On traite les phénomènes de l’esprit,
Maintenir la constance du moi et le psychisme permettant à l'organisme de :
- l’expérience que nous faisons à la fois temporelle et géographique ( conscience de nous-même)
- Série d’opération vient de ces fonctions et qui travaille en permanence afin de subir ou engendrer un nombre d’opération = processus souple tout au long de notre vie.
- Psychisme --> empêche de ressentir de gros changements permanents.
- Etablir des échanges significatifs avec le monde extérieur sinon fonctions psychiques ne peuvent pas s’exercer
- Les échanges avec l’extérieur sont fondamentaux. Ces échanges sont en parti contrôler par nous = stabilité qui nous permet d’avoir des échanges significatifs
Les processus mentaux (fonctions psychiques)
- Opérations de l’esprit (activités mentales) sous-jacentes aux comportements.
- Principale activité mentale cognitive est « penser », « réfléchir ».
- « aimer » est une activité affective mais on ne peut pas le voir non plus.
- Problème : on ne peut pas directement les regarder
Rendre observables ce qui se passe dans notre psychisme = prouver des atomes et éléments
On va donc étudier le comportement car lui est visible et :
- Publiquement observable
- Permet de déduire les inférences (besoins) d’autrui
- Donne une interprétation a un comportement --> assez précis dire quelque chose de sa signification
- Certains mouvements ne sont pas du comportement --> Ni de fonctions ni de sens
- Seul le comportement est observable --> intéresse la psychologie
Quand ce que l'on pense savoir à l’intérieur de nous est différent de la réalité --> psychologie accède à ses processus mentaux grâce à des outils
- La psychologie s'intéresse à toutes les forces externes --> impliqués dans le comportement de la personne --> pas conscience de l’existence de ces force en générale
- Déterminent d’autant plus nos pensées et actions
Depuis que l'Homme pensent, une grande partie de sa pensée = concentré a lui-même.
- Accumulation de connaissances sur nous-même = savoir populaire (= très ancien) --> enseigné depuis toujours = beaucoup de connaissances
- Psychologue = difficultés quand dialogue avec des non-scientifique car contesté
- La psychologie (discipline scientifique) = 150 ans --> connaissances = moins nombreuses que savoir populaire, parfois pas de réponses scientifiques
- Certains savoirs populaires = peut-être valides mais pas encore prouvé scientifiquement.
- Psychologie = discipline scientifique dont l’objet est le comportement des individus et leurs processus mentaux sous-jacents, ainsi que les forces externes qui s’exercent.
- Le savoir populaire est très loin de la connaissance scientifique.
Information partielle
- Survivants à un naufrage « parce qu’ils avaient beaucoup prier » = croyance des Devos
- Diagoras demande où sont les tablettes de ceux qui avaient prié et qui n’ont pas survécu au naufrage
- Témoignage = être vivant --> fausse les jugements
- Problème de Diagoras = surinformation pourtant --> infime quantité d’information visible.
- L’information à laquelle nous accédons n’est que partiel --> celle rendu visible
- Peu accès à l’autre masse d’informations qui vient souvent contredire l’information visible.
- Chercher à confirmer l’information n’est pas scientifique mais chercher sa contradiction l’est.
- Le savoir populaire apprend à confirmer l’info depuis toujours --> oublie du cas de la contradiction
Cas « extraordinaire » : Corrélation illusoire
- Mettre en lien deux évènements qui se produisent alors que le lien n’existe pas réellement --> Souvent quand quand arrivent en même temps
- + mémorisée et remarquée que le reste de l’information invisible
Mauvaise appréhension du hasard : « Manie de l’ordre »
- Vie = mélange de faits qui arrivent en même temps l’Homme a du mal avec le hasard, besoin d'explications --> Solution : Savoir populaire
- Prédisposition retrouvée tôt dans l’histoire de l’être humain.
- Veut un ordre autour de soi face à des données aléatoires.
- Faire un lien illusoire donne la raison d’une cause
Biais d’attribution
- Erreur (d’attribution) fondamentale : surestimation des causes internes et sous-estimation des causes externes
- Cherche à expliquer les actions des autres
- Prendre le temps d’analyser la situation avant de tirer ses conclusions
- Tendance à évoquer la personnalité pour justifier une action
- Des caractéristiques personnologiques justifieraient leur agissements
- En réalité, Sous-estimation du poids de la situation.
- Beaucoup de choses que nous faisons s'expliquent par le contexte que par des variables internes personnologiques
- Société individualiste sur estime les causes internes alors que le comportement est déduit d'un contexte interne mais surtout externe.