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Lycée
Première

Chapitre 2 : Comment la socialisation contribue-t-elle a expliquer les différances de comportement des individus?

Sociologie

Définition

Sur représentation
CAP, bac pro =>enfin d’ouvriers sont sur représentés dans les filières car il représente 38 % des élèves en bac pro alors qu’il ne représente que 27 % des élèves dans cette génération.
Inégalités (de réussite scolaire)
- tendance à limiter les parents - budget (appartement école nourriture...) - investissement parental
Habitus
Ensemble de dispositions permanentes intériorisé de façon inconsciente au cours de la socialisation et qui détermine la façon d’être de penser et d’agir un individu l’habitus permet d’exprimer que les individus placés dans les conditions sociales analogue est une vision du monde des comportements et des goûts des styles de vie assez similaire exemple le goût pour les loisirs culturels
Trajectoire improbable
Trajectoire qui s’écarte des trajectoires statistiquement les plus fréquentes.

Carte mental représentant la socialisation selon le genre

I-a) La socialisation nous permet d'assimiler les codes nécessaire pour s'intégrer dans les groupes sociaux, elle fait aussi de nous l'objet de multiple influences qui provoque diffèrent agents socialisateur que nous rencontrons. Ces influences modèle agisse inconsciemment sur nos façons d'agir et de penser.

I-b) Un être social est un individu apte à vivre en société et façonner par son environnement social la socialisation sera différente selon l’environnement dans son contexte et dans sa modalités

  • en 2016, 30 % des femmes salariés travail à temps partiel compte 7,5 % pour tous les salariés
  • 80 % des emplois à temps partiel sont occupés par des femmes

plafond de verre: via les statistiques; le niveau de des postes des femmes selon la hiérarchie pour avoir des postes au placé (les femmes se mettent une barrière psychologique à cause des stéréotypes)

-La pratique culturelle selon les caractéristiques sociales

la pratique culturelle selon les caractéristiques sociales:

  • laquelle est la plus forte pratique avec n’importe quelle activité
  • ce sont toujours les ouvriers qui pratiquent des activités culturelles
  • for écart entre les ouvriers et les cadres (trois fois plus de cadres sont allés au musée par rapport aux ouvriers)
  • moyens financiers
  • les diplômes étudié apporte des connaissances et socialise à la culture
  • socialisation familiale

II-a) il ne faut pas considérer qu’une seule influences socialisatrice dans la famille mais plusieurs, la position sociale de la mère et de la fratrie influencent également les enfants et leur scolarité.

II-b) ex: les enfants d’un cadre deuxième ouvrier ou les enfants d’ouvriers deviennent cadres

A retenir :

I- Les différences observées sur la place des hommes et des femmes dans le monde du travail s’explique en grande partie par la socialisation différenciée. Plafond de verre, choix des activités, temps partiel. Les individus ont intériorisé des stéréotypes de genre qui induisent des identités sociales souvent différente, pour les hommes et les femmes et cela a un impact sur les choix qui sont amenés à faire à l’âge adulte. Par exemple les recrutements ont tendance à favoriser un homme pour un poste technique et physique alors que les femmes s’autocensurent. De plus elles sont nombreuses à faire du temps partiel Car elle passe plus de temps à faire les tâches ménagères.


II- En dehors de l’aspect purement financier, la socialisation des milieux favorisés prépare davantage l’enfant à la réussite scolaire que la socialisation des milieux défavorisés. Elle lui permet d’intérioriser les manières d’être (attitude), de manière de penser conforme aux exigences scolaires. De plus, vivre au quotidien avec des personnes cultivées et occupant un poste à responsabilité prépare inconsciemment l’enfant à la prise de responsabilité. Cela agrandit le « champ des possibles ».

La socialisation est différente selon les milieux, sociaux et cela va façonner nos façons d’être, de penser, d’agir dans tous les domaines, pas seulement celui de la scolarité (repas, opinion publique, façon de s’exprimer, de manifester sa joie et de saluer, attitude face aux responsabilités...)

Pour Pierre BOURDIEU, la socialisation permet d’intérioriser un « habitus » qui est différent selon les milieux sociaux : il parle d’« habitus de classe ».


