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Fiche de révision de BEP

L'intelligence : 


Définition selon plusieurs personnes : 

Binet : capacité d’adaptation 

Wechsler :raisonnement, ajustement à l’environnement (proche de Binet)

Gottfredson : capacité à gérer complexité cognitive 

Humphreys : faire face à des situations nouvelles

Sternberg : comportement adaptatif orienté vers un but

Neisser :  synthèse des définitions → pensée rationnelle et cognition


Variabilité de l’intelligence : 

→ Pour Binet ( 20ème siècle) → 2 objectifs : 

  • Evaluer les élèves ayant des besoins particuliers
  • Leur proposer des classes adaptées


Étude de la Variabilité de l’intelligence : 

Méthodes : 

1. On prend un grand nombre de tests

2. On les fait passer à un grand nombre de personnes

3. On regarde si les scores se regroupent en facteurs


→ Si tous les tests corrèlent → existence d’un facteur général (facteur g).

→ Facteur g = hypothèse d’un déterminant unique de l’intelligence.

→ Une corrélation globale entre de nombreux tests a plusieurs explications :

  • Un déterminant unique affecte tous les tests (le facteur g)
  • Un ensemble de déterminants affectent tous les tests de façon similaire


Intelligence = Non mesurable directement + Nécessairement interprétée / inférée

Performance à un test d’intelligence = Mesurable + Nécessairement multi-déterminée


Intelligence INNÉ : 

  • Compétences sensorielles
  • Substrat neuronal
  • Déterminisme génétique


Intelligence ACQUIS : 

  • Connaissances déclaratives ("je sais que...") : Ex : 2+2=4, la Terre tourne autour du Soleil.
  • Connaissances procédurales ("je sais comment...") : Ex : faire du vélo, dessiner un soleil.


Connaissances procedurales : 

Processus métacognitifs :

  • Reconnaître le problème.
  • Construire une représentation.
  • Formuler une stratégie.
  • Allouer ses ressources.
  • Monitoring (suivi de l’activité).
  • Régulation de l’activité.
  • Évaluation et auto-correction.


Les connaissances procédurales sont variables d’une personnes à l’autre.

Deux effets des connaissances déclaratives d’un test d’intelligence :

  • Liées à la passation du test lui-même
  • Liées à la manipulation de contenus abstraits en général


Connaissances déclaratives et intelligence

Deux effets majeurs des connaissances déclaratives au sein d’un test

d’intelligence :

  • Les connaissances déclaratives sont requises pour un grand nombre de tests
  • Elles influencent le traitement cognitif, même à des niveaux élémentaires

Ex : Chase & Simon (1973) → Maîtres d’échecs : mémorisation rapide de configurations réelles, mais pas de configurations aléatoires.


Attention et mémoire de travail et intelligence : 

Mémoire de travail :

  • Contrôle attention
  • Mémoire à court terme 


Capacité de mémoriser et manipuler une information mentalement :  

  • Capacité de concentration + Permet de se concentrer
  • Capacité de retenir une information sur une courte période + Permet de retenir une consigne         

Empiriquement, la mémoire de travail est le meilleur déterminant prédicteur de l’intelligence (Ackerman et al., 2005)

→ Corrélation moyenne = 0,36

→ Les capacités en mémoire de travail expliquent 13% (0,36²*100) de la variabilité observée au niveau des performances sur des tests d’intelligence


Contexte : 

→ La performance dépend aussi du contexte :

  • Personne qui fait passer le test (sympathie, explication…).
  • Lieu et conditions de l’évaluation.
  • État du participant (fatigue, stress, motivation…).

→ Un individu peut être performant ou non selon les circonstances.


Développement des performances intellectuelle : 

→ Stabilité relative des différences individuelles dans le temps.

→ Variabilité intra-individuelle : plusieurs trajectoires possibles.

C’est l’interaction entre l’individu et son environnement qui détermine son évolution

Pour un même individu, il y a plusieurs trajectoires possibles 


Participants avec forte aptitude : S’exposent à des situations plus complexes → progression.

Participants avec faible aptitude : Tendance à éviter les défis → progression plus lente.

Influence de : Estime de soi. + Capacité d’apprentissage.


Rôles des parents / enseignant, des pairs … : 

L’évolution avec l’âge n’est pas automatique et spontanée.  = Zone Proximale de Développement (Vygotski, 1997)

Principe de collaboration entre l’élève et son enseignant, mais aussi ses pairs plus avancés.


