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Chapitre 1 : Le logement dans le budget et la consommation des ménages

LES REVENUS DES MENAGES

Les ménages ont des revenus primaires en contrepartie de leur participation à la création de la richesse (PIB).

A retenir :

Revenus primaires = revenu du capital + revenu mixte + revenu du travail

A retenir :

Le revenu disponible des ménages (RDB) = revenus primaires + revenus de transfert – prélèvements obligataires


Exemple : Nicolas est médecin, avec 50 000 euros de revenus ; Marie claire est expert-comptable avec un revenu en BIC de 80 000 euros ; ils ont des RF de 20 000 euros et RCM de 10 000 euros

NICOLAS est marié avec Marie claire ; ils ont 3 enfants (Yasmine, Anthony, Julien) :

Revenu primaire = 160 000 euros

Étudiants dans différentes villes : 600 euros tous les 3 par mois 7200 euros par an

Impot sur le revenu = 15 000 euros

 

RDB = 152 200 Euros

A retenir :

Pouvoir d’achat = RDB /inflation


Niveau de vie = Pouvoir d’achat / UC (unité de consommation)

Florian et Juliette 3enfants (Louis, Mohamed, Sophie)

Florian et Juliette ont un revenu annuel de 55 000 euros : des loyers de 20 000 euros et des RCM de 6 000 euros

Mohamed et louis ont perçu des aides aux logement pour 400 euros/mois ; le couple à payer 3500 euros d’impôt mais ils ont un crédit d’impôt (Pinel) de 1200 euros )

 

Unité de consommation : Pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante :

·      1 UC pour le premier adulte du ménage,

·      0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus,

·      0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans.

Exemple : UN ménage qui dispose d’un RDB de 85000 euros avec deux adultes et trois enfants de plus de 14 ans =

Niveau de vie =

Définition

Les revenus salariaux
Le salaire reste la norme dans le total des revenus versés aux ménages (60 % du revenu national). Depuis la 2nd guerre mondial, on assiste à une salarisation (48 % en 1948 et aujourd’hui 86 %).
Les revenus des travailleurs indépendants
Les revenus des travailleurs indépendants sont les revenus générés par le travail d'un indépendant. Ces revenus peuvent provenir de diverses sources, telles que le travail effectué pour une entreprise ou un particulier, ou bien de la vente de produits ou de services.
Les revenus du patrimoine
On constate que les revenus du patrimoine on + vite augmenter ces 10 dernières années que les salaires. Les revenus du patrimoine comprennent : Les loyers perçus sur un bien immobilier (agricoles ou non, à usage d’habitation ou non) ; - Les revenus des placements financiers (intérêts, dividendes) ; - Les + ou – values enregistrées par la valeur des éléments d’actifs du patrimoine.

A retenir :

  • Sur le long terme : les revenus primaires et les prestations sociales ont augmenté. Mais en raison de l’augmentation des impôts et des cotisations sociales, le revenu disponible brut n’a pas augmenté autant que les revenus primaires.


  • Sur le court terme : on observe depuis la fin 2012 une progression très faible du revenu disponible brut (environ 0.6%). Le salaire moyen par tête baisse du fait du chômage et les revenus de la location de logement décélèrent de même que les prestations sociales. Parallèlement, les impôts et cotisations sociales augmentent.

Définition

Le revenu arbitral
est obtenu en enlevant le RDB les dépenses de consommation dit pré-engagées (dépenses sur lesquelles les ménages ne peuvent pas agir à court terme : logement, télécommunication, cantine, redevance TV, assurance, frais financiers, eau, gaz, et électricités et les loyers.

LA CONSOMMATION DES MENAGES

Définition

Macro-économie
c’est la partie du revenu qui n’est pas épargné

Les déterminants :

  1. La satisfaction des besoins : Celle-ci découle du gout du consommateur et des caractéristiques des différents produits (pyramide de Maslow).
  2. Le revenu : Il fixe une contrainte budgétaire à la dépense. Limite à la satisfaction du besoin de l'individu. + le revenu augmente + l’individu augmentera sa consommation. Les achats primaires (sel, eau, essence) sera certainement peu affectée par une augmentation sensible du revenu. ==> Une élasticité de la demande par rapport au prix.
  3. L'influence par des considérations sociales ou psychologique
  4. L’inflation dans un 1er temps, on consomme et dans un 2nd , on épargne

A retenir :

-      Les biens inférieurs : ce sont les biens dits élastiques par rapport à la demande ; + le revenu va augmenter + la part consacrer à l’alimentation va diminuer

-      Les biens normaux : ce sont les biens dits moyennement élastiques par rapports à la demande ; + le revenu va augmenter + la part consacrer à l’habillement

-      Les biens supérieurs : + le revenu va augmenter + la part consacrer au loisir, vacances vont grandir mais dans une proportion + grande que le revenu.

