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HGGSP

HGSSP : Enjeu de la connaissance 2

Axe 1 : Produire et diffuser des connaissances :


"Je suis l'une de ceux qui pensent que l'Humanité tirera plus de bien que du mal des nouvelles découvertes" (Marie Curie) = témoigne de la nécessité de pour les sociétés contemporaines de produire des co. Depuis l'époque moderne, accès à la co lentement ouvert aux catégories so les + faibles mais les femmes ont longtemps été exlues.


Accéder à la co : l'alphabétisat° des femmes du 16e à nos jours :

ANALPHABETISATION : incapacité à lire, écrire, comprendre un texte souvent à cause du manque d'éducat°/scolarisat°

ILLETRISME : difficulté à lire et comprendre un texte parfois malgré une éducat° et scolarisat°


Alphabetisat° des femmes à l'époque moderne (16-18e) : accès à la connaissance limité :


Alphabétisat° des filles/garçons ne dépend pas de l'Etat mais Clergé/famille. L'éducat° des filles est une éducat° pratique, en lien avec le métier des parents (commerçant = apprend à compter/écrire)


Infériorité des femmes dû à la Bible, Code Civil, Patriarcat...:

Apparit° de mouvements qui poussent à l'éducation des jeunes filles en lien avec l'humanisme : les femmes doivent avoir un enseignement rudimentaire : savoir lire, écrire et surtout apprendre les travaux domestiques = intérêt très rétrograde.

  • Pour Vivès : l'intruct° de la femme chrétienne : alphabétisat° permet d'être une bonne chrétienne
  • Fénélon : de l'éducat° des filles : être une bonne femme de maison
  • Condorcet : transmit° de l'instruct° (notamment à leur(s) enfant(s))


Lents progrès de l'alphabétisation : nombreuses écoles pour filles, augmentation au 17e/18e en France, enseignements rudimentaires, inégalités encore fortes, près de 3/4 des hommes peuvent signer un contrat de mariage pour moins de 1/2 femmes.


L'Etat, acteur principal de l'accès des femmes à la connaissance des filles au 19/20e :


Grandes lois sur la scolarité en France :

  • 1795 : 1er loi = école publique dans chaque villes (mais peu appliquée) et instruct° féminine reste bcp entre les mains de l'Eglise, créat° de lycées en 1802 UNIQUEMENT réservés aux garçons
  • 2ème moitié 19e : multiplicat° des lois pour l'alphabétisat° des filles :
  • 1850 : Loi Falloux : école obligatoire pour les filles dans les communes de plus de 800 habitants
  • 1882 : Loi Ferry : enseignement primaire gratuit, laic et obligatoire pour tous de 6 à 13 ans

=progrès qui va même jusqu'à l'idée de coéducat° des sexes, évoqué par Buisson, qui permettrait aux 2 sexes de se bonifier au contact de l'autre.


Limites : enseignement encore peu égalitaire : diplômes + les jeunes filles ne peuvent pas accéder au bac et au études sup avant 1924

  • enseignement spécifique : couture, écodomestique etc...
  • forte place religieuse : mixité se généralise après la 2GM
  • + in-té coloniale : (+10% population locales scolarisées)

HGGSP

HGSSP : Enjeu de la connaissance 2

Axe 1 : Produire et diffuser des connaissances :


"Je suis l'une de ceux qui pensent que l'Humanité tirera plus de bien que du mal des nouvelles découvertes" (Marie Curie) = témoigne de la nécessité de pour les sociétés contemporaines de produire des co. Depuis l'époque moderne, accès à la co lentement ouvert aux catégories so les + faibles mais les femmes ont longtemps été exlues.


Accéder à la co : l'alphabétisat° des femmes du 16e à nos jours :

ANALPHABETISATION : incapacité à lire, écrire, comprendre un texte souvent à cause du manque d'éducat°/scolarisat°

ILLETRISME : difficulté à lire et comprendre un texte parfois malgré une éducat° et scolarisat°


Alphabetisat° des femmes à l'époque moderne (16-18e) : accès à la connaissance limité :


Alphabétisat° des filles/garçons ne dépend pas de l'Etat mais Clergé/famille. L'éducat° des filles est une éducat° pratique, en lien avec le métier des parents (commerçant = apprend à compter/écrire)


Infériorité des femmes dû à la Bible, Code Civil, Patriarcat...:

Apparit° de mouvements qui poussent à l'éducation des jeunes filles en lien avec l'humanisme : les femmes doivent avoir un enseignement rudimentaire : savoir lire, écrire et surtout apprendre les travaux domestiques = intérêt très rétrograde.

  • Pour Vivès : l'intruct° de la femme chrétienne : alphabétisat° permet d'être une bonne chrétienne
  • Fénélon : de l'éducat° des filles : être une bonne femme de maison
  • Condorcet : transmit° de l'instruct° (notamment à leur(s) enfant(s))


Lents progrès de l'alphabétisation : nombreuses écoles pour filles, augmentation au 17e/18e en France, enseignements rudimentaires, inégalités encore fortes, près de 3/4 des hommes peuvent signer un contrat de mariage pour moins de 1/2 femmes.


L'Etat, acteur principal de l'accès des femmes à la connaissance des filles au 19/20e :


Grandes lois sur la scolarité en France :

  • 1795 : 1er loi = école publique dans chaque villes (mais peu appliquée) et instruct° féminine reste bcp entre les mains de l'Eglise, créat° de lycées en 1802 UNIQUEMENT réservés aux garçons
  • 2ème moitié 19e : multiplicat° des lois pour l'alphabétisat° des filles :
  • 1850 : Loi Falloux : école obligatoire pour les filles dans les communes de plus de 800 habitants
  • 1882 : Loi Ferry : enseignement primaire gratuit, laic et obligatoire pour tous de 6 à 13 ans

=progrès qui va même jusqu'à l'idée de coéducat° des sexes, évoqué par Buisson, qui permettrait aux 2 sexes de se bonifier au contact de l'autre.


Limites : enseignement encore peu égalitaire : diplômes + les jeunes filles ne peuvent pas accéder au bac et au études sup avant 1924

  • enseignement spécifique : couture, écodomestique etc...
  • forte place religieuse : mixité se généralise après la 2GM
  • + in-té coloniale : (+10% population locales scolarisées)
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