sont les migrations pendulaires.