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Lycée
Première

L'Ile des esclaves scène 1

Francais

Définitions

Présentation générale de l'oeuvre et de l'auteur:
L'Ile des esclaves est une pièce de théâtre jouée en 1725, c'est une pièce en un acte et en proses, écrite par Marivaux un célèbre romancier et dramaturge.
Présentation de l'extrait:
Dans la scène 6, Arlequin et Cléanthis imitent leurs anciens maîtres dans une scène de marivaudage comique. Leur but est de faire comme leurs maîtres et de pointer du doigt leur ridicule.
Problématique:
Comment la mise en abyme sert-elle une visée satirique des codes de la galanterie mondaine?
1er mouvement(L.1-19)
Mise en abyme
2ème mouvement(L.20-41)
La représentation

Mise en abyme L.1-19

>>L.1>Cléanthis s’approprie le rôle de metteur en scène, elle réclame des accessoires> valeur injonctif.

-Elle adopte un position propre à la noblesse > «assis» double sens qui montre qu’il s’agit aussi de tenir un rang.

-Elle distribue les rôles en utilisant une critique des codes de galanteries mondains qui sont superficiels.

-Arlequin se déclare au diapason du metteur en scène , et déclare son allégeance> «ordonnance»

>>Il réduit Iphicrate au rang de simple accessoiriste(L.4-5)

-L’exclamation (L.6)> mécontentement d’Iphicrate

-Cléanthis règle les déplacements qui seront les leurs, elle utilise l’impératif + «de cette manière-là»> pas d’improvisation.

Elle dicte à Arlequin son discours amoureux > topos des yeux de la dame.

Elle ordonne les règles de conduite amoureuse avec les 2 outils de la séduction> les «compliments» et les «révérences»//noblement.

>>La réponse d’Arlequin (L.13-14)= outil de séduction féminin >Les «mines»= il veut qu’elle se comporte comme une coquette.

-la phrase interrogative insiste sur le rang d’esclaves d’Iphicrate et Euphrosine> déterminant possessif «nos»+«gens»

>>(L.15-16)>Cléanthis rappelle que sans les esclaves, les maîtres ne sont rien. Elle les renvoie à leur condition d’inférieur mais aussi au rang de spectateurs.

-Arlequin confirme l’ordre de Cléanthis.

>>La didascalie(L.18-19) montre la stupéfaction d’Euphrosine et Iphicrate qui subissent une humiliation car d’habitude ce sont eux qui donnent des ordres.

-L’exagération de leur gestuelles est comique= comique de geste.


La représentation L.20-41

>>Mis en mouvement des pers. qui s’oppose à leur immobilité en début de passage> spectacle destiné a Iphicrate et Euphrosine et aux spectateurs= double énonciation

-Cléanthis évoque « un jour tendre»>topos amoureux+allusion à la carte du tendre

>>Arlequin s’auto-complimente(L.23)

-Le «comment» détaché en début de phrase montre l’étonnement de Cléanthis> elle n’aime pas.

>>Le charme est rompu lorsqu’Arlequin évoque un juron(L.25). Sa gestuelle et son rire >une attitude discordante qui altère l’illustration théâtrale.

-Cléanthis le rappelle à l’ordre>verbe hyperbolique «défigurer»=elle est en colère

-Mais Arlequin s’applaudit et devient spectateur des ses propres blagues. Il quitte son rôle alors que Cléanthis est investie dans son rôle de maîtresse.

>>Cléanthis ordonne à Arlequin de se répandre>verbe «rayer» à l’impératif présent.

-Cléanthis continue la représentation>champs lexical de la galanterie. Elle clôt le chapitre des compliments>elle craint qu’Arlequin ne soit pas à la hauteur

-La réponse d’Arlequin est comique>il est paresseux

Cléanthis dicte le texte d’Arlequin(L.33)elle accélère les choses> «dites» à l’impératif présent. Elle minaude à la manière d’une coquette en qualifiant Arlequin«d’aimable»=compliment et de «coquet»=reproche>inconstance

>>Arlequin se prend au jeu et se met à genou=posture de soumission amoureuse. Il emploie le vocabulaire de la passion amoureuse de manière parodique.

-Cléanthis recadre sèchement Arlequin, mais elle continue de minauder(L.37).

-Arlequin en riant rompt le charme de la représentation(L.39), ils s’adonnent en utilisant le terme «bouffons» pour dénoncer le grotesque de la situation.

>>Cléanthis met fin à la représentation (L.41) peut être se rendent-ils comptent s’il continue de jouer la situation risque d’être a leur désavantage.

À retenir :

Conclusion:

Cette scène permet de dénoncer l'hypocrisie des normes sociales, ce stratagème amoureux qu'ils mettent en scène entend venger et instruire leurs anciens maîtres sous une forme comique.

