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Comment lutter contre le chômage ? (ses)

Définition

Chômage
Situation où une personne capable de travailler et souhaitant travailler ne trouve pas d'emploi (ou aux actifs sans emploi, mesuré par le taux de chômage : (Nombre de chômeurs / Population active) x 100.)
Emploi
correspondant aux actifs occupés, et mesurés par le taux d’emploi :
chômage conjoncturel
chômage qui varie en fonction de la conjoncture, c’est-à-dire la situation
demande global
correspond aux différentes composantes de la demande adressée à la production : - La consommation (demande de biens de consommation) - L’investissement (FBCF : Formation Brute de Capital Fixe) - Les exportations (la demande extérieure)
chômage structurel
qui provient de l’organisation du marché du travail institutions, structure de l’offre et de la demande et qui ne varie pas selon les fluctuations de l’activité économique.
offre de travail
quantité de travail que sont près a offrir les travailleurs en fonction du salaire
demande de travail
quantité de travail que souhaite acheter un employeur en fonction du salaire.
Salaire réelle
salaire horaire corrigé (moins) de l’inflation
Cout du travail
ensemble des couts que représente l’emploi d’un salarie pour un employeur (salaire net, cotisation sociale et patronal, salariale)
institution
Institution : organisation qui forme des normes juridiques ou sociale
Salaire minimum
niveau légale des salaires avec interdiction de payé en dessous (correspond à un niveau légal de salaire en dessous duquel il est interdit de signer un contrat de travail. Il peut être fixé nationalement ou par branche d’activité.
Les appariements sur le marché du travail
Les appariements sur le marché du travail sont le niveau d’adéquation entre l’offre et la demande de travail. Si ces appariements ne sont pas parfaits, alors le chômage peut apparaitre.
Asymétrie d’information
fait que l’un des agents disposent de plus d’informations que l’autre.
Salaire d'efficience
théorie qui considère que le salaire est le facteur de la productivité du travail : plus le salaire est élevé, plus le salarie sera productif.
Politique conjoncturelles (idée de situation)
pour résoudre le problème on peut intervenir grâce aux budgets et de la monnaie pour faire ce qu’il faut pour réguler l’activité économique. Si les chocs sont négatifs il faut aider la population en baissant les impôts (politique de relance) et pour les chocs positifs elle va mener des politiques de rigueur.
La flexibilité du marché du travail
consiste a adapter le facteur travail au fluctuations de l'activité économique de l'entreprise.

I. Causes du chômage

Depuis les années 1970, le chômage persistant (supérieur à 7 %) interroge sur ses causes et sur les moyens de le réduire. Il touche principalement les jeunes et les moins qualifiés, dans un contexte où l'économie crée et détruit continuellement des emplois.

Facteurs structurels

Il découle des rigidités du marché du travail (salaire minimum, cotisations sociales, inadéquation qualifications/emplois). Ces rigidités empêchent une bonne adéquation entre l'offre et la demande, aggravant les déséquilibres.


Facteurs conjoncturels

Ce type de chômage est lié à une insuffisance temporaire de demande globale (consommation, investissement, exportations). Selon Keynes, il s'agit d'un problème de demande anticipée insuffisante, nécessitant des politiques de relance pour soutenir la production et l'emploi.

Chômage

C'est un chômage temporaire lié aux délais de recherche d'emploi ou à des asymétries d'informations. Les institutions comme France Travail peuvent réduire ce phénomène en centralisant les offres et en orientant les demandeurs d'emploi.

II. Politiques de lutte contre le chômage

Politiques macroéconomique

Les politiques budgétaires (baisse des impôts, hausse des dépenses publiques) et monétaires (baisse des taux d'intérêt) permettent de soutenir la demande globale. Bien qu'efficaces, elles peuvent entraîner inflation ou dette publique.

Réduction des rigidités du marché du travail

La flexibilisation des contrats (CDD, rupture conventionnelle, intérim) et la baisse des charges sociales réduisent le coût du travail et facilitent les embauches. Ces politiques améliorent l'ajustement du marché mais augmentent la précarité.

Protection de l'emploi

Le salaire minimum, les cotisations sociales et les contrats stables (CDI) garantissent une sécurité économique et un pouvoir d'achat minimum, soutenant ainsi la consommation. Cependant, ils peuvent freiner les embauches en augmentant le coût du travail.

Rôle des instituions

Les institutions favorisent une meilleure adéquation entre offres et demandes d'emploi par la formation, l’aide à la mobilité géographique et l’amélioration des appariements sur le marché du travail. Leur rôle est crucial pour réduire le chômage structurel et frictionnel.


A retenir :

Le chômage peut être conjoncturel (insuffisance de demande globale) ou structurel (rigidités et inadéquations sur le marché du travail). Les politiques de relance soutiennent la demande, tandis que la flexibilisation vise à réduire les rigidités, malgré un risque de précarité. Les institutions améliorent l’appariement emploi-travail par la formation et la mobilité. Lutter contre le chômage nécessite un équilibre entre protection et flexibilité.


