- LA COMPARAISON : Établit une relation entre un élément (le comparé) et un autre (le comparant) par l'intermédiaire d'un outil de comparaison (comme, tel, semblable...)
EXEMPLE : "Le poète est semblable au prince des nuées." (Baudelaire)
EXEMPLE : "Le poète est semblable au prince des nuées." (Baudelaire)
EXEMPLE : "Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage" (Baudelaire)
EXEMPLE : "Une cloche rageuse y aboie." (Apollinaire)
EXEMPLE : "Je veux peindre La France, une mère affligée, qui est, entre ses bras, de deux enfants chargée." (Agrippa D'Aubigné)
EXEMPLE : "Je bois un verre" (= je bois ce qui se trouve dans le verre)
EXEMPLE : "Je vois au loin un trois-mâts" (= je vois un bateau à trois-mâts)
EXEMPLE : "Le Roi soleil" (= Louis XIV)
EXEMPLE : "Paris est tout petit, c'est là sa vraie grandeur" (Prévert)
EXEMPLE : "Cette obscure clarté qui tombe des étoiles." (Corneille)
EXEMPLE : "Un roi (A) chantait en bas (B), en haut (B) mourait un Dieu (A)" (Hugo)
EXEMPLE : "Quel beau temps !" (alors qu'il pleut)
EXEMPLE : "Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !" (Corneille)
EXEMPLE : "Et jamais je ne pleure, et jamais je ne ris" (Baudelaire)
EXEMPLE : "Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer" (Voltaire)
EXEMPLE : "Âne, Cheval, et Mule, aux forêts habitait." (La Fontaine)
EXEMPLE : "Va, cours, vole, et nous venge" (Corneille)
EXEMPLE : Mourir d'ennui
EXEMPLE : "Il nous a quittés." (= il est mort)
EXEMPLE : "Va, je ne te hais point." (= je t'aime)(Corneille)
EXEMPLE : "Je ne voudrais pas dire, mais..."
EXEMPLE : "Que voudrais-tu de moi, doux Chant badin ?" (Apollinaire)
EXEMPLE : "Le poète est semblable au prince des nuées." (Baudelaire)
EXEMPLE : "Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage" (Baudelaire)
EXEMPLE : "Une cloche rageuse y aboie." (Apollinaire)
EXEMPLE : "Je veux peindre La France, une mère affligée, qui est, entre ses bras, de deux enfants chargée." (Agrippa D'Aubigné)
EXEMPLE : "Je bois un verre" (= je bois ce qui se trouve dans le verre)
EXEMPLE : "Je vois au loin un trois-mâts" (= je vois un bateau à trois-mâts)
EXEMPLE : "Le Roi soleil" (= Louis XIV)
EXEMPLE : "Paris est tout petit, c'est là sa vraie grandeur" (Prévert)
EXEMPLE : "Cette obscure clarté qui tombe des étoiles." (Corneille)
EXEMPLE : "Un roi (A) chantait en bas (B), en haut (B) mourait un Dieu (A)" (Hugo)
EXEMPLE : "Quel beau temps !" (alors qu'il pleut)
EXEMPLE : "Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !" (Corneille)
EXEMPLE : "Et jamais je ne pleure, et jamais je ne ris" (Baudelaire)
EXEMPLE : "Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer" (Voltaire)
EXEMPLE : "Âne, Cheval, et Mule, aux forêts habitait." (La Fontaine)
EXEMPLE : "Va, cours, vole, et nous venge" (Corneille)
EXEMPLE : Mourir d'ennui
EXEMPLE : "Il nous a quittés." (= il est mort)
EXEMPLE : "Va, je ne te hais point." (= je t'aime)(Corneille)
EXEMPLE : "Je ne voudrais pas dire, mais..."
EXEMPLE : "Que voudrais-tu de moi, doux Chant badin ?" (Apollinaire)