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LICENCE
3ème année

CM 1 : Développement des connaissances Katia Rovira

Psychologie

Definition

Développement
Sous discipline de la psychologie, interface de neuropsy, psycho cognitive, psycho sociale. Il faut avoir décidée sur tous cela pour prendre en considération le développement de l'enfant = articulation entre le biologique et l'environnement. Dire que tout est inné n'a pas de sens c'est une intrication entre les 2.

On va parler des processus attentionnels, on parle de la focalisation de l'attention sur quelque chose.

--> Commencer à déjà faire attention à son discours en fonction de la personne en face de nous = adaptation du discours .


Piaget : Développement des connaissances est constructiviste. Piaget = approche constructiviste dans le sens intellectuel.

Cela signifie que l'enfant est acteur de son développement, mais qu'il est tout seul. L'idée que les connaissances vont se construire au cours du développement, ce n'est pas inné. En étant actif dans l'environnement, en regardant les choses, en étant en interaction avec des objets physiques et sociaux que l'enfant va développer des connaissances.

Piaget met l'accent sur le rôle individuel.


Wallon = constructiviste, très sur le social. L'enfant est acteur, actif au niveau moteur, actif psychiquement. L'enfant réfléchit.

Socio-constructivisme : Vygotsky met l'importance sur le social, les connaissances passent par l'interaction avec autrui.


La catégorisation, cela va vraiment être l'idée qui va nous guider quand on va parler de l'organisation des connaissances.


Enfants en situation d'handicap : Pas tant de construction des connaissances, ils ont la mémoire, mais le problème va vraiment être au niveau de l'organisation ils ont beaucoup de mal à organiser ces connaissances --> En situation, ils sont en échecs car ils ne savent pas quelle information mobiliser, quelle connaissance utile mobiliser.


Catégorisation : Classification, faire des catégories, des classes.


La catégorisation permet l'apprentissage, le fait d'utiliser un même mot pour un objet permet à l'enfant de mettre l'objet dans la bonne catégorisation, tout en lui permettant de comprendre les différences avec les objets de sa catégorie. Il doit repérer des points communs au-delà des différences.

Du côté de l'autisme, du handicap, ils sont très attentifs aux détails ce qui peut entraîner des difficultés de catégorisation et de mettre un même mot sur deux objets venant de la même catégorie compte tenu de leurs différences intrinsèques. Ce qui peut en conséquence bloquer le langage.

Conceptualisé c'est difficile pour les enfants avec un handicap, car ils peuvent ne pas voir la présence d'une différence, cet aspect-là pose une difficulté.

Une catégorie particulière renvoie à un concept particulier (la définition de l'objet) désigné lui-même par un mot particulier.


La catégorisation permet de donner une idée et l'image de classe homogènes (éléments d'une catégorie sont équivalents, ont tous les mêmes critères) avec des limites claires. Ces dernières peuvent poser des difficultés de catégorisation (autruche oiseau mais ne vole pas). Les classes sont organisées hiérarchiquement avec une relation d'inclusion de classes. On peut mettre des classes dans des classes. On peut comprendre un objet à différents niveaux d'abstraction (canari = on a la même image = abstraction basse) alors que si on dit oiseau c'est plus abstrait. On hiérarchie par niveau d'abstraction.



A retenir :

La catégorisation est une des fonctions les plus basiques des êtres vivants cela permet de traiter des objets et des évènements différents de façon équivalente. Cela permet l'apprentissage, le langage, la généralisation, l'inférence. Permet également de nous adapter à notre environnement, à donner du sens pour savoir quoi faire et adapter notre comportement.
L'inférence = l'enfant repère lui-même que l'objet peut être rapprochée d'une catégorie déjà connue, donc il peut mettre l'objet dans la catégorie. C'est parce qu'il a ses caractéristiques qu'il peut faire partie de cette catégorie. La généralisation permet grâce aux points communs des objets de les mettre dans la même catégorie, de généraliser leurs points communs, généraliser un savoir.
Catégoriser, permet de créer des concepts. Mettre des choses ensembles mais être capable de faire les différences, mais aussi de voir les points communs. Il y a une conceptualisé, être capable d'expliciter plus ou moins, de comprendre ce qui relie les éléments entre eux. On apprend cela au cours de notre développement, quand nous sommes en interaction avec autrui. Catégorisation chez l'enfant : Ce qui se passe en mémoire mais aussi catégoriser ce qu'il se passe dans l'environnement. On travaille cela surtout en maternelle. Au fur et à mesure de mes expériences, au début je vais apprendre à construire un concept de chien pour ensuite les différencier (différence de poils).
LICENCE
3ème année

CM 1 : Développement des connaissances Katia Rovira

Psychologie

Definition

Développement
Sous discipline de la psychologie, interface de neuropsy, psycho cognitive, psycho sociale. Il faut avoir décidée sur tous cela pour prendre en considération le développement de l'enfant = articulation entre le biologique et l'environnement. Dire que tout est inné n'a pas de sens c'est une intrication entre les 2.

