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THEME IMPORTANT:
La cour, qui est un monde d'illusion et d'apparence:
mme de Chartres le résume assez bien lorsqu'elle dit a sa fille " si vous jugez sur les apparence en ce lieu-ci ,vous serez souvent tromper: ce qui n'y parrait n'est presque jamais la vérité"
On comprend par cette phrase que lka cour est un ieu ou règne l'apparence, la dissimulation et le faux semblant .
Donc la Cour est mis en avant par l'autrice comme un lieu anti-religieux et la Princesse de Clèves essay de s'en extirper mais sans succès à cause de ses obligations ou son mari.
La passion amoureuse:
la princesse de clèves luttes pour avec ses sentiments tout au long du roman mais il se manifeste sous différents aspects comme la jalousie, les stratégies pour dissimuler son amour, le refus d'accepter ce sentiment et quelque moments d'etourdissement dans lequel elle se laisse conduire par sa passion. Certe quelque fois elle peut etre sur le point de faillir comme lorsque sur l lit de mort sa mère avant la conseiller de se retirer de la cour elle dit "vous etes au bord du précipice"; pourtant elle n'a jamais ceder a sa passion amoureuses elle le dit elle meme lorsqu'elle parle une derniere fois au Duc de Nemmours " j'avoue que les passion peuvent me conduire, mais elle ne serait m'aveugler".
Elle renonce donc a son amour
Madame de Lafayette porte un regard pésimiste sur la passion. On peux le savoir grace au portrait moral de MLLE de Chartres du à l'éducation qu'elle recue de sa mère ainsi que la vertu et le respect que la mère a montrer envers son mari en restant seul jusqu'a sa mort et enfin la dernière phrase du roman " la princesse de clèves laissa des exemples de vertue inimitable" et la passion du Duc de Nemmours qui s'est etein avec le temps montrant le caratère éphémere de la passion mais la grandeurs de la raison et la vertu.
La religion :
La religion La foi et la vertu de la Princesse de Clèves sont mises à l’épreuve à la Cour qui est un espace de perdition. Tout au long du roman, la Princesse de Clèves est ainsi animée d’élans contradictoires : d’un côté l’envie de s’abandonner à sa passion pour le Duc de Nemours, de l’autre le désir de rester vertueuse.
On observe l’influence de la religion janséniste dans le dénouement austère : la retraite à la campagne marque un retour à la foi religieuse. L’expérience du péché et de la dissimulation est rachetée par le renoncement aux plaisirs à la fin du roman. "monastère les plus austère"
elle a une vision de l'amour chrétienne c'est a dire un amour dans le mariage.
CARACTERISTIQUE D'ECRITURE DE MADAME LAFAYETTE:
PARCOURS: ",INDIVIDU,MORAL ET SOCIETE":
Individu par rapport a la société:
Tout d’abord, l’individu doit se dissimuler à l’égard de la société. La Cour est un espace dangereux où les individus s’exposent aux regards et à la concupiscence comme le montre le champ lexical important du regard dans la première partie du roman. Dans cet univers de faux-semblants, chacun cache sa vie intérieure. La Princesse dissimule donc sa passion amoureuse dans une société qui déteste les écarts et les excès.
Moral intérieur:
si la morale sociale est sauve, la morale intérieure ne l’est pas. La Princesse de Clèves vit un combat moral intérieur, celui du choix entre la vertu ou la passion, le devoir ou l’amour. Madame de Chartres, qui comprend l’amour de sa fille pour le duc de Nemours, l’encourage à se retirer du monde pour ne pas s’exposer à la faute.
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THEME IMPORTANT:
La cour, qui est un monde d'illusion et d'apparence:
mme de Chartres le résume assez bien lorsqu'elle dit a sa fille " si vous jugez sur les apparence en ce lieu-ci ,vous serez souvent tromper: ce qui n'y parrait n'est presque jamais la vérité"
On comprend par cette phrase que lka cour est un ieu ou règne l'apparence, la dissimulation et le faux semblant .
Donc la Cour est mis en avant par l'autrice comme un lieu anti-religieux et la Princesse de Clèves essay de s'en extirper mais sans succès à cause de ses obligations ou son mari.
La passion amoureuse:
la princesse de clèves luttes pour avec ses sentiments tout au long du roman mais il se manifeste sous différents aspects comme la jalousie, les stratégies pour dissimuler son amour, le refus d'accepter ce sentiment et quelque moments d'etourdissement dans lequel elle se laisse conduire par sa passion. Certe quelque fois elle peut etre sur le point de faillir comme lorsque sur l lit de mort sa mère avant la conseiller de se retirer de la cour elle dit "vous etes au bord du précipice"; pourtant elle n'a jamais ceder a sa passion amoureuses elle le dit elle meme lorsqu'elle parle une derniere fois au Duc de Nemmours " j'avoue que les passion peuvent me conduire, mais elle ne serait m'aveugler".
Elle renonce donc a son amour
Madame de Lafayette porte un regard pésimiste sur la passion. On peux le savoir grace au portrait moral de MLLE de Chartres du à l'éducation qu'elle recue de sa mère ainsi que la vertu et le respect que la mère a montrer envers son mari en restant seul jusqu'a sa mort et enfin la dernière phrase du roman " la princesse de clèves laissa des exemples de vertue inimitable" et la passion du Duc de Nemmours qui s'est etein avec le temps montrant le caratère éphémere de la passion mais la grandeurs de la raison et la vertu.
La religion :
La religion La foi et la vertu de la Princesse de Clèves sont mises à l’épreuve à la Cour qui est un espace de perdition. Tout au long du roman, la Princesse de Clèves est ainsi animée d’élans contradictoires : d’un côté l’envie de s’abandonner à sa passion pour le Duc de Nemours, de l’autre le désir de rester vertueuse.
On observe l’influence de la religion janséniste dans le dénouement austère : la retraite à la campagne marque un retour à la foi religieuse. L’expérience du péché et de la dissimulation est rachetée par le renoncement aux plaisirs à la fin du roman. "monastère les plus austère"
elle a une vision de l'amour chrétienne c'est a dire un amour dans le mariage.
CARACTERISTIQUE D'ECRITURE DE MADAME LAFAYETTE:
PARCOURS: ",INDIVIDU,MORAL ET SOCIETE":
Individu par rapport a la société:
Tout d’abord, l’individu doit se dissimuler à l’égard de la société. La Cour est un espace dangereux où les individus s’exposent aux regards et à la concupiscence comme le montre le champ lexical important du regard dans la première partie du roman. Dans cet univers de faux-semblants, chacun cache sa vie intérieure. La Princesse dissimule donc sa passion amoureuse dans une société qui déteste les écarts et les excès.
Moral intérieur:
si la morale sociale est sauve, la morale intérieure ne l’est pas. La Princesse de Clèves vit un combat moral intérieur, celui du choix entre la vertu ou la passion, le devoir ou l’amour. Madame de Chartres, qui comprend l’amour de sa fille pour le duc de Nemours, l’encourage à se retirer du monde pour ne pas s’exposer à la faute.