le territoire de la cité (par opposition à la ville) ; la campagne.

le noyau urbain de la cité.

le peuple, l’ensemble de la communauté civique. On peut opposer parfois ce terme aux génè (grandes familles)

subdivision de la cité. Il y en a quatre dans les cités ioniennes, trois dans les cités doriennes, en principe. À Athènes, après les réformes de Clisthène, on passa à dix tribus.

groupe de familles autour d’une parenté réelle ou fictive. Cadre de vie important (notamment en ce qui concerne la religion)

groupe de familles autour d’un culte à un ancêtre commun. À Athènes, le terme désigne tout particulièrement les grandes familles aristocratiques (ex. : les Alcméonides).

fondateur d’une colonie

nom du fantassin en grec (celui qui peut se payer l’équipement du soldat).

structure de combat : formation en ligne des hoplites.

contraire de la stasis. Règne de la loi ou de la concorde, si l’on peut dire.

le désordre politique, social, qui se caractérise par des luttes intestines violentes : Entre l’anarchie et la guerre civile. Le contraire de l’idéal de la cité grecque

le rejet du fardeau, i. e. l’abolition des dettes.

droit égal pour tous par la loi et devant la loi.

circonscription de base de la cité athénienne

divisions du territoire athénien après la réforme clisthénienne. Il y en a 30 (dix pour la côte, dix pour la ville, dix pour la campagne intérieure), à raison de trois par tribu (une trittye de chaque).