Sparte, état guerrier, batie sur un modele militaiR et aristocratiQ, puissance militaiR énorme qui lui a permis de conserver et de posseder des territoiR, un des plus vastes états de la Grèce, puissance qui lui a conféré un prestige que nul ne pourra songer a lui contester sérieusement. Place dominante occupée dans sa culture par l’idéal militaire. 

Éducation spartiate, formée une cité entière de soldats-héros, dévouées à la patrie. Cité organisée autour des militaires, quoitiden rythmée et organisée ainsi.

• Gout pour le sport, le sport n’est pas réservé qu’aux hommes *athlétisme féminin*, gout artistique puisque éducation intellectuel aussi*, l’éducation musicale renforce les liens, par la dance elle donne la main à la gymnastique par le chant elle véhicule la poésie.
• La philosophie de cette éducation est l’éducation d’état, l’objectif est la formation du soldat, de l’hoplite***

Intérêt pour l’enfant dès la naissance *présentation de l’enfant à une commission de chefs-anciens-idée eugénisme (idée possible sélection parmi les enfants, mythe où une commission déciderait si cette commission décide si oui ou non le bébé doit vivre ou pas lors d'handicaps ou pas).

Éducation " formelle " à partir de 7 ans, en dessous, il est confié à sa famille ( possible educ de la famille, des méres ) . A 8 ans, il est pris en charge par l'état jusqu'à ses 30 ans où il reste dans les communautés de jeunes dans des internats qu'il commencent à 12 ans => aspect individuelle réduit, enseignement collectif (app savoir-vivre en communauté).

EnseigneM de l'état par la prise en charge des garçons pour une instrucT prémilitaiR où l'aspect intellectuelle est réduit, lectuR & écrituR sans vu au strict minimium alors que l'éduc physiQ est mis à la 1ére place. = Educ au caracté & au dévouement à l'état ( patriotisme & sacrifice). Jeunes spartiates expérimentent des pratiques pour les enduicir, ils n'ont pas de chaussuR, lits minables, pas biens nourris et sont inciter à voler pour se nourrir => climat difficile, embrigadement quotidien.

Educ des filles => objet d'une instruction - dense, éduc centrée sur le sport et la gymnatiQ puisque la ♀spartiate a le devoir d’être une mère féconde et de donner la vie a des enfants en bonne santé = idée de méres en bonne santé. 

Educ spartiate s'est montré comme étant le modele d'éduc à suivre pendant un temps puis après s’être montée en tête du progrès, Sparte est devenue la cité conservatrice par excellence. Vers le 6é siècle avant J-C, on a chute de l’éducation spartiate suite à une division des civilisations autour de sparte ( appelé aussi lacédémone ).

• La période classique signe la chute de ce modèle éducatif sur la scène mondiale.  

L'Athènes classique, VIè siécle, principale cité à renoncer à un modèle miltaiR. Les Athéniens furent les premiers a abandonné l’usage ancien modèle de circuler en armes et ayant quitté l’armure de fer, a adopter un genre de vie moins farouche et plus civilisé ! L’éducation cesse d’être essentiellement militaire. 

Passage qui remet Athènes sur la scène mondiale du monde grecque.

. Démocratisation de la tradition aristocratique : 

• L’éducation athénienne garde néanmoins une attache étroite avec ses origines nobles. Educ reste oriente vers la vie de noble, intéret pour fam aisées, éduc de gentils hommes** .

Démocratisation dans l’accessibilité ( = démocratisation de l’école) progressivement, c’est donner accès à cette formation pour exercer un métier.

Cette cité devient progressivement une démocratie :

• Ve siècle avant j.C le peuple obtient un droit a être former, a voter. Il n’y a pas de remise en cause avec la démocratie, pour une meilleure vie pour les citoyens. 
• Apparition de l'école comme structure collective, pour répondre à ce besoin grandissant d'instruction, , l’éducation qui s’est développé à un enseignement collectif, développement des écoles *initiatives privées/salles louées* L’éducation particulière ne disparait pas malgré l’apparition des écoles. (précepteur ≠ classe). Contenues éducatifs :
• ÉDUC physiQ ( ne disparait pas, mais à pour but de former le corps en lien avec l'hygiéne, il s'agit de préparer l’enfant a disputer dans les règles les épreuves d’athlétisme. le Pédotribe lui donne un enseignement sur un terrain de son sport. Apparition jo pour enfants).
• ÉDUC musicaL ( par le par le cithariste qui est le maitre, présent dans une autre école. Porté morale, agit sur l’homme tout entier, rendre plus entier, faire régner la morale. Pédagogie du par cœur, des poésies, et des façons de faire et d’être * les mœurs*.  
• Éduc littéR => donnée par le grammatiste, le maitre, l’usage d'écriture et de la lecture se répand, l’apprentissage est présente, l’enfant fréquent les trois écoles. )

Seconde moitié Ve, apparition des écoles de médecines et des écoles philosophiQ en lien avec les sophistes mettent l'enseignement en faveur d’un autre idéal, équipier l’esprit pour une carrière d’homme d’État. Méthode : préceptorat collectif, payant , les maitres uniquement qui enseignement, environ 3-4 ans pour la formation d’un maitre sophiste,, aucune institution.Les deux dimensions principales de l’enseignement sont la dialectique * capacité à argumenter, CAPACITE A CONVAINCRE*et la rhétorique *l’art de bien parler = fondamental dans le monde politiQ *. 

