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Le chômage

I Les fluctuations économiques agissent sur le chômage conjoncturel

A. Les fluctuations économiques agissent sur la demande de travail et ainsi sur le chômage conjoncturel.

1) Lien entre croissance et taux de chômage = développement de l'activité économique=hausse production= hausse embauches et diminution du chômage et réciproquement.

2) La croissance économique agit sur la demande de travail du marché du travail mais aussi sur la productivité du travail.

À court terme, une forte croissance du PIB entraîne un net accroissement de la demande de travail des entreprises, ce qui réduit le chômage conjoncturel. la confrontation de la demande à l’offre de travail qui détermine le niveau du chômage, conjoncturel et structurel.

 Rigidités + ou - fortes des règles de l'emploi-- les perspectives de l'activité économique s'améliorent, les employeurs peuvent choisir d'en répercuter une partie sur une / de la productivité du travail, et une autre sur l'emploi. Récession -- les firmes attendent confirmation avant de licencier -- \ gains de productivité puis licenciements.



B. Les phases d'expansion provoquent une hausse de la croissance économique qui réduit le chômage conjoncturel comme le montre la loi d'Okun.

1) La Loi d'Okun établit une relation entre le taux de croissance économique et la variation du taux de chômage. Souligne le rôle des variables évolution de la productivité du travail et évolution de la population active. Il faut que la hausse de l'emploi dépasse celle de la population active pour le chômage diminue.

Stabilisation du chômage : augmentation pop. active=PIB réel


II. Les chocs de demande et d’offre sont responsables des fluctuations de l’activité économique

A. Les chocs de demande agissent positivement ou négativement sur la demande globale et sur les fluctuations de l’activité économique, et ainsi sur le chômage conjoncturel.

1. Un choc de demande négatif réduit l’activité économique ou diminue son dynamisme et accroît le chômage. John Maynard Keynes souligne qu’en période de récession, la faiblesse de la demande globale est souvent la cause de ce ralentissement économique : le niveau de production se réduit ou progresse moins rapidement.

/ chômage -- \ revenus ménages -- \consommation et investissement-- \ demande globale et anticipée-- offre b/s-- \ PIB réel

Chômage involontaire

Équilibre de sous-emploi car chômeurs réduisent la force de travail du pays=chômage conjoncturel

2. Le choc de demande positif accroît l’activité économique et réduit le chômage. Réciproquement, une forte croissance du PIB ou de la demande globale entraîne un accroissement de la demande de travail de la part des entreprises = \ chômage.

B. Les chocs d’offre agissent positivement ou négativement sur les conditions de l'offre et provoquent des fluctuations de l’activité économique qui déterminent le niveau du chômage.

1. Un choc d'offre négatif dégrade les conditions de l'offre, diminue l’activité économique ou son dynamisme et accroît le chômage.

Choc d’offre= perturbation inattendue qui vient troubler l’activité économique-- / coût unitaire de production-- \ renta et profits-- \ investissements et production-- \ demande de travail-- / chômage

ex : choc pétrolier de 1973 et 1979

2. Le choc d'offre positif améliore les conditions de l'offre, accroît l’activité économique et diminue le chômage. Le choc d'offre positif réduit le coût unitaire de production. Provoqués par des innovations de procédé -- / gains de productivité

/ production b/s augmente la demande de travail et diminue le chômage : ex : \ prix des télécoms et dev Internet fin 90 = 1 meilleure comm du personnel et / productivité par \ temps morts -- couts unitaires de prod. 2 meilleure gestion des stocks (code-barres)-- \ stocks et couts unitaires.

La firme peut baisser ses prix -- / demande PIB et emploi OU garder ses prix -- / marge pour investir et produire plus à l'avenir et embaucher plus.


Le chômage

I Les fluctuations économiques agissent sur le chômage conjoncturel

A. Les fluctuations économiques agissent sur la demande de travail et ainsi sur le chômage conjoncturel.

1) Lien entre croissance et taux de chômage = développement de l'activité économique=hausse production= hausse embauches et diminution du chômage et réciproquement.

2) La croissance économique agit sur la demande de travail du marché du travail mais aussi sur la productivité du travail.

À court terme, une forte croissance du PIB entraîne un net accroissement de la demande de travail des entreprises, ce qui réduit le chômage conjoncturel. la confrontation de la demande à l’offre de travail qui détermine le niveau du chômage, conjoncturel et structurel.

 Rigidités + ou - fortes des règles de l'emploi-- les perspectives de l'activité économique s'améliorent, les employeurs peuvent choisir d'en répercuter une partie sur une / de la productivité du travail, et une autre sur l'emploi. Récession -- les firmes attendent confirmation avant de licencier -- \ gains de productivité puis licenciements.



B. Les phases d'expansion provoquent une hausse de la croissance économique qui réduit le chômage conjoncturel comme le montre la loi d'Okun.

1) La Loi d'Okun établit une relation entre le taux de croissance économique et la variation du taux de chômage. Souligne le rôle des variables évolution de la productivité du travail et évolution de la population active. Il faut que la hausse de l'emploi dépasse celle de la population active pour le chômage diminue.

Stabilisation du chômage : augmentation pop. active=PIB réel


II. Les chocs de demande et d’offre sont responsables des fluctuations de l’activité économique

A. Les chocs de demande agissent positivement ou négativement sur la demande globale et sur les fluctuations de l’activité économique, et ainsi sur le chômage conjoncturel.

1. Un choc de demande négatif réduit l’activité économique ou diminue son dynamisme et accroît le chômage. John Maynard Keynes souligne qu’en période de récession, la faiblesse de la demande globale est souvent la cause de ce ralentissement économique : le niveau de production se réduit ou progresse moins rapidement.

/ chômage -- \ revenus ménages -- \consommation et investissement-- \ demande globale et anticipée-- offre b/s-- \ PIB réel

Chômage involontaire

Équilibre de sous-emploi car chômeurs réduisent la force de travail du pays=chômage conjoncturel

2. Le choc de demande positif accroît l’activité économique et réduit le chômage. Réciproquement, une forte croissance du PIB ou de la demande globale entraîne un accroissement de la demande de travail de la part des entreprises = \ chômage.

B. Les chocs d’offre agissent positivement ou négativement sur les conditions de l'offre et provoquent des fluctuations de l’activité économique qui déterminent le niveau du chômage.

1. Un choc d'offre négatif dégrade les conditions de l'offre, diminue l’activité économique ou son dynamisme et accroît le chômage.

Choc d’offre= perturbation inattendue qui vient troubler l’activité économique-- / coût unitaire de production-- \ renta et profits-- \ investissements et production-- \ demande de travail-- / chômage

ex : choc pétrolier de 1973 et 1979

2. Le choc d'offre positif améliore les conditions de l'offre, accroît l’activité économique et diminue le chômage. Le choc d'offre positif réduit le coût unitaire de production. Provoqués par des innovations de procédé -- / gains de productivité

/ production b/s augmente la demande de travail et diminue le chômage : ex : \ prix des télécoms et dev Internet fin 90 = 1 meilleure comm du personnel et / productivité par \ temps morts -- couts unitaires de prod. 2 meilleure gestion des stocks (code-barres)-- \ stocks et couts unitaires.

La firme peut baisser ses prix -- / demande PIB et emploi OU garder ses prix -- / marge pour investir et produire plus à l'avenir et embaucher plus.

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