S'il y'a plusieurs amortissement de différence immobilisation corporelles ou incorporelles .
On Débite le 68110 Dotations aux amortissement des immobilisations incorporelles pour le montant total de l'année N sauf s'il y'en a qu'un seul.
On Débite également le 681120 Dotation aux amortissements des immobilisations corporelles pour le montant total de l'année N sauf s'il y'en a qu'un seul.
Puis l'on vient crédité séparément les amortissements de l'année N en fonction de leurs catégorie donc leurs n° de compte.
Puis on enregistrer l'amortissement dérogatoire s'il y'en a prenant la totalité des dotations de l'année N que l'on vient soldé au crédit pour ce même montant. Et inversement si il s'agit d'une reprise.
L'amortissement dégressif nécessite un taux d'amortissement décroissant, appliqué chaque année à la valeur nette de l'actif. La première étape consiste à déterminer ce taux à partir du taux d'amortissement linéaire multiplié par un facteur d'accélération. Ensuite, l'enregistrement se fait en débitant le compte Charges d'amortissements et en créditant le compte Amortissements cumulés, de façon similaire à l'amortissement linéaire.
L'enregistrement de l'amortissement a des conséquences fiscales importantes, car il permet de réduire le résultat imposable de l'entreprise. Par conséquent, les entreprises choisissent souvent un type d'amortissement qui optimise leur charge fiscale. Il est cependant nécessaire de se conformer aux réglementations fiscales en vigueur, qui peuvent limiter les méthodes et les taux d'amortissement applicables.