Lycée
Première

L'Ile des esclaves scène 1

Francais

Définitions

Présentation générale de l'oeuvre et de l'auteur:
L'Ile des esclaves est une pièce de théâtre jouée en 1725, c'est une pièce en un acte et en proses, écrite par Marivaux un célèbre romancier et dramaturge.
Présentation de l'extrait:
Dans la scène 6, Arlequin et Cléanthis imitent leurs anciens maîtres dans une scène de marivaudage comique. Leur but est de faire comme leurs maîtres et de pointer du doigt leur ridicule.
Problématique:
Comment la mise en abyme sert-elle une visée satirique des codes de la galanterie mondaine?
1er mouvement(L.1-19)
Mise en abyme
2ème mouvement(L.20-41)
La représentation

Mise en abyme L.1-19

>>L.1>Cléanthis s’approprie le rôle de metteur en scène, elle réclame des accessoires> valeur injonctif.

-Elle adopte un position propre à la noblesse > «assis» double sens qui montre qu’il s’agit aussi de tenir un rang.

-Elle distribue les rôles en utilisant une critique des codes de galanteries mondains qui sont superficiels.

-Arlequin se déclare au diapason du metteur en scène , et déclare son allégeance> «ordonnance»

>>Il réduit Iphicrate au rang de simple accessoiriste(L.4-5)

-L’exclamation (L.6)> mécontentement d’Iphicrate

-Cléanthis règle les déplacements qui seront les leurs, elle utilise l’impératif + «de cette manière-là»> pas d’improvisation.

Elle dicte à Arlequin son discours amoureux > topos des yeux de la dame.

Elle ordonne les règles de conduite amoureuse avec les 2 outils de la séduction> les «compliments» et les «révérences»//noblement.

>>La réponse d’Arlequin (L.13-14)= outil de séduction féminin >Les «mines»= il veut qu’elle se comporte comme une coquette.

-la phrase interrogative insiste sur le rang d’esclaves d’Iphicrate et Euphrosine> déterminant possessif «nos»+«gens»

>>(L.15-16)>Cléanthis rappelle que sans les esclaves, les maîtres ne sont rien. Elle les renvoie à leur condition d’inférieur mais aussi au rang de spectateurs.

-Arlequin confirme l’ordre de Cléanthis.

>>La didascalie(L.18-19) montre la stupéfaction d’Euphrosine et Iphicrate qui subissent une humiliation car d’habitude ce sont eux qui donnent des ordres.

-L’exagération de leur gestuelles est comique= comique de geste.


La représentation L.20-41

>>Mis en mouvement des pers. qui s’oppose à leur immobilité en début de passage> spectacle destiné a Iphicrate et Euphrosine et aux spectateurs= double énonciation

-Cléanthis évoque « un jour tendre»>topos amoureux+allusion à la carte du tendre

>>Arlequin s’auto-complimente(L.23)

-Le «comment» détaché en début de phrase montre l’étonnement de Cléanthis> elle n’aime pas.

>>Le charme est rompu lorsqu’Arlequin évoque un juron(L.25). Sa gestuelle et son rire >une attitude discordante qui altère l’illustration théâtrale.

-Cléanthis le rappelle à l’ordre>verbe hyperbolique «défigurer»=elle est en colère

-Mais Arlequin s’applaudit et devient spectateur des ses propres blagues. Il quitte son rôle alors que Cléanthis est investie dans son rôle de maîtresse.

>>Cléanthis ordonne à Arlequin de se répandre>verbe «rayer» à l’impératif présent.

-Cléanthis continue la représentation>champs lexical de la galanterie. Elle clôt le chapitre des compliments>elle craint qu’Arlequin ne soit pas à la hauteur

-La réponse d’Arlequin est comique>il est paresseux

Cléanthis dicte le texte d’Arlequin(L.33)elle accélère les choses> «dites» à l’impératif présent. Elle minaude à la manière d’une coquette en qualifiant Arlequin«d’aimable»=compliment et de «coquet»=reproche>inconstance

>>Arlequin se prend au jeu et se met à genou=posture de soumission amoureuse. Il emploie le vocabulaire de la passion amoureuse de manière parodique.

-Cléanthis recadre sèchement Arlequin, mais elle continue de minauder(L.37).

-Arlequin en riant rompt le charme de la représentation(L.39), ils s’adonnent en utilisant le terme «bouffons» pour dénoncer le grotesque de la situation.

>>Cléanthis met fin à la représentation (L.41) peut être se rendent-ils comptent s’il continue de jouer la situation risque d’être a leur désavantage.

À retenir :

Conclusion:

Cette scène permet de dénoncer l'hypocrisie des normes sociales, ce stratagème amoureux qu'ils mettent en scène entend venger et instruire leurs anciens maîtres sous une forme comique.

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