On peut repérer une intoxication aux amphétamines, Ecstasy, cocaïne et autres psychostimulants par une accélération psychique et physique.
Signes psychologiques :
Signes physiques :
Complications psychiques :
Cocaïne :
L'usage intermittent sans dépendance est rare sur le moyen/long terme. Le schéma le plus fréquent est :
Il y a des comorbidités addictives :
Dépendance et sevrage :
Pour les patients, il y a 2 différences majeures avec l’image de la dépendance : L’usage non quotidien et l’absence de douleur à l’arrêt. Mais s'il n'y a pas de syndrome de sevrage physique? Il y a une descente :
Thérapeutique :
Amphétamines :
Se sont des stimulants qui ont des effets euphorisants, anorexigènes, tachycardie, hyperthermie, transpiration, mydriase, hallucinations, états dépressifs, anxiété, dépendance.
Amphétamines Pharmacocinétique : Les effets sont bien plus long qu'avec la cocaïne (6 à 8 h pour l'amphétamine, 12 h pour la méthamphétamine). 30 % sont éliminés sous forme inchangée dans les urines.
Cathinones :
« Nouvelles drogues », « Smart drugs », « legal high ». On peut en acheter sur internet, et en retrouver dans le milieu festif gay, Slam et pratiques sexuelles à risque (IST++). Elles ont un profil pharmacodynamique proche des amphétamines et sont interdites en France depuis aout 2012.
Substances opiacées :
Les effets peuvent être :
Des intoxications. Les effets arrivent en quelques minutes et le sevrage arrive quelques heures après la dernière prise :
Syndrome de sevrage :
Complication de l'usage :
Il peut y avoir des décès par overdose. Au niveau psychiatrique, il peut y avoir des épisodes psychotiques, dépressifs, des suicides, des troubles des conduites. Au niveau médical (liés aux injections), il peut y avoir des overdoses, infections (VIH, VHB, VHC, abcès, lymphangites, septicémies, endocardites,…), pneumopathies liés au sniff, des amaigrissement, perte des dents, aménorrhée. Pour le fœtus, il peut y avoir une mort in utero, prématurité, hypotrophie, puis syndrome de sevrage après la naissance. Au niveau social, il peut y avoir une désinsertion, une précarité, de la prostitution, vols, agressions, trafic, actes médico-légaux.
Comorbidités addictives :
Thérapeutique : principes généraux :
Prise en charge : Sevrage et substitution
On peut mettre en place l'établissement d'une alliance thérapeutique. On va également faire une évaluation (comorbidités psychiatriques) et mettre en place des projets de soins (post-cure, prévention, réduction des risques). On a une prise en charge globale et durable (Médico-psycho-socio-éducative).
Traitements de substitution :
On peut repérer une intoxication aux amphétamines, Ecstasy, cocaïne et autres psychostimulants par une accélération psychique et physique.
Signes psychologiques :
Signes physiques :
Complications psychiques :
Cocaïne :
L'usage intermittent sans dépendance est rare sur le moyen/long terme. Le schéma le plus fréquent est :
Il y a des comorbidités addictives :
Dépendance et sevrage :
Pour les patients, il y a 2 différences majeures avec l’image de la dépendance : L’usage non quotidien et l’absence de douleur à l’arrêt. Mais s'il n'y a pas de syndrome de sevrage physique? Il y a une descente :
Thérapeutique :
Amphétamines :
Se sont des stimulants qui ont des effets euphorisants, anorexigènes, tachycardie, hyperthermie, transpiration, mydriase, hallucinations, états dépressifs, anxiété, dépendance.
Amphétamines Pharmacocinétique : Les effets sont bien plus long qu'avec la cocaïne (6 à 8 h pour l'amphétamine, 12 h pour la méthamphétamine). 30 % sont éliminés sous forme inchangée dans les urines.
Cathinones :
« Nouvelles drogues », « Smart drugs », « legal high ». On peut en acheter sur internet, et en retrouver dans le milieu festif gay, Slam et pratiques sexuelles à risque (IST++). Elles ont un profil pharmacodynamique proche des amphétamines et sont interdites en France depuis aout 2012.
Substances opiacées :
Les effets peuvent être :
Des intoxications. Les effets arrivent en quelques minutes et le sevrage arrive quelques heures après la dernière prise :
Syndrome de sevrage :
Complication de l'usage :
Il peut y avoir des décès par overdose. Au niveau psychiatrique, il peut y avoir des épisodes psychotiques, dépressifs, des suicides, des troubles des conduites. Au niveau médical (liés aux injections), il peut y avoir des overdoses, infections (VIH, VHB, VHC, abcès, lymphangites, septicémies, endocardites,…), pneumopathies liés au sniff, des amaigrissement, perte des dents, aménorrhée. Pour le fœtus, il peut y avoir une mort in utero, prématurité, hypotrophie, puis syndrome de sevrage après la naissance. Au niveau social, il peut y avoir une désinsertion, une précarité, de la prostitution, vols, agressions, trafic, actes médico-légaux.
Comorbidités addictives :
Thérapeutique : principes généraux :
Prise en charge : Sevrage et substitution
On peut mettre en place l'établissement d'une alliance thérapeutique. On va également faire une évaluation (comorbidités psychiatriques) et mettre en place des projets de soins (post-cure, prévention, réduction des risques). On a une prise en charge globale et durable (Médico-psycho-socio-éducative).
Traitements de substitution :