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Post-Bac
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Chapitre 8 pour mon petit coeur de sucre

Histoire

CHAPITRE 8 : Les arts et les sciences au service du pouvoir royale

I. Une politique scientifique volontariste

1. Les progrès scientifiques du temps

-De nouveaux progrès dans l’astronomie grâce aux outils (lunette astronomique de Gallilée) ou encore des objets obervés (la planète Mars Tycho Brané). Des méthodes d’observations et d’approches (de Kepler démontre que les planètes tournent autour du soleil selon une trajectoire éliptique). Les nouvelles expériences démontrent le modèle héliocentrique (Copernic). Des nouveaux résultats scientifiques (mesure du rayon terrestre par Picard puis de la vitesse de la lumière).

2. Les moyens d’une démarche utilitarisme.

-Il y a une dimension scientifique qui intéresse le roi sans rapport politique (navigation,astronomie et politique volontarisme). Il subventionne en 1695, afin d’aider l’information scientifique.

-En 1635, l’académie française est fondée par Richilieu.

-En 1666, création de l’académie nationale des sciences.

-L’observatoire est créé en 1671.

- Création des pensions royales enfin d’inviter des élites étrangères ? Jean-Dominique Cassini qui reçoit une pension de 5000 livres. Cassini engendre une descendance de savants qui dirigent l’observatoire de Paris 

-Pour contribuer, à la reconnaissance du monde. Colbert paie une foule de marchands, d’ingénieurs de commis sur place pour lui envoyer des rapports, des mémoires sur la situation à l’étranger (la religion, les mœurs des gens, leur richesse et les trafiques). Colbert collecte des informations pour les remettre à la France. Colbert fonde des collèges et des académies de Marine puis des écoles de pilotage

- Colbert créé en 1669, le corps des enfants de langues (couvents religieux dans les comptoirs du levant pour apprendre aux enfants locaux la connaissance du français et en faire des interprètes pour faciliter le commerce).

3. Les résultats de la politique scientifique royale

-La cartographie connaît des progrès spectaculaire, Cassini laisse des œuvres considérables en matière de cartes (carte générale, côtes, carte de la lune en 1676 et premier calcul des longitudes).

Réalisation des atlas marins, des plans reliefs des forteresses. On peut évoquer des traductions importants qu’on peut signaler en 1680 (des contes arabes : Mille et une nuit par Antoine Galland

II. Les usages politiques de la production artistique

1) « Le département ministériel de la gloire »

La petite académie = académie des inscriptions? Plus de 318 médailles ont été frappés au cours du règne de Louis XIV qui exaltent la figure royale au travers . Des estampes sont également fabriquées afin de populariser l’image du roi car ce sont des produits moins coûteux.

- L’architecture : mise en scène du pouvoir royale

2. Royal mécénat

-Ce concept décrit une relation entre son protecteur et l’artiste. L’artiste doit servir son protecteur en faisant des louanges et en lui faisant de la pub. A partir de 1664, Colbert devient le mettre d’oeuvre de son mécénat royale. Des pensionnats sont mis en place en 1664 pour 34 écrivains. En contre partie les écrivains sont mis au service du roi et de sa gloire.? Il y a quelques hommes de lettre (Corneille, Racine, Molière, Boileau) mécontents et qui critiquent la pratique du mécénat royale (liberté artistique rognée). Il y a des historiens sont également rétribués, une douzaine de savants. Le roi a dépensé 80 000 livres au mécénat en 1664 et 170 000 livres en 1669. Lorsque le royaume est engagé dans une guerre éprouvante, l’argent sert seulement aux combats. De ce fait, environ 1 million de livres sont dépensés pour le mécénat. Le mécénat cesse en 1690.

3. L’encadrement des activités artistiques.

-L’académie des lettres a été créée en 1631 avec Richelieu. Mais d’autres académies ont vu le jour sous Louis XIV comme l’académie de danse 1661, musique 1669, architecture 1671

-Une académie de France à Rome est créé en 1666 (discipline scientifique).Colbert exige/encourage la création des académies en province qui contribue à la glorification du roi à travers le royaume (1674 Soissons première académie). Louis XIV a fait réorganiser la bibliothèque royale (le coeur/ l’institution de la censure)

-Certains artistes disposent d’un statut de préviligié (C/harles Lebrun : premier peintre du roi et chancelier à vie de l’académie de peinture et dirige tout un secteur artistique sous Louis XIV). Au début du règne personnel de Louis XIV, l’image royale emprunte le mythe d’Apollon. Louis XIV ne veut plus apparaître sous le trait d’autres personnages, il veut représenter en tant que lui-même

-La pension qu’ils ont reçu, est soumise au bon vouloir du roi (Corneille perd sa gratification lorsqu’il annonce sa retraite). La plupart des artistes acceptent leur mission

-Même si Racine louange le roi et la méditation des rois. On retrouve chez Molière des allusions flatteuses (Tartuffe « Prince ennemi de la fraude »). De la même façon pour Jean de la Fontaine qui se moque des mœurs de la cour et de l’aristocratie. Les artistes qui ont refusé la pension et la gratification : La Rochefoucault « les Maximes », Madame de Lafayette « Princesse de Clèves ».

-Même si la pension a vu une fin, les artistes glorifiaient et restaient au service du roi.? A première vu, l’absolutisme artistique et scientifique est réussie, mais fait naître ses propres limites (légitimation politique et sociale + reconnaissance de la part du roi des activités artistiques).? Les artistes vont commencer à avoir leur propre liberté de pensée et a voir une forme d’indépendance (le roi arrête de les payer). La relation entre le roi et les artistes se complique, au XVIII car il y a l’opinion publique qui se met en place. Le publique intervient et interfère avec le roi. 