A retenir :

Les lois d’Engel

3 lois relatives à l’évolution des différentes catégories de consommation consécutives à un accroissement du revenu.

-      1ère loi : + une famille est pauvre + la part de ses dépenses consacrée à la nourriture est grande ; et quand son revenu augmente, la part de l’alimentation dans le total de ses dépenses décroit (le coefficient budgétaire de l’alimentation baisse)


-      2ième loi : quand son revenu augmente, la part de l’habillement dans le total de ses dépenses augmentent dans la même proportion.

 

-      3ième loi : quand son revenu augmente, la part des loisirs dans le total de ses dépenses augmentent plus vite.

Définition

Consommation effective des ménages
la consommation effective des ménages inclut les biens et les services acquis par les ménages pour la satisfaction de leurs besoins mais également les dépense faites par les administrations publiques à leur intention (frais de scolarité par exemple)
Coefficient budgétaire
rapport des dépenses consacrées à un bien (exemple le logement) à la dépense totale.

A retenir :

Les coefficients budgétaires = dépense consacrée à un bien / dépense de consommation des ménages


Les coefficients budgétaires effectifs = dépense consacrée à un bien / dépense de consommation effective des ménages

La diminution de la part des dépenses se manifeste à travers différents secteurs :

  1. Produits Alimentaires :
  • La demande globale est saturée, avec une préférence croissante pour la qualité.
  • Observance d'une tendance à recourir aux plats préparés pour des raisons de praticité.
  • Retour marqué aux produits locaux et biologiques, reflétant un souci croissant pour la provenance et la qualité des aliments.
  • Émergence d'une tendance à renouer avec la cuisine traditionnelle, souvent assistée par des robots culinaires.
  1. Habillement :
  • L'essor du commerce électronique a transformé le secteur de l'habillement.
  • Le marché est devenu mondialisé et extrêmement concurrentiel.
  • Une préférence pour le vintage est observée, indiquant un intérêt croissant pour la durabilité et la mode rétro.
  • Moins de consommation générale de vêtements, suggérant une approche plus réfléchie et durable de la mode.
  1. Équipement du Logement :
  • Changement notable dans la consommation de meubles, avec une diminution des achats auprès de grandes enseignes.
  • La décoration tend vers le minimalisme, reflétant un goût pour des espaces épurés et fonctionnels.
  • Les logements plus petits entraînent une demande accrue pour un ameublement de petite taille et des solutions d'optimisation de l'espace.

LA CONSOMMATION DE SERVICE LOGEMENT DES MENAGES : Approche macroéconomique

Définition

Les dépenses en logement
représentent l’ensemble des sommes consacrées au logement par l’ensemble des agents économiques (ménages, bailleurs sociaux, pouvoirs publics…). Les dépenses en logement comprennent principalement les dépenses courantes et les dépenses en capital.

A retenir :

Dépenses en logement = dépenses courantes + dépenses d’investissement

Elles regroupent :

-       Les dépenses courantes : liées à l’occupation du logement (loyers+ énergie, charges ; petits travaux)

-       Les dépenses d’investissement (achat logements neufs, terrains, gros travaux)

-       Les flux financiers (dépenses liées au logement vacant ; prime à la cuve ; FSL)


Dépense courante en logement (loyers acquittés + loyers imputés + dépenses d’énergie + charges)

Définition

Dépenses de consommation finale des ménages
elles comprennent les dépenses effectivement réalisées par les ménages (achat de biens et services) + dépenses de santé, d’éducation, de logement + les loyers imputés.
Dépenses courantes de logement
ce sont des dépenses que les ménages consacrent à l’usage courant de leur logement = loyers (locataires ou propriétaires occupants) + dépenses d’énergie+ charges +travaux+ PO
Dépenses de consommation des ménages en logement
cela inclut les loyers et loyers imputés

Chapitre 1 : Le logement dans le budget et la consommation des ménages

LES REVENUS DES MENAGES

Les ménages ont des revenus primaires en contrepartie de leur participation à la création de la richesse (PIB).

