Interactions rhizosphérique et communication chimique : qql exemple pour illustrer leur diversité
• De la plante vers les mo
• De mo vers la plantes .Bactéries PGPR : bénéfique pour la croissance de la plante, stimule croissance.
• D’un mo vers un autre mo : nématodes capable de libérer des glucides, AA et AO et des hormones végétales type Cytokinine et permermettent aux nématods d’infecter la plante.
• Plante vers plantes (=allopathie)
Dialogue moléculaire dans la rhizosphère
• Communication chimique entre plantes et mo
• Deux exemple de communication : entre rhizobium et Fabacée/ entre certains chmp et plantes.
Communication plante-bactérie
Le dialogue moléculaire dans l’établissement de la symbiose fixatrice d’ N
Première étape du dialogue moléculaire provient de la plante : libère flavonoides (composés phénoliques) dans la rhizosphère. Se développe des bactérie de type rizhobia. Spécificité d’interaction : elles sont reconnue et en réponse a ses flavonoides, rhizobium libère des molécules facteur nod. Une fois reconnaissance établie (deuxieme étape). Et enfin, il y a toute une cascade en réponse.
Rhizobium pénétre dans racine via un cordon d’infection, synhtétisé par la plante en reaction avec leur interaction : canal où rhizo chemine avec flagelle jusqu’a la base du poil absorbant. Co-évolution entre bactérie et plante : capte l’N dans l’air et forme N organique. Quand il y a les bactérie dans cellule : devient Bactéroide
communication plante champignon.
Deux types de mycorhize
Ectomycorhize : champignon reste a l’extérieur des cellules
Mycorhizes Vésiculaire à arbuscules : champignon intracellulaires
Allélopathie
certains sont des composés volatiles. Plantes attaquées émet de molécules dans environnement différentes de si elle ne l'étaient pas. Signal d'alerte sur la présence d'agresseur : effet priming, anticipation de la plante.
Mode d'action : inhibition d'enzume du métabolisme.
moélcule allélochimique emblématique : Catéchine. Selon l'énantiomère, sela + ou -. si - : moélcule allélopathique.
Phytosidérophores et nutrition en fer
= mol organiques libérée dans la rhizosphère
Sidérophoresau sens large : agents chélateurs du Fer sécrétés par les graminées et des micro-organismes en réponse à la déficience en Fer.
Le fer dans le sol est sous forme disponible ou non pour la plante. Fer n’est pas rare fixé à la matière organique ou sous forme souble. Constitue les Hèmes, centre fer soufre, cofacteurs métallique.
Pourquoi les graminées sont-elles plus résistantes à la chlorose ?
Liée a une stratégie pour l’acquisition du fer :
- Sidérophores au sens large : agent chélateurs du fer sécrétés par les graminées et des mo en réponse a la déficience en fer.
Excrétion de proton = acidification du milieu.
Fe3+ oxudée réduit en Fé2+ par des réductases: passe par transporteur intracellulaire FRO2.
Transport Fe II par IRT1.
Interactions rhizosphérique et communication chimique : qql exemple pour illustrer leur diversité
• De la plante vers les mo
• De mo vers la plantes .Bactéries PGPR : bénéfique pour la croissance de la plante, stimule croissance.
• D’un mo vers un autre mo : nématodes capable de libérer des glucides, AA et AO et des hormones végétales type Cytokinine et permermettent aux nématods d’infecter la plante.
• Plante vers plantes (=allopathie)
Dialogue moléculaire dans la rhizosphère
• Communication chimique entre plantes et mo
• Deux exemple de communication : entre rhizobium et Fabacée/ entre certains chmp et plantes.
Communication plante-bactérie
Le dialogue moléculaire dans l’établissement de la symbiose fixatrice d’ N
Première étape du dialogue moléculaire provient de la plante : libère flavonoides (composés phénoliques) dans la rhizosphère. Se développe des bactérie de type rizhobia. Spécificité d’interaction : elles sont reconnue et en réponse a ses flavonoides, rhizobium libère des molécules facteur nod. Une fois reconnaissance établie (deuxieme étape). Et enfin, il y a toute une cascade en réponse.
Rhizobium pénétre dans racine via un cordon d’infection, synhtétisé par la plante en reaction avec leur interaction : canal où rhizo chemine avec flagelle jusqu’a la base du poil absorbant. Co-évolution entre bactérie et plante : capte l’N dans l’air et forme N organique. Quand il y a les bactérie dans cellule : devient Bactéroide
communication plante champignon.
Deux types de mycorhize
Ectomycorhize : champignon reste a l’extérieur des cellules
Mycorhizes Vésiculaire à arbuscules : champignon intracellulaires
Allélopathie
certains sont des composés volatiles. Plantes attaquées émet de molécules dans environnement différentes de si elle ne l'étaient pas. Signal d'alerte sur la présence d'agresseur : effet priming, anticipation de la plante.
Mode d'action : inhibition d'enzume du métabolisme.
moélcule allélochimique emblématique : Catéchine. Selon l'énantiomère, sela + ou -. si - : moélcule allélopathique.
Phytosidérophores et nutrition en fer
= mol organiques libérée dans la rhizosphère
Sidérophoresau sens large : agents chélateurs du Fer sécrétés par les graminées et des micro-organismes en réponse à la déficience en Fer.
Le fer dans le sol est sous forme disponible ou non pour la plante. Fer n’est pas rare fixé à la matière organique ou sous forme souble. Constitue les Hèmes, centre fer soufre, cofacteurs métallique.
Pourquoi les graminées sont-elles plus résistantes à la chlorose ?
Liée a une stratégie pour l’acquisition du fer :
- Sidérophores au sens large : agent chélateurs du fer sécrétés par les graminées et des mo en réponse a la déficience en fer.
Excrétion de proton = acidification du milieu.
Fe3+ oxudée réduit en Fé2+ par des réductases: passe par transporteur intracellulaire FRO2.
Transport Fe II par IRT1.