Mesure + intelligence : 

Performance Très Faible ( avant la courbe de normalité → 2,5 % ) = pathologique + nécessaire de mettre des aménagements en places / prise de charges adaptées 

Performance Faible ( avant la courbe de normalité → 6,7% ) = essayé de trouver des solutions pour ne pas être trop pénalisé au quotidien

Performance Élevées ( après la courbe de normalité → 6,7 )  = s’exprime comme des facilitées dans certains domaines 

Performances Très Élevées ( après la courbe de normalité → 2,5 % ) = capacité de l’enfant très efficientes 



Fiche de révision de BEP

L'intelligence : 


Définition selon plusieurs personnes : 

Binet : capacité d’adaptation 

Wechsler :raisonnement, ajustement à l’environnement (proche de Binet)

Gottfredson : capacité à gérer complexité cognitive 

Humphreys : faire face à des situations nouvelles

Sternberg : comportement adaptatif orienté vers un but

Neisser :  synthèse des définitions → pensée rationnelle et cognition


Variabilité de l’intelligence : 

→ Pour Binet ( 20ème siècle) → 2 objectifs : 

  • Evaluer les élèves ayant des besoins particuliers
  • Leur proposer des classes adaptées


Étude de la Variabilité de l’intelligence : 

Méthodes : 

1. On prend un grand nombre de tests

2. On les fait passer à un grand nombre de personnes

3. On regarde si les scores se regroupent en facteurs


→ Si tous les tests corrèlent → existence d’un facteur général (facteur g).

→ Facteur g = hypothèse d’un déterminant unique de l’intelligence.

→ Une corrélation globale entre de nombreux tests a plusieurs explications :

  • Un déterminant unique affecte tous les tests (le facteur g)
  • Un ensemble de déterminants affectent tous les tests de façon similaire


Intelligence = Non mesurable directement + Nécessairement interprétée / inférée

Performance à un test d’intelligence = Mesurable + Nécessairement multi-déterminée


Intelligence INNÉ : 

  • Compétences sensorielles
  • Substrat neuronal
  • Déterminisme génétique


Intelligence ACQUIS : 

  • Connaissances déclaratives ("je sais que...") : Ex : 2+2=4, la Terre tourne autour du Soleil.
  • Connaissances procédurales ("je sais comment...") : Ex : faire du vélo, dessiner un soleil.


Connaissances procedurales : 

Processus métacognitifs :

  • Reconnaître le problème.
  • Construire une représentation.
  • Formuler une stratégie.
  • Allouer ses ressources.
  • Monitoring (suivi de l’activité).
  • Régulation de l’activité.
  • Évaluation et auto-correction.


Les connaissances procédurales sont variables d’une personnes à l’autre.

Deux effets des connaissances déclaratives d’un test d’intelligence :

  • Liées à la passation du test lui-même
  • Liées à la manipulation de contenus abstraits en général


Connaissances déclaratives et intelligence

Deux effets majeurs des connaissances déclaratives au sein d’un test

d’intelligence :

  • Les connaissances déclaratives sont requises pour un grand nombre de tests
  • Elles influencent le traitement cognitif, même à des niveaux élémentaires

Ex : Chase & Simon (1973) → Maîtres d’échecs : mémorisation rapide de configurations réelles, mais pas de configurations aléatoires.


Attention et mémoire de travail et intelligence : 

Mémoire de travail :

  • Contrôle attention
  • Mémoire à court terme 


Capacité de mémoriser et manipuler une information mentalement :  

  • Capacité de concentration + Permet de se concentrer
  • Capacité de retenir une information sur une courte période + Permet de retenir une consigne         

Empiriquement, la mémoire de travail est le meilleur déterminant prédicteur de l’intelligence (Ackerman et al., 2005)

→ Corrélation moyenne = 0,36

→ Les capacités en mémoire de travail expliquent 13% (0,36²*100) de la variabilité observée au niveau des performances sur des tests d’intelligence


Contexte : 

→ La performance dépend aussi du contexte :

  • Personne qui fait passer le test (sympathie, explication…).
  • Lieu et conditions de l’évaluation.
  • État du participant (fatigue, stress, motivation…).

→ Un individu peut être performant ou non selon les circonstances.


Développement des performances intellectuelle : 

→ Stabilité relative des différences individuelles dans le temps.

→ Variabilité intra-individuelle : plusieurs trajectoires possibles.

C’est l’interaction entre l’individu et son environnement qui détermine son évolution

Pour un même individu, il y a plusieurs trajectoires possibles 


Participants avec forte aptitude : S’exposent à des situations plus complexes → progression.

Participants avec faible aptitude : Tendance à éviter les défis → progression plus lente.

Influence de : Estime de soi. + Capacité d’apprentissage.


Rôles des parents / enseignant, des pairs … : 

L’évolution avec l’âge n’est pas automatique et spontanée.  = Zone Proximale de Développement (Vygotski, 1997)

Principe de collaboration entre l’élève et son enseignant, mais aussi ses pairs plus avancés.


Mesure + intelligence : 

Performance Très Faible ( avant la courbe de normalité → 2,5 % ) = pathologique + nécessaire de mettre des aménagements en places / prise de charges adaptées 

Performance Faible ( avant la courbe de normalité → 6,7% ) = essayé de trouver des solutions pour ne pas être trop pénalisé au quotidien

Performance Élevées ( après la courbe de normalité → 6,7 )  = s’exprime comme des facilitées dans certains domaines 

Performances Très Élevées ( après la courbe de normalité → 2,5 % ) = capacité de l’enfant très efficientes 


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