Deux noyaux isotopes possèdent le même numéro atomique Z mais un nombre de neutrons N différent.
Remarque : Le symbole X et le numéro Z donnent la même information (nombre de protons), le noyau sera souvent présenté sans donner Z.
Deux noyaux isotopes possèdent le même numéro atomique Z mais un nombre de neutrons N différent.
Remarque : Le symbole X et le numéro Z donnent la même information (nombre de protons), le noyau sera souvent présenté sans donner Z.
Un noyau radioactif est instable et va émettre une particule en se désintégrant.
Ces particules peuvent être : des photons (γ), des électrons (0-1𝑒), des positrons (01𝑒) ou des noyaux d’hélium (42𝐻𝑒).
Cette désintégration radioactive est :
• Spontanée (sans apport d’énergie)
• Aléatoire (date imprévisible) ).
• Inéluctable (se fera forcement à un moment)
Pour savoir si un noyau est stable (non radioactif), on doit connaitre sa composition (N neutrons et Z protons). Le diagramme (N, Z) donne alors le résultat.
La radioactivité α concerne les noyaux trop lourds pour être stables. Ils émettent un noyau d’hélium 42𝐻𝑒 appelé particule α et perdent donc 4 nucléons.
La radioactivité β- concerne les noyaux qui possèdent trop de neutrons par rapport aux protons. Un neutron se transforme en proton et émet un électron 0-1e.
La radioactivité β+ concerne les noyaux qui possèdent trop de protons par rapport aux neutrons. Un proton se transforme en neutron et émet un positron 01e.
La radioactivité gamma, le noyau fils obtenu après désintégration est très souvent dans un état excité (noté avec *). Pour retourner à son état fondamental, il va perdre de l’énergie en émettant un photon (ou rayonnement électromagnétique) gamma ϒ.
L’activité A, en becquerel Bq (s-1), d’un échantillon radioactif correspond au nombre moyen de désintégration par seconde.
Deux noyaux isotopes possèdent le même numéro atomique Z mais un nombre de neutrons N différent.
Remarque : Le symbole X et le numéro Z donnent la même information (nombre de protons), le noyau sera souvent présenté sans donner Z.
Un noyau radioactif est instable et va émettre une particule en se désintégrant.
Ces particules peuvent être : des photons (γ), des électrons (0-1𝑒), des positrons (01𝑒) ou des noyaux d’hélium (42𝐻𝑒).
Cette désintégration radioactive est :
• Spontanée (sans apport d’énergie)
• Aléatoire (date imprévisible) ).
• Inéluctable (se fera forcement à un moment)
Pour savoir si un noyau est stable (non radioactif), on doit connaitre sa composition (N neutrons et Z protons). Le diagramme (N, Z) donne alors le résultat.
La radioactivité α concerne les noyaux trop lourds pour être stables. Ils émettent un noyau d’hélium 42𝐻𝑒 appelé particule α et perdent donc 4 nucléons.
La radioactivité β- concerne les noyaux qui possèdent trop de neutrons par rapport aux protons. Un neutron se transforme en proton et émet un électron 0-1e.
La radioactivité β+ concerne les noyaux qui possèdent trop de protons par rapport aux neutrons. Un proton se transforme en neutron et émet un positron 01e.
La radioactivité gamma, le noyau fils obtenu après désintégration est très souvent dans un état excité (noté avec *). Pour retourner à son état fondamental, il va perdre de l’énergie en émettant un photon (ou rayonnement électromagnétique) gamma ϒ.
L’activité A, en becquerel Bq (s-1), d’un échantillon radioactif correspond au nombre moyen de désintégration par seconde.