• Protagoras, fut l’un des premiers à mettre en œuvre ce type d’enseignement contre finance. Il ne se soucie pas de la formation préalable, pas de public précis, il fallait attirer et convaincre les élèves, les sophistes sont mobiles, ils se déplacent. L'art de convaincre par le discours *plaidoirie, discours-débat*.  
• Adverse des sophistes, Socrate, éducateur de la même période, qui s’oppose frontalement aux sophistes, il porte une tradition aristocratique, il replace au centre de son enseignement la vertu au sens strictement moral *valeurs morales, analyse de discours*, et moins commerciale => savoir opaque, éducation plus cérébrale et moins sportif.  

Les maitres de la tradition à Athènes  

• En 387, Platon ouvre l’Académie, école de philosophie et sciences scientifiques pour les conseilleurs et les pramentaures, il met en centre la vérité, enseignement qu’il dispense pendant 40 ans, forme sur une association ou une secte, une confrérie *fêtes-banquets, membres unis sur un lien d’amitié*, contenus d’enseignement plus philosophique, sur la quête de la vérité.   
• Isocrate enseigne pendant près de 50 ans (393-338), il veut former l’élite intellectuel de la Grèce, il a été professeur d’éloquence, il a écrit des discours, expérience qui lui permet de parfaire son enseignement, il a laissé énormément des traces écrites, il forme des professeurs comme lui ou des techniciens de la discussion école payante, l’art oratoire de l’éloquence.   
• Option de titre philosophie*P* et oratoire *I*.  

L’éducation classique achève de perdre ce qui pouvait lui rester de son caractère noble ; l’aspect artistique cède définitivement le pas aux éléments littéraires : l’éducation, tout en restant au premier chef morale, devient plus livresque et plus scolaire. L’école, qui s’affirme et se développe en tant qu’institution, supplante lentement le milieu du club de jeunesse. Le passage achève de s’accomplir avec ce qu’Henri-Irénée Marrou appelle une éducation de scribes.

Aucunes filles dans ces écoles. 

On parle désormais d’un monde qui partages des modèles éducatives. 

Il y a de changeM dans l’organisation politique et culturelle puisque dans le monde sparte, ils partagent des principes éducatifs.

Changements dans l’organisation politique et culturelle: élément plus spirituel avec éducation scribe.

Royaume hellénistique accomplit la Paideia (« se faire soi même, de dégager l’enfant qu’on était à un homme »).

=> Le petit enfant au dessous de 7 ans : l’enfant reste dans sa famille, élevé par les femmes.

=> L’« enfant » de 7 à 14 ans : la période scolaire, l’éducation collective est devenue la règle.

• En pays vraiment grec, normalement tous les enfants de condition libre fréquentent les écoles.
• Métier de maître d’école demeure, pendant toute l’antiquité, un métier humble, assez méprisé.
• C’est un métier qui nécessite pas une formation spécifique.
• Enseignement : lire, apprendre par coeur, écrire – et compter

3. L’« adolescent » de 14 à 21 ans ; acquisition d’une solide culture générale. L’instituteur pour cet enseignement est le grammairien. L’objet spécifique de son enseignement est l’étude approfondie des poètes et des autres écrivains classiques.

• L’enfant n’abordait pas immédiatement le texte des poètes ; on lui posait d’abord des résumés.

Le travail du grammairien se divise en 4 étapes : critique du texte, lecture expressive, explication, jugement.

Châtiments intemporelles ne sont pas prohibés. Recours au chatiment intemporel à cette époque en cas d’échec d’apprentissage des leçons.

2) Institutions éducatives (description modèle)

4. Dernière étape : éphébie.

Se développe, à côté du gymnase, un enseignement de type supérieur, d’une haute technicité et offrant

comme la nôtre diverses spécialités : rhétorique, philosophie et médecine.

L’éphébie attique : la mieux connue. C’est un système de formation, civique et surtout militaire, du soldat-

citoyen. Pour être prépondérant, ce caractère militaire n’est pas unique ; l’éphébie du IVe s'est aussi une sorte de noviciat civique.

Une instruction publique : L’éducation cesse d’être abandonnée à l’initiative privée et fait normalement l’objet d’une réglementation officielle. Elle est chose municipale et non gérée par le royaume.

• Pas d’écoles d’état : La cité ne possède ni les ressources, ni les services administratifs nécessaires pour assumer directement la charge d’un enseignement public. Seule l’éphébie, et par suite les gymnases qui en dépendent, étaient normalement fondés et entretenus par la collectivité. La solution pratique consiste à faire appel à la générosité des particuliers pour assurer le financement de ce service d’intérêt général.
• Écoles privées : Il faut réserver la place la plus importante à l’école privée, entretenue par les redevances payées par les élèves au maître et fonctionnant sur un plan strictement commercial.
• Les jeux et les fêtes, sanction officielle. Si la faiblesse financière de la cité ne lui permettait pas d’assumer de façon directe l’ensemble de la fonction éducative, elle intervenait en ce domaine et soumettait en quelque sorte l’éducation de la jeunesse à un contrôle officiel par l’institution des jeux ou concours, tant qu’athlétiques que « musicaux ».