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Chapitre 8 pour mon petit coeur de sucre

Histoire

CHAPITRE 8 : Les arts et les sciences au service du pouvoir royale

I. Une politique scientifique volontariste

1. Les progrès scientifiques du temps

-De nouveaux progrès dans l’astronomie grâce aux outils (lunette astronomique de Gallilée) ou encore des objets obervés (la planète Mars Tycho Brané). Des méthodes d’observations et d’approches (de Kepler démontre que les planètes tournent autour du soleil selon une trajectoire éliptique). Les nouvelles expériences démontrent le modèle héliocentrique (Copernic). Des nouveaux résultats scientifiques (mesure du rayon terrestre par Picard puis de la vitesse de la lumière).

2. Les moyens d’une démarche utilitarisme.

-Il y a une dimension scientifique qui intéresse le roi sans rapport politique (navigation,astronomie et politique volontarisme). Il subventionne en 1695, afin d’aider l’information scientifique.

-En 1635, l’académie française est fondée par Richilieu.

-En 1666, création de l’académie nationale des sciences.

-L’observatoire est créé en 1671.

- Création des pensions royales enfin d’inviter des élites étrangères ? Jean-Dominique Cassini qui reçoit une pension de 5000 livres. Cassini engendre une descendance de savants qui dirigent l’observatoire de Paris 

-Pour contribuer, à la reconnaissance du monde. Colbert paie une foule de marchands, d’ingénieurs de commis sur place pour lui envoyer des rapports, des mémoires sur la situation à l’étranger (la religion, les mœurs des gens, leur richesse et les trafiques). Colbert collecte des informations pour les remettre à la France. Colbert fonde des collèges et des académies de Marine puis des écoles de pilotage

- Colbert créé en 1669, le corps des enfants de langues (couvents religieux dans les comptoirs du levant pour apprendre aux enfants locaux la connaissance du français et en faire des interprètes pour faciliter le commerce).

3. Les résultats de la politique scientifique royale

-La cartographie connaît des progrès spectaculaire, Cassini laisse des œuvres considérables en matière de cartes (carte générale, côtes, carte de la lune en 1676 et premier calcul des longitudes).

Réalisation des atlas marins, des plans reliefs des forteresses. On peut évoquer des traductions importants qu’on peut signaler en 1680 (des contes arabes : Mille et une nuit par Antoine Galland

II. Les usages politiques de la production artistique

1) « Le département ministériel de la gloire »

La petite académie = académie des inscriptions? Plus de 318 médailles ont été frappés au cours du règne de Louis XIV qui exaltent la figure royale au travers . Des estampes sont également fabriquées afin de populariser l’image du roi car ce sont des produits moins coûteux.

- L’architecture : mise en scène du pouvoir royale

2. Royal mécénat

-Ce concept décrit une relation entre son protecteur et l’artiste. L’artiste doit servir son protecteur en faisant des louanges et en lui faisant de la pub. A partir de 1664, Colbert devient le mettre d’oeuvre de son mécénat royale. Des pensionnats sont mis en place en 1664 pour 34 écrivains. En contre partie les écrivains sont mis au service du roi et de sa gloire.? Il y a quelques hommes de lettre (Corneille, Racine, Molière, Boileau) mécontents et qui critiquent la pratique du mécénat royale (liberté artistique rognée). Il y a des historiens sont également rétribués, une douzaine de savants. Le roi a dépensé 80 000 livres au mécénat en 1664 et 170 000 livres en 1669. Lorsque le royaume est engagé dans une guerre éprouvante, l’argent sert seulement aux combats. De ce fait, environ 1 million de livres sont dépensés pour le mécénat. Le mécénat cesse en 1690.

3. L’encadrement des activités artistiques.

-L’académie des lettres a été créée en 1631 avec Richelieu. Mais d’autres académies ont vu le jour sous Louis XIV comme l’académie de danse 1661, musique 1669, architecture 1671

-Une académie de France à Rome est créé en 1666 (discipline scientifique).Colbert exige/encourage la création des académies en province qui contribue à la glorification du roi à travers le royaume (1674 Soissons première académie). Louis XIV a fait réorganiser la bibliothèque royale (le coeur/ l’institution de la censure)

-Certains artistes disposent d’un statut de préviligié (C/harles Lebrun : premier peintre du roi et chancelier à vie de l’académie de peinture et dirige tout un secteur artistique sous Louis XIV). Au début du règne personnel de Louis XIV, l’image royale emprunte le mythe d’Apollon. Louis XIV ne veut plus apparaître sous le trait d’autres personnages, il veut représenter en tant que lui-même

-La pension qu’ils ont reçu, est soumise au bon vouloir du roi (Corneille perd sa gratification lorsqu’il annonce sa retraite). La plupart des artistes acceptent leur mission

-Même si Racine louange le roi et la méditation des rois. On retrouve chez Molière des allusions flatteuses (Tartuffe « Prince ennemi de la fraude »). De la même façon pour Jean de la Fontaine qui se moque des mœurs de la cour et de l’aristocratie. Les artistes qui ont refusé la pension et la gratification : La Rochefoucault « les Maximes », Madame de Lafayette « Princesse de Clèves ».

-Même si la pension a vu une fin, les artistes glorifiaient et restaient au service du roi.? A première vu, l’absolutisme artistique et scientifique est réussie, mais fait naître ses propres limites (légitimation politique et sociale + reconnaissance de la part du roi des activités artistiques).? Les artistes vont commencer à avoir leur propre liberté de pensée et a voir une forme d’indépendance (le roi arrête de les payer). La relation entre le roi et les artistes se complique, au XVIII car il y a l’opinion publique qui se met en place. Le publique intervient et interfère avec le roi. 

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