Les effets de la révolution industrielle :
- Multiplié la division du travail
- Poussé à la concentration des entreprises
- Mis en oeuvre de méthodes indirectes de production qui contribuent à augmenter les fluctuations économiques
La suma-division pauvre / riche n'est pas une nouveauté cependant le fait que la classe populaires est peur de perdre son emploi l'est.
Pour Marx, l'Angleterre était l'exemple parfait d'un pays constitué de deux classes antagonistes : Les riches et les pauvres.
Dans la deuxième moitié du XIXe siècle la précarité ce fait de plus en plus ressentir :
- Les journées de travail ne sont pas équilibrées entre les domaines (dans le textile : 12 à 13h de travail Autre domaines : 8 à 10h)
- Maladie professionnelle et accident du travail très courant
- Habitat des ouvriers insalubres = épidémie de choléra
Pour lui le capitalisme n'est pas acceptable.
L'entrepreneur ne se demande pas si son produit est utile à la société mais à quel prix il peut le vendre en faisant un bénéfice.
Toutefois, Sismondi ne cherche pas à changer de modèle de société car il défend les libertés politiques et sent qu’il serait dangereux de confier à l’Etat le soin d’organiser la production et la distribution des biens.
Définition
Thomas Hogdskin (1783-1869)
dénonce l'inutilité des propriétaires fonciers, des capitalistes, quitter les travailleurs au salaire le plus faible et confisque, tout excédent de la valeur créée par le travail.
Ils estiment que les travailleurs devrait recevoir l'intégralité de la valeur qu'ils produisent.
Il rejette l'intervention de l'État dans le processus et pense que c'est au syndicat qu'il revient de supprimer l'exploitation du travail par le capital.
John Gray (1799-1850)
à la même perception que l'autre abruti d'avant mais pense qu'en plus les banques devraient donner des crédits si les le marché fonctionne bien.
William Thompson (1775-1833)
Dans son livre "Enquête sur les principes de la distribution de la richesse la plus propre à engendrer le bonheur humain" il montre les rentes foncières et les profits comme une fraction de la valeur volée aux travailleurs.
Il demande le transfert des revenus « excédentaires » des riches aux gens les plus pauvres.
Francis Bray (1809-1897)
Publie un ouvrage dans lequel il se montre partisan du communisme.
Il pense toutefois que ce régime ne pourra pas être établi tout de suite et qu’il faudra passer par un « terme social préparatoire » dans lequel on fera coexister la propriété individuelle des produits avec la propriété commune des forces productives.