I) L’intervention de l’État dans l’économie
Déf Politique économique : Ensemble des interventions de l’État qui ont une influence sur l’activité économique.
Les autorités en charge de la politique économique disposent d’ un éventail d’instruments ( réglementations, dépenses publiques, taux d’intérêts, impôts…) qui peuvent poursuivre plusieurs objectifs
Ils existent deux type de conceptions du degré d’intervention dans l’État dans l’économie.
La conception libérale, selon Adam Smith
Pour les libéraux, l’État doit être un « État minimal« , et ne doit pas entravé le fonctionnement du marché ni la liberté d’entreprendre. La conception libéral prône la théorie de « l‘État Gendarme » : l’État réalise les fonctions régaliennes
La conception interventionniste, selon Keynes
Les idées keynésiennes prônent la théorie de « ‘État providence » : il multiplie les interventions, dans le domaine économique et sociale :
3 fonctions principales :
II) Les objectifs des politiques économiques
Les finalités des politiques économiques sont :
On repère quatre objectifs principaux des politiques économiques :
Les objectifs sont illustrés par le carré magique de Kaldor ( Nicholas Kaldor, économiste keynésien du XXe siècle ). Il est dit magique car il est en fait irréalisable.
Il le quadrilatère formé représente une situation économique favorable. Plus la surface du quadrilatère correspondant aux statistiques d’un pays s’éloigne de la surface du carré magique d’origine, plus la situation est défavorable.
L’État arbitre l’orientation de ses politiques économiques entre les quatre objectifs selon la situation de l’activité économiques et de ses besoins.
2. La régulation de l’activité économique.
L’activité économique connaît à court terme des fluctuations :
III) Les politiques structurelles et conjoncturelles, budgétaire et monétaire
En fixant les taux d’intérêt directeur, la BCE influe sur l’activité économique :
la baisse des taux enchaine une baisse des cout de financement des banques, donc un cout de crédit plus faible pour les agents économique, ce qui va favoriser la consommation et l’investissement, donc participe à la relance de l’économie.
Un solde positif traduit le besoin d’une politique d’austérité/stabilisation qui va favoriser la stabilité des prix et l’équilibre extérieur.
un solde négatif traduit lui, le besoin d’une politique de relance, avec pour objectif le favoriser la croissance économique et le plein emploi, en abaissant le chômage.
I) L’intervention de l’État dans l’économie
Déf Politique économique : Ensemble des interventions de l’État qui ont une influence sur l’activité économique.
Les autorités en charge de la politique économique disposent d’ un éventail d’instruments ( réglementations, dépenses publiques, taux d’intérêts, impôts…) qui peuvent poursuivre plusieurs objectifs
Ils existent deux type de conceptions du degré d’intervention dans l’État dans l’économie.
La conception libérale, selon Adam Smith
Pour les libéraux, l’État doit être un « État minimal« , et ne doit pas entravé le fonctionnement du marché ni la liberté d’entreprendre. La conception libéral prône la théorie de « l‘État Gendarme » : l’État réalise les fonctions régaliennes
La conception interventionniste, selon Keynes
Les idées keynésiennes prônent la théorie de « ‘État providence » : il multiplie les interventions, dans le domaine économique et sociale :
3 fonctions principales :
II) Les objectifs des politiques économiques
Les finalités des politiques économiques sont :
On repère quatre objectifs principaux des politiques économiques :
Les objectifs sont illustrés par le carré magique de Kaldor ( Nicholas Kaldor, économiste keynésien du XXe siècle ). Il est dit magique car il est en fait irréalisable.
Il le quadrilatère formé représente une situation économique favorable. Plus la surface du quadrilatère correspondant aux statistiques d’un pays s’éloigne de la surface du carré magique d’origine, plus la situation est défavorable.
L’État arbitre l’orientation de ses politiques économiques entre les quatre objectifs selon la situation de l’activité économiques et de ses besoins.
2. La régulation de l’activité économique.
L’activité économique connaît à court terme des fluctuations :
III) Les politiques structurelles et conjoncturelles, budgétaire et monétaire
En fixant les taux d’intérêt directeur, la BCE influe sur l’activité économique :
la baisse des taux enchaine une baisse des cout de financement des banques, donc un cout de crédit plus faible pour les agents économique, ce qui va favoriser la consommation et l’investissement, donc participe à la relance de l’économie.
Un solde positif traduit le besoin d’une politique d’austérité/stabilisation qui va favoriser la stabilité des prix et l’équilibre extérieur.
un solde négatif traduit lui, le besoin d’une politique de relance, avec pour objectif le favoriser la croissance économique et le plein emploi, en abaissant le chômage.