La mort d'un organisme vivant est généralement perçue comme un processus irréversible au cours duquel surviennent plusieurs événements biologiques. Le décès entraîne un arrêt de la circulation sanguine, privant ainsi les cellules d'oxygène et de nutriments essentiels. Cela conduit inévitablement à une série de réactions cellulaires qui culminent en une mort cellulaire massive. Le déclin progressif et inévitable des fonctions vitales inclut également la cessation de toute activité cérébrale, que ce soit par mort clinique immédiate ou par une mort cérébrale plus prolongée.

La mort revêt des significations variées selon les sociocultures. Les rites funéraires, les croyances sur l'après-vie et les traditions de deuil diffèrent largement d'une culture à l'autre. Par exemple, certaines cultures célèbrent la mort comme une transition spirituelle, tandis que d'autres la considèrent comme la fin irrévocable de l'existence. En outre, la mort peut avoir des implications légales et économiques, notamment en ce qui concerne l'héritage et les procédures judiciaires post-mortem.

Les décisions entourant la mort posent souvent des questions éthiques profondes. Cela inclut des discussions sur l'euthanasie, les directives anticipées et les critères de soin palliatif. Les préoccupations éthiques concernent également la dignité des mourants et le respect de leurs souhaits exprimés ou présumés. En médecine moderne, il est également crucial de considérer comment prolonger la vie tout en assurant une qualité de vie acceptable pour les patients en phase terminale.