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PSYCHOLOGIE
2ème année

CM 11 : Modalités de PEC de la schizophrénie

Psychopathologie

Definition

Remédiation cognitive
A pour but d'améliorer les performances cognitives et obtenir une récupération fonctionnelle chez les patients.

Intro


On utilise le modèle de vulnérabilité-stress-résilience pour baser notre psychoéducation.

Selon celui-ci il n'y a pas une cause unique à la schizophrénie mais un ensemble de facteurs (stresseurs + vulnérabilités neuropsychologique) qui peuvent la déclencher.

La schizophrénie rend l'individu plus fragile à des stresseurs environnementaux et sociaux (drogues, pression à la perf)

-> (car il a déjà de vulnérabilité neuro-psychologiques)

-> qui vont impacter le trouble déjà présent et déclencher des symptômes résiduels

-> qui vont amener une déterioration du fonctionnement

-> et rendre la personne encore plus sensibles à certains facteurs

-> et déclencher des rechutes.


Ce n'est pas linéaire mais tous ces facteurs sont interdépendants.

Ces éléments vont venir impacter notre pec (vivre à la rue, addiction etc), les facteurs de protections vont tenter de limiter les symptômes résiduels et les stresseurs.



I. Moratoire à la conscience


= On va aider le patient à passer du déni à l'acceptation de la maladie.


-> Travailler sur l’insight dans le but de redonner de l’espoir au patient et pour éviter un mauvais pronostic du aux difficultés liés aux :

  • Traitements psychopharmacologiques
  • Mauvais Insight
  • Altérations cognitives
  • Consommation toxiques
  • Nature des interactions avec les proches
  • Facteurs subjectifs


-> A l'aide d'une réhabilitation psychosociale :

  • la remédiation cognitive
  • l'entraînement des compétences sociales
  • les thérapies comportementales et cognitives (+/- d'exposition, désaprendre une réponse à un cpt)
  • la psychoéducation


La psychoéducation :


Elle peut être individuelle ou groupale et comporte 2 versants : 1 groupe patients & 1 groupe famille


1) Groupe patient


–> Appropriation de connaissances

–> Améliore l’adhésion au traitement et facilite le rétablissement

–> Plusieurs dimensions


Les principales thématiques prises en compte sont :


  • Le rôle des facteurs biologiques à travers l'explicitation du modèle vulnérabilité-stress-résilience.
  • Les symptômes
  • Les manifestations de la rechute

-> l'idée c'est de sensibiliser le patient et sa famille à des signes de rechutes pour qu'il puisse reprendre contact avec un professionnel, l'informer sur comment réagir à ce moment là, aider la famille à prendre note de certaines manifestations...

  • Les modalités thérapeutiques

(dont les traitements psychopharmacologiques : informer sur les effets bénéfiques, effets indésirables et la balance bénéfices/effets indésirables justifiant ce traitement, comment gérer les effets indésirables et les reconnaitre, aider la famille à accompagner le patient)

  • Les comorbidités addictives (abus de substances etc) et leurs conséquences (rechutes fex dues au cannabis).


On a nos thèmes qu'on va souhaiter aborder mais on peut aussi partir de ce que nous dit le patient et s'adapter aux modalités de sa maladie, ce n'est pas obligatoirement un cours ou on transmet juste de l'information, on va surtout compléter ce qui a déjà été dit, on est dans un partenariat.

+ Un autre élément très important est l'évaluation du risque de suicide à prendre en compte dans la PEC.


On doit proposer la psychoéducation systématiquement après le diagnostique.

Un groupe est généralement composé de 6 à 10 participants et animés par 2 professionnels (psychologues, psychiatre, ergothérapeute, psychomotricien, infirmier ou soignant, éducateur... -> aspect pluridisciplinaire pour se completer mais toujours un Psychologue)

Elle est souvent proposée sur une durée de 2 à 6 mois mais cela dépend des choix de l'équipe, enfin le contenu doit être en adéquation avec l’âge des patients et les phases (5 étapes) de la maladie.


Des études montrent son efficacité donc elle recommandée de manière internationale car elle permet d'améliorer leur connaissance de la maladie et leur adhésion au traitement ce qui permet de réduire le taux de rechutes et la symptomatologie.

On peut aussi l'utiliser pour d'autres troubles (les TCA, l'autisme, les TOC, l'anxiété, les troubles bipolaires...)


2) Groupe famille


Très similaire, on utilise le même modèle grâce auquel on va montrer qu'il y a plusieurs facteurs et que ce n'est pas la faute des parents. On va expliquer en quoi consiste notre travail et on va créer en partenariat nos thèmes et sujets et faire en sorte que la famille amène d'elle même l'info et qu'on complète.

On préfère utiliser un format multifamilial qui est mieux car il va permettre aux familles de partager leurs connaissances et compétences et se soutenir entre elles. Elle est efficace (réduit le taux de rechute et le fardeau familial)


-> Identifier et valoriser les ressources de la famille et du patient

-> Réduire sa souffrance et interagir plus positivement avec son proche malade & corriger certaines idées fausses comme l'agressivité



II. De la conscience à la préparation


= Aider le patient à distinguer ce qui fait partie de la maladie de ce qui fait partie de la personne


  • Particulièrement complexe dans la schizophrénie car certains symptômes de la maladie sont difficiles à distinguer de facteurs personnels, par exemple le retrait social (baisse de motivation, pas d'envie d'initier mais une fois dans la situation il se sentirait bien ou retrait)


= Former les patients :

-> à reconnaître les symptômes de la maladie et à les distinguer de facteurs personnels (en se basant sur comment ils étaient avant, leurs objectifs de vie, leur gout etc)

-> à comprendre que ces deux catégories de facteurs peuvent s’influencer mutuellement.


La façon de considérer sa maladie peut beaucoup varier d'un individu à l'autre et peut donner lieux à des polémiques par certains aspects comme la façon de nommer les patients (fait surtout polémique dans l'autisme) car pour certains ça fait partie de leur identité et leur apporte qlq chose et pour d'autres ils sont déjà eux mêmes avec leur personnalité etc. et la schizophrénie est un truc en plus à accepter (personne schizo vs avec schizophrénie vs schizophrène).



III. De la préparation à la reconstruction


= Accompagner la personne dans la reconstruction d’une identité positive et l’établissement d’objectifs de vie, en prenant en compte d'où il