A retenir :

Revenus primaires = revenu du capital + revenu mixte + revenu du travail

A retenir :

Le revenu disponible des ménages (RDB) = revenus primaires + revenus de transfert – prélèvements obligataires


Exemple : Nicolas est médecin, avec 50 000 euros de revenus ; Marie claire est expert-comptable avec un revenu en BIC de 80 000 euros ; ils ont des RF de 20 000 euros et RCM de 10 000 euros

NICOLAS est marié avec Marie claire ; ils ont 3 enfants (Yasmine, Anthony, Julien) :

Revenu primaire = 160 000 euros

Étudiants dans différentes villes : 600 euros tous les 3 par mois 7200 euros par an

Impot sur le revenu = 15 000 euros

 

RDB = 152 200 Euros

A retenir :

Pouvoir d’achat = RDB /inflation


Niveau de vie = Pouvoir d’achat / UC (unité de consommation)

Florian et Juliette 3enfants (Louis, Mohamed, Sophie)

Florian et Juliette ont un revenu annuel de 55 000 euros : des loyers de 20 000 euros et des RCM de 6 000 euros

Mohamed et louis ont perçu des aides aux logement pour 400 euros/mois ; le couple à payer 3500 euros d’impôt mais ils ont un crédit d’impôt (Pinel) de 1200 euros )

 

Unité de consommation : Pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante :

·      1 UC pour le premier adulte du ménage,

·      0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus,

·      0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans.

Exemple : UN ménage qui dispose d’un RDB de 85000 euros avec deux adultes et trois enfants de plus de 14 ans =

Niveau de vie =

Définition

Les revenus salariaux
Le salaire reste la norme dans le total des revenus versés aux ménages (60 % du revenu national). Depuis la 2nd guerre mondial, on assiste à une salarisation (48 % en 1948 et aujourd’hui 86 %).
Les revenus des travailleurs indépendants
Les revenus des travailleurs indépendants sont les revenus générés par le travail d'un indépendant. Ces revenus peuvent provenir de diverses sources, telles que le travail effectué pour une entreprise ou un particulier, ou bien de la vente de produits ou de services.
Les revenus du patrimoine
On constate que les revenus du patrimoine on + vite augmenter ces 10 dernières années que les salaires. Les revenus du patrimoine comprennent : Les loyers perçus sur un bien immobilier (agricoles ou non, à usage d’habitation ou non) ; - Les revenus des placements financiers (intérêts, dividendes) ; - Les + ou – values enregistrées par la valeur des éléments d’actifs du patrimoine.

A retenir :

  • Sur le long terme : les revenus primaires et les prestations sociales ont augmenté. Mais en raison de l’augmentation des impôts et des cotisations sociales, le revenu disponible brut n’a pas augmenté autant que les revenus primaires.


  • Sur le court terme : on observe depuis la fin 2012 une progression très faible du revenu disponible brut (environ 0.6%). Le salaire moyen par tête baisse du fait du chômage et les revenus de la location de logement décélèrent de même que les prestations sociales. Parallèlement, les impôts et cotisations sociales augmentent.

Définition

Le revenu arbitral
est obtenu en enlevant le RDB les dépenses de consommation dit pré-engagées (dépenses sur lesquelles les ménages ne peuvent pas agir à court terme : logement, télécommunication, cantine, redevance TV, assurance, frais financiers, eau, gaz, et électricités et les loyers.

LA CONSOMMATION DES MENAGES

Définition

Macro-économie
c’est la partie du revenu qui n’est pas épargné

Les déterminants :

  1. La satisfaction des besoins : Celle-ci découle du gout du consommateur et des caractéristiques des différents produits (pyramide de Maslow).
  2. Le revenu : Il fixe une contrainte budgétaire à la dépense. Limite à la satisfaction du besoin de l'individu. + le revenu augmente + l’individu augmentera sa consommation. Les achats primaires (sel, eau, essence) sera certainement peu affectée par une augmentation sensible du revenu. ==> Une élasticité de la demande par rapport au prix.
  3. L'influence par des considérations sociales ou psychologique
  4. L’inflation dans un 1er temps, on consomme et dans un 2nd , on épargne

A retenir :

-      Les biens inférieurs : ce sont les biens dits élastiques par rapport à la demande ; + le revenu va augmenter + la part consacrer à l’alimentation va diminuer

-      Les biens normaux : ce sont les biens dits moyennement élastiques par rapports à la demande ; + le revenu va augmenter + la part consacrer à l’habillement

-      Les biens supérieurs : + le revenu va augmenter + la part consacrer au loisir, vacances vont grandir mais dans une proportion + grande que le revenu.