III- Même s’il est difficile de créer une séparation nette, on peut distinguer deux phases dans la socialisation de l’individu : la socialisation primaire qui intervient au cours de l’enfance, et la socialisation secondaire qui se déroule à l’âge adulte.

La socialisation primaire est déterminante car elle apporte toutes les bases de la socialisation. L’individu va alors intégrer les éléments essentiels pour l’intégration (normes et valeurs indispensables pour la vie en société). Elle participe fortement à la construction de l’identité sociale de l’individu et la structure durablement ses comportements et son habitus.

La socialisation secondaire vient compléter et prolonger la socialisation primaire. La socialisation primaire sert de base à la socialisation secondaire et elle agit comme un véritable filtre pour les expériences vécues à l’âge adulte. Cad que l’individu va adapter les nouvelles influences reçus à l’âge adulte en fonction du modèle qu’il aura intériorisé pendant sa socialisation primaire.

La socialisation secondaire est forcément un processus de reconstruction puisque l’individu va faire évoluer son identité sociale, son modèle culturel, son habitus au contact de nouveaux agents de socialisation qu’il rencontre. Quand les nouvelles influences reçus à l’âge adulte sont relativement conformes à celle reçu pendant l’enfance, on dit que la socialisation secondaire renforce la socialisation primaire (socialisation de renforcement) Exemple : un fils d’ouvrier qui devient ouvrier a acquis une culture ouvrière pendant son enfance et continuera de la développer à l’âge adulte dans le cadre de sa profession. Exemple : une femme qui a des héros même parti politique que ses parents.

Mais dans un autre cas où les influences nouvelles sont différentes, voir contredisent celle dont l’individu a été l’objet pendant l’enfance. La socialisation secondaire est ici une socialisation de transformation. L’individu peut connaître alors un processus d’acculturation. La socialisation secondaire peut alors être vu comme « un processus de désorganisation et de réorganisation » de l’identité sociale. Exemple : l’ascension sociale (un fils d’ouvrier qui devient médecin) vivra une véritable transformation de son identité sociale et de son habitus, à tel point qu’il se sentira peut-être éloigné de ses cultures de son milieu familial au bout de quelques années de pratiques. 

Lycée
Première

Chapitre 2 : Comment la socialisation contribue-t-elle a expliquer les différances de comportement des individus?

Sociologie

Définition

Sur représentation
CAP, bac pro =>enfin d’ouvriers sont sur représentés dans les filières car il représente 38 % des élèves en bac pro alors qu’il ne représente que 27 % des élèves dans cette génération.
Inégalités (de réussite scolaire)
- tendance à limiter les parents - budget (appartement école nourriture...) - investissement parental
Habitus
Ensemble de dispositions permanentes intériorisé de façon inconsciente au cours de la socialisation et qui détermine la façon d’être de penser et d’agir un individu l’habitus permet d’exprimer que les individus placés dans les conditions sociales analogue est une vision du monde des comportements et des goûts des styles de vie assez similaire exemple le goût pour les loisirs culturels
Trajectoire improbable
Trajectoire qui s’écarte des trajectoires statistiquement les plus fréquentes.

Carte mental représentant la socialisation selon le genre

I-a) La socialisation nous permet d'assimiler les codes nécessaire pour s'intégrer dans les groupes sociaux, elle fait aussi de nous l'objet de multiple influences qui provoque diffèrent agents socialisateur que nous rencontrons. Ces influences modèle agisse inconsciemment sur nos façons d'agir et de penser.

I-b) Un être social est un individu apte à vivre en société et façonner par son environnement social la socialisation sera différente selon l’environnement dans son contexte et dans sa modalités

  • en 2016, 30 % des femmes salariés travail à temps partiel compte 7,5 % pour tous les salariés
  • 80 % des emplois à temps partiel sont occupés par des femmes

plafond de verre: via les statistiques; le niveau de des postes des femmes selon la hiérarchie pour avoir des postes au placé (les femmes se mettent une barrière psychologique à cause des stéréotypes)

-La pratique culturelle selon les caractéristiques sociales

la pratique culturelle selon les caractéristiques sociales:

  • laquelle est la plus forte pratique avec n’importe quelle activité
  • ce sont toujours les ouvriers qui pratiquent des activités culturelles
  • for écart entre les ouvriers et les cadres (trois fois plus de cadres sont allés au musée par rapport aux ouvriers)
  • moyens financiers
  • les diplômes étudié apporte des connaissances et socialise à la culture
  • socialisation familiale

II-a) il ne faut pas considérer qu’une seule influences socialisatrice dans la famille mais plusieurs, la position sociale de la mère et de la fratrie influencent également les enfants et leur scolarité.

