- Datation relative
- Datation absolue
Relations géométriques : superposition, recoupement, continuité, inclusion… permettent de reconstituer la chronologie relative de structures/évènements géologiques.
--> échelle des paysages/roches/minéraux qui la constituent.
Datation relative : s'applique à des roches sédimentaires éloignées grâce à la connaissance de leurs fossiles.
--> fossiles ayant existé pendant des périodes réduites + aires de répartition très étendues = fossiles stratigraphiques.
2 roches de mêmes fossiles = même âge.
Datation absolue utilise les propriétés radioactives d'isotopes --> Iso.P radioactif = désintégration continue et irréversible en Iso.F selon une constante de désintégration : N=N0.e-(tf-ti) ou T=ln(2)/lambda.
spectromètre de masse : dosage des éléments P et F car masses différentes.
Dosage fiable --> système fermé (échantillon clos).
- Roches magmatiques : T° cristallisation du magma proche de T° fermeture du système.
- Roches métamorphiques : âge mesuré = celui du métamorphisme
- Roches sédimentaires : pas de datation car processus de formation progressif + plusieurs minéraux.
Radiochronomètre (=géochronomètre) : datation absolue.
ex : 87Rb/87Sr, 14C/14N...
--> caractérisé par sa période (entre 1/10 et 100x la période de l'Iso.P)
--> le choix dépend donc de l'âge supposé de l'échantillon + richesse en élément P.
Couplage de datation relative/absolue = complémentaire : échelle chronostratigraphique actuelle.