Comment lutter contre le chômage ? (ses)

Définition

Chômage
Situation où une personne capable de travailler et souhaitant travailler ne trouve pas d'emploi (ou aux actifs sans emploi, mesuré par le taux de chômage : (Nombre de chômeurs / Population active) x 100.)
Emploi
correspondant aux actifs occupés, et mesurés par le taux d’emploi :
chômage conjoncturel
chômage qui varie en fonction de la conjoncture, c’est-à-dire la situation
demande global
correspond aux différentes composantes de la demande adressée à la production : - La consommation (demande de biens de consommation) - L’investissement (FBCF : Formation Brute de Capital Fixe) - Les exportations (la demande extérieure)
chômage structurel
qui provient de l’organisation du marché du travail institutions, structure de l’offre et de la demande et qui ne varie pas selon les fluctuations de l’activité économique.
offre de travail
quantité de travail que sont près a offrir les travailleurs en fonction du salaire
demande de travail
quantité de travail que souhaite acheter un employeur en fonction du salaire.
Salaire réelle
salaire horaire corrigé (moins) de l’inflation
Cout du travail
ensemble des couts que représente l’emploi d’un salarie pour un employeur (salaire net, cotisation sociale et patronal, salariale)
institution
Institution : organisation qui forme des normes juridiques ou sociale
Salaire minimum
niveau légale des salaires avec interdiction de payé en dessous (correspond à un niveau légal de salaire en dessous duquel il est interdit de signer un contrat de travail. Il peut être fixé nationalement ou par branche d’activité.
Les appariements sur le marché du travail
Les appariements sur le marché du travail sont le niveau d’adéquation entre l’offre et la demande de travail. Si ces appariements ne sont pas parfaits, alors le chômage peut apparaitre.
Asymétrie d’information
fait que l’un des agents disposent de plus d’informations que l’autre.
Salaire d'efficience
théorie qui considère que le salaire est le facteur de la productivité du travail : plus le salaire est élevé, plus le salarie sera productif.
Politique conjoncturelles (idée de situation)
pour résoudre le problème on peut intervenir grâce aux budgets et de la monnaie pour faire ce qu’il faut pour réguler l’activité économique. Si les chocs sont négatifs il faut aider la population en baissant les impôts (politique de relance) et pour les chocs positifs elle va mener des politiques de rigueur.
La flexibilité du marché du travail
consiste a adapter le facteur travail au fluctuations de l'activité économique de l'entreprise.

I. Causes du chômage

Depuis les années 1970, le chômage persistant (supérieur à 7 %) interroge sur ses causes et sur les moyens de le réduire. Il touche principalement les jeunes et les moins qualifiés, dans un contexte où l'économie crée et détruit continuellement des emplois.

Facteurs structurels

Il découle des rigidités du marché du travail (salaire minimum, cotisations sociales, inadéquation qualifications/emplois). Ces rigidités empêchent une bonne adéquation entre l'offre et la demande, aggravant les déséquilibres.


Facteurs conjoncturels

Ce type de chômage est lié à une insuffisance temporaire de demande globale (consommation, investissement, exportations). Selon Keynes, il s'agit d'un problème de demande anticipée insuffisante, nécessitant des politiques de relance pour soutenir la production et l'emploi.

Chômage

C'est un chômage temporaire lié aux délais de recherche d'emploi ou à des asymétries d'informations. Les institutions comme France Travail peuvent réduire ce phénomène en centralisant les offres et en orientant les demandeurs d'emploi.

II. Politiques de lutte contre le chômage

Politiques macroéconomique

Les politiques budgétaires (baisse des impôts, hausse des dépenses publiques) et monétaires (baisse des taux d'intérêt) permettent de soutenir la demande globale. Bien qu'efficaces, elles peuvent entraîner inflation ou dette publique.

Réduction des rigidités du marché du travail

La flexibilisation des contrats (CDD, rupture conventionnelle, intérim) et la baisse des charges sociales réduisent le coût du travail et facilitent les embauches. Ces politiques améliorent l'ajustement du marché mais augmentent la précarité.

Protection de l'emploi

Le salaire minimum, les cotisations sociales et les contrats stables (CDI) garantissent une sécurité économique et un pouvoir d'achat minimum, soutenant ainsi la consommation. Cependant, ils peuvent freiner les embauches en augmentant le coût du travail.

Rôle des instituions

Les institutions favorisent une meilleure adéquation entre offres et demandes d'emploi par la formation, l’aide à la mobilité géographique et l’amélioration des appariements sur le marché du travail. Leur rôle est crucial pour réduire le chômage structurel et frictionnel.


A retenir :

Le chômage peut être conjoncturel (insuffisance de demande globale) ou structurel (rigidités et inadéquations sur le marché du travail). Les politiques de relance soutiennent la demande, tandis que la flexibilisation vise à réduire les rigidités, malgré un risque de précarité. Les institutions améliorent l’appariement emploi-travail par la formation et la mobilité. Lutter contre le chômage nécessite un équilibre entre protection et flexibilité.

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