II-b) ex: les enfants d’un cadre deuxième ouvrier ou les enfants d’ouvriers deviennent cadres

A retenir :

I- Les différences observées sur la place des hommes et des femmes dans le monde du travail s’explique en grande partie par la socialisation différenciée. Plafond de verre, choix des activités, temps partiel. Les individus ont intériorisé des stéréotypes de genre qui induisent des identités sociales souvent différente, pour les hommes et les femmes et cela a un impact sur les choix qui sont amenés à faire à l’âge adulte. Par exemple les recrutements ont tendance à favoriser un homme pour un poste technique et physique alors que les femmes s’autocensurent. De plus elles sont nombreuses à faire du temps partiel Car elle passe plus de temps à faire les tâches ménagères.


II- En dehors de l’aspect purement financier, la socialisation des milieux favorisés prépare davantage l’enfant à la réussite scolaire que la socialisation des milieux défavorisés. Elle lui permet d’intérioriser les manières d’être (attitude), de manière de penser conforme aux exigences scolaires. De plus, vivre au quotidien avec des personnes cultivées et occupant un poste à responsabilité prépare inconsciemment l’enfant à la prise de responsabilité. Cela agrandit le « champ des possibles ».

La socialisation est différente selon les milieux, sociaux et cela va façonner nos façons d’être, de penser, d’agir dans tous les domaines, pas seulement celui de la scolarité (repas, opinion publique, façon de s’exprimer, de manifester sa joie et de saluer, attitude face aux responsabilités...)

Pour Pierre BOURDIEU, la socialisation permet d’intérioriser un « habitus » qui est différent selon les milieux sociaux : il parle d’« habitus de classe ».


III- Même s’il est difficile de créer une séparation nette, on peut distinguer deux phases dans la socialisation de l’individu : la socialisation primaire qui intervient au cours de l’enfance, et la socialisation secondaire qui se déroule à l’âge adulte.

La socialisation primaire est déterminante car elle apporte toutes les bases de la socialisation. L’individu va alors intégrer les éléments essentiels pour l’intégration (normes et valeurs indispensables pour la vie en société). Elle participe fortement à la construction de l’identité sociale de l’individu et la structure durablement ses comportements et son habitus.

La socialisation secondaire vient compléter et prolonger la socialisation primaire. La socialisation primaire sert de base à la socialisation secondaire et elle agit comme un véritable filtre pour les expériences vécues à l’âge adulte. Cad que l’individu va adapter les nouvelles influences reçus à l’âge adulte en fonction du modèle qu’il aura intériorisé pendant sa socialisation primaire.

La socialisation secondaire est forcément un processus de reconstruction puisque l’individu va faire évoluer son identité sociale, son modèle culturel, son habitus au contact de nouveaux agents de socialisation qu’il rencontre. Quand les nouvelles influences reçus à l’âge adulte sont relativement conformes à celle reçu pendant l’enfance, on dit que la socialisation secondaire renforce la socialisation primaire (socialisation de renforcement) Exemple : un fils d’ouvrier qui devient ouvrier a acquis une culture ouvrière pendant son enfance et continuera de la développer à l’âge adulte dans le cadre de sa profession. Exemple : une femme qui a des héros même parti politique que ses parents.

Mais dans un autre cas où les influences nouvelles sont différentes, voir contredisent celle dont l’individu a été l’objet pendant l’enfance. La socialisation secondaire est ici une socialisation de transformation. L’individu peut connaître alors un processus d’acculturation. La socialisation secondaire peut alors être vu comme « un processus de désorganisation et de réorganisation » de l’identité sociale. Exemple : l’ascension sociale (un fils d’ouvrier qui devient médecin) vivra une véritable transformation de son identité sociale et de son habitus, à tel point qu’il se sentira peut-être éloigné de ses cultures de son milieu familial au bout de quelques années de pratiques. 

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