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Lycée
Terminale

La coordination du travail et les types d'organisation

Définition

Division verticale
La division verticale du travail se réfère à la séparation des différents niveaux hiérarchiques au sein d'une entreprise ou organisation. Elle détermine les niveaux de responsabilité et d'autorité de chaque poste.
Division horizontale
La division horizontale du travail concerne la répartition des tâches entre les différents employés ou groupes d'une même hiérarchie. Elle vise à spécialiser les tâches pour améliorer l'efficacité.
Organisation du travail rigide (Taylorisme)
Système de gestion scientifique du travail qui se concentre sur l'optimisation de chaque tâche et la standardisation des processus pour accroître la productivité.
Organisation du travail souple (Toyotisme)
Modèle qui met l'accent sur la flexibilité, l'amélioration continue et l'implication des employés dans le processus de production pour garantir la qualité.
Lean management
Stratégie de gestion visant à maximiser la valeur pour le client tout en minimisant le gaspillage, inspirée des principes du Toyotisme.

Les mécanismes de coordination

Les mécanismes de coordination sont essentiels pour organiser le travail de manière efficace. Voici quelques-uns des principaux mécanismes :
Ajustement mutuel : La coordination se fait par la communication informelle entre les membres de l'organisation, permettant une adaptation rapide et dynamique.
Supervision directe : La coordination est réalisée par un supérieur hiérarchique qui donne des instructions et supervise le travail des subordonnés.
Standardisation des procédés du travail : Les tâches et procédés sont définis avec précision, ce qui garantit l'homogénéité de l'exécution du travail.
Standardisation des résultats : Les objectifs finaux sont clarifiés et mesurables, permettant aux employés de diriger eux-mêmes leur travail pour atteindre ces résultats.
Standardisation des qualifications : Les compétences requises pour chaque poste sont standardisées, assurant que les employés sont adéquatement formés pour leurs responsabilités.
Standardisation des normes : L'organisation adopte des normes et valeurs communes qui guident le comportement des employés et facilitent la coordination.

Les degrés de centralisation du pouvoir

La centralisation et la décentralisation représentent l'étendue du pouvoir décisionnel au sein d'une organisation. Elles influencent grandement les modes de coordination et l'efficacité organisationnelle.
Pouvoir centralisé : La prise de décision est concentrée au sommet de la hiérarchie. Ce modèle permet une uniformité dans les décisions mais peut entraîner une lenteur dans la réaction aux changements.
Pouvoir décentralisé : Le pouvoir décisionnel est distribué à travers les différents niveaux de l'organisation. Cela permet une plus grande réactivité et une meilleure adaptation locale, mais peut entraîner un manque de cohérence.

Organisation du travail : théorie vs pratique

Les organisations évoluent entre des modèles théoriques rigides et des pratiques plus souples pour coordonner le travail de manière efficace. Le Taylorisme, avec son approche scientifiquement rigide, a marqué une première étape dans l'organisation du travail, mais a été suivi par le Toyotisme et le Lean management, qui recherchent l'amélioration continue et la mobilisation personnelle.
Dans la pratique, chaque organisation mélange ces approches pour répondre à ses besoins spécifiques, en prenant en compte ses caractéristiques propres ainsi que les attentes de ses employés et clients.

A retenir :

La coordination du travail dans une organisation repose sur la division du travail, sur la manière dont le pouvoir est centralisé ou décentralisé, et sur les mécanismes de coordination adoptés. Les modèles d’organisation du travail varient entre les systèmes rigides, comme le Taylorisme, et les systèmes souples, tels que le Toyotisme et le Lean management. Chaque organisation doit évaluer et choisir sa propre méthode de coordination en fonction de ses objectifs, de sa culture d’entreprise et de son environnement économique, tout en alliant flexibilité et efficacité pour maintenir sa compétitivité et sa réactivité aux changements.
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La coordination du travail et les types d'organisation

Définition

Division verticale
La division verticale du travail se réfère à la séparation des différents niveaux hiérarchiques au sein d'une entreprise ou organisation. Elle détermine les niveaux de responsabilité et d'autorité de chaque poste.
Division horizontale
La division horizontale du travail concerne la répartition des tâches entre les différents employés ou groupes d'une même hiérarchie. Elle vise à spécialiser les tâches pour améliorer l'efficacité.
Organisation du travail rigide (Taylorisme)
Système de gestion scientifique du travail qui se concentre sur l'optimisation de chaque tâche et la standardisation des processus pour accroître la productivité.
Organisation du travail souple (Toyotisme)
Modèle qui met l'accent sur la flexibilité, l'amélioration continue et l'implication des employés dans le processus de production pour garantir la qualité.
Lean management
Stratégie de gestion visant à maximiser la valeur pour le client tout en minimisant le gaspillage, inspirée des principes du Toyotisme.

Les mécanismes de coordination

Les mécanismes de coordination sont essentiels pour organiser le travail de manière efficace. Voici quelques-uns des principaux mécanismes :
Ajustement mutuel : La coordination se fait par la communication informelle entre les membres de l'organisation, permettant une adaptation rapide et dynamique.
Supervision directe : La coordination est réalisée par un supérieur hiérarchique qui donne des instructions et supervise le travail des subordonnés.
Standardisation des procédés du travail : Les tâches et procédés sont définis avec précision, ce qui garantit l'homogénéité de l'exécution du travail.
Standardisation des résultats : Les objectifs finaux sont clarifiés et mesurables, permettant aux employés de diriger eux-mêmes leur travail pour atteindre ces résultats.
Standardisation des qualifications : Les compétences requises pour chaque poste sont standardisées, assurant que les employés sont adéquatement formés pour leurs responsabilités.
Standardisation des normes : L'organisation adopte des normes et valeurs communes qui guident le comportement des employés et facilitent la coordination.

Les degrés de centralisation du pouvoir

La centralisation et la décentralisation représentent l'étendue du pouvoir décisionnel au sein d'une organisation. Elles influencent grandement les modes de coordination et l'efficacité organisationnelle.
Pouvoir centralisé : La prise de décision est concentrée au sommet de la hiérarchie. Ce modèle permet une uniformité dans les décisions mais peut entraîner une lenteur dans la réaction aux changements.
Pouvoir décentralisé : Le pouvoir décisionnel est distribué à travers les différents niveaux de l'organisation. Cela permet une plus grande réactivité et une meilleure adaptation locale, mais peut entraîner un manque de cohérence.

Organisation du travail : théorie vs pratique

Les organisations évoluent entre des modèles théoriques rigides et des pratiques plus souples pour coordonner le travail de manière efficace. Le Taylorisme, avec son approche scientifiquement rigide, a marqué une première étape dans l'organisation du travail, mais a été suivi par le Toyotisme et le Lean management, qui recherchent l'amélioration continue et la mobilisation personnelle.
Dans la pratique, chaque organisation mélange ces approches pour répondre à ses besoins spécifiques, en prenant en compte ses caractéristiques propres ainsi que les attentes de ses employés et clients.

A retenir :

La coordination du travail dans une organisation repose sur la division du travail, sur la manière dont le pouvoir est centralisé ou décentralisé, et sur les mécanismes de coordination adoptés. Les modèles d’organisation du travail varient entre les systèmes rigides, comme le Taylorisme, et les systèmes souples, tels que le Toyotisme et le Lean management. Chaque organisation doit évaluer et choisir sa propre méthode de coordination en fonction de ses objectifs, de sa culture d’entreprise et de son environnement économique, tout en alliant flexibilité et efficacité pour maintenir sa compétitivité et sa réactivité aux changements.
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