A retenir :

Les lois d’Engel

3 lois relatives à l’évolution des différentes catégories de consommation consécutives à un accroissement du revenu.

-      1ère loi : + une famille est pauvre + la part de ses dépenses consacrée à la nourriture est grande ; et quand son revenu augmente, la part de l’alimentation dans le total de ses dépenses décroit (le coefficient budgétaire de l’alimentation baisse)


-      2ième loi : quand son revenu augmente, la part de l’habillement dans le total de ses dépenses augmentent dans la même proportion.

 

-      3ième loi : quand son revenu augmente, la part des loisirs dans le total de ses dépenses augmentent plus vite.

Définition

Consommation effective des ménages
la consommation effective des ménages inclut les biens et les services acquis par les ménages pour la satisfaction de leurs besoins mais également les dépense faites par les administrations publiques à leur intention (frais de scolarité par exemple)
Coefficient budgétaire
rapport des dépenses consacrées à un bien (exemple le logement) à la dépense totale.

A retenir :

Les coefficients budgétaires = dépense consacrée à un bien / dépense de consommation des ménages


Les coefficients budgétaires effectifs = dépense consacrée à un bien / dépense de consommation effective des ménages

La diminution de la part des dépenses se manifeste à travers différents secteurs :

  1. Produits Alimentaires :
  • La demande globale est saturée, avec une préférence croissante pour la qualité.
  • Observance d'une tendance à recourir aux plats préparés pour des raisons de praticité.
  • Retour marqué aux produits locaux et biologiques, reflétant un souci croissant pour la provenance et la qualité des aliments.
  • Émergence d'une tendance à renouer avec la cuisine traditionnelle, souvent assistée par des robots culinaires.
  1. Habillement :
  • L'essor du commerce électronique a transformé le secteur de l'habillement.
  • Le marché est devenu mondialisé et extrêmement concurrentiel.
  • Une préférence pour le vintage est observée, indiquant un intérêt croissant pour la durabilité et la mode rétro.
  • Moins de consommation générale de vêtements, suggérant une approche plus réfléchie et durable de la mode.
  1. Équipement du Logement :
  • Changement notable dans la consommation de meubles, avec une diminution des achats auprès de grandes enseignes.
  • La décoration tend vers le minimalisme, reflétant un goût pour des espaces épurés et fonctionnels.
  • Les logements plus petits entraînent une demande accrue pour un ameublement de petite taille et des solutions d'optimisation de l'espace.

LA CONSOMMATION DE SERVICE LOGEMENT DES MENAGES : Approche macroéconomique

Définition

Les dépenses en logement
représentent l’ensemble des sommes consacrées au logement par l’ensemble des agents économiques (ménages, bailleurs sociaux, pouvoirs publics…). Les dépenses en logement comprennent principalement les dépenses courantes et les dépenses en capital.

A retenir :

Dépenses en logement = dépenses courantes + dépenses d’investissement

Elles regroupent :

-       Les dépenses courantes : liées à l’occupation du logement (loyers+ énergie, charges ; petits travaux)

-       Les dépenses d’investissement (achat logements neufs, terrains, gros travaux)

-       Les flux financiers (dépenses liées au logement vacant ; prime à la cuve ; FSL)


Dépense courante en logement (loyers acquittés + loyers imputés + dépenses d’énergie + charges)

Définition

Dépenses de consommation finale des ménages
elles comprennent les dépenses effectivement réalisées par les ménages (achat de biens et services) + dépenses de santé, d’éducation, de logement + les loyers imputés.
Dépenses courantes de logement
ce sont des dépenses que les ménages consacrent à l’usage courant de leur logement = loyers (locataires ou propriétaires occupants) + dépenses d’énergie+ charges +travaux+ PO
Dépenses de consommation des ménages en logement
cela inclut les loyers et loyers imputés
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