On va parler des processus attentionnels, on parle de la focalisation de l'attention sur quelque chose.

--> Commencer à déjà faire attention à son discours en fonction de la personne en face de nous = adaptation du discours .


Piaget : Développement des connaissances est constructiviste. Piaget = approche constructiviste dans le sens intellectuel.

Cela signifie que l'enfant est acteur de son développement, mais qu'il est tout seul. L'idée que les connaissances vont se construire au cours du développement, ce n'est pas inné. En étant actif dans l'environnement, en regardant les choses, en étant en interaction avec des objets physiques et sociaux que l'enfant va développer des connaissances.

Piaget met l'accent sur le rôle individuel.


Wallon = constructiviste, très sur le social. L'enfant est acteur, actif au niveau moteur, actif psychiquement. L'enfant réfléchit.

Socio-constructivisme : Vygotsky met l'importance sur le social, les connaissances passent par l'interaction avec autrui.


La catégorisation, cela va vraiment être l'idée qui va nous guider quand on va parler de l'organisation des connaissances.


Enfants en situation d'handicap : Pas tant de construction des connaissances, ils ont la mémoire, mais le problème va vraiment être au niveau de l'organisation ils ont beaucoup de mal à organiser ces connaissances --> En situation, ils sont en échecs car ils ne savent pas quelle information mobiliser, quelle connaissance utile mobiliser.


Catégorisation : Classification, faire des catégories, des classes.


La catégorisation permet l'apprentissage, le fait d'utiliser un même mot pour un objet permet à l'enfant de mettre l'objet dans la bonne catégorisation, tout en lui permettant de comprendre les différences avec les objets de sa catégorie. Il doit repérer des points communs au-delà des différences.

Du côté de l'autisme, du handicap, ils sont très attentifs aux détails ce qui peut entraîner des difficultés de catégorisation et de mettre un même mot sur deux objets venant de la même catégorie compte tenu de leurs différences intrinsèques. Ce qui peut en conséquence bloquer le langage.

Conceptualisé c'est difficile pour les enfants avec un handicap, car ils peuvent ne pas voir la présence d'une différence, cet aspect-là pose une difficulté.

Une catégorie particulière renvoie à un concept particulier (la définition de l'objet) désigné lui-même par un mot particulier.


La catégorisation permet de donner une idée et l'image de classe homogènes (éléments d'une catégorie sont équivalents, ont tous les mêmes critères) avec des limites claires. Ces dernières peuvent poser des difficultés de catégorisation (autruche oiseau mais ne vole pas). Les classes sont organisées hiérarchiquement avec une relation d'inclusion de classes. On peut mettre des classes dans des classes. On peut comprendre un objet à différents niveaux d'abstraction (canari = on a la même image = abstraction basse) alors que si on dit oiseau c'est plus abstrait. On hiérarchie par niveau d'abstraction.



A retenir :

La catégorisation est une des fonctions les plus basiques des êtres vivants cela permet de traiter des objets et des évènements différents de façon équivalente. Cela permet l'apprentissage, le langage, la généralisation, l'inférence. Permet également de nous adapter à notre environnement, à donner du sens pour savoir quoi faire et adapter notre comportement.
L'inférence = l'enfant repère lui-même que l'objet peut être rapprochée d'une catégorie déjà connue, donc il peut mettre l'objet dans la catégorie. C'est parce qu'il a ses caractéristiques qu'il peut faire partie de cette catégorie. La généralisation permet grâce aux points communs des objets de les mettre dans la même catégorie, de généraliser leurs points communs, généraliser un savoir.
Catégoriser, permet de créer des concepts. Mettre des choses ensembles mais être capable de faire les différences, mais aussi de voir les points communs. Il y a une conceptualisé, être capable d'expliciter plus ou moins, de comprendre ce qui relie les éléments entre eux. On apprend cela au cours de notre développement, quand nous sommes en interaction avec autrui. Catégorisation chez l'enfant : Ce qui se passe en mémoire mais aussi catégoriser ce qu'il se passe dans l'environnement. On travaille cela surtout en maternelle. Au fur et à mesure de mes expériences, au début je vais apprendre à construire un concept de chien pour ensuite les différencier (différence de poils).
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