CHAPITRE 1 - Des distinctions entre les personnes, les choses, les biens et les droits
Définition
Section 1: Distinguer les personnes des choses
A - Les animaux, les végétaux et les champignons
À l’occasion d’une loi du 16 fev 2015 on a introduit un art dans le dc art 515-14 du cc « les animaux sont des êtres vivant doués de sensibilité sous réserve des lois qui les protèges. Les animaux sont soumit au régime de biens ».
=> On a des auteurs qui vont dire que les animaux sont des choses non ordinaire / particulière notamment Remy Lipichaper
En droit civil, les animaux ont longtemps été considérés comme des choses. Cependant, leur statut a évolué avec des lois les déclarant "êtres vivants doués de sensibilité", bien qu'ils soient toujours soumis au régime des biens. Des discussions existent concernant la possibilité de reconnaître une forme de personnalité juridique aux animaux, surtout lorsqu'ils bénéficient de protections légales pour leurs propres droits.
L’art 515-14 du cc, s’interroge sur l’intelligence des plantes. Peut-on parler d’intelligence végétale ? Ils seraient aussi doué d’une sensibilité
Concernant les végétaux et champignons, certains revendiquent une reconnaissance similaire à celle des animaux, en raison de leur sensibilité. Christopher Stone posait déjà dans les années 1970 la question des droits des arbres. Ainsi, certains systèmes juridiques, comme ceux de l'Équateur et de la Bolivie, reconnaissent la nature et ses éléments comme une personne juridique.
Depuis la loi biodiversité du 8 aout 2016, on a reconnut la possibilité de réparer un préjudice écologique dit pur ( art 1246 du cc ). A priori, si on porte un préjudice environnemental on doit le réparer. Les travaux parlementaires qui ont conduit à cette reconnaissance on s’aperçoit qu’on est partit de l’art 1382
B. La nature et ses éléments
C. Les humains et leurs attributs ou éléments
Certaines catégories, comme les cadavres ou les elements corporels humains, défient leur classification en tant que simple chose en droit.
=> l’art 16-1-1 du cc évoque que « le respect dû au corps humain ne cesse pas avec la mort. »
Bien que le corps humain soit généralement soumis à une protection stricte, cela ne suffit pas pour le considérer exclusivement comme une personne dans le droit civil. Les débats sur les embryons et fœtus montrent aussi cette difficulté à les classer dans l'une ou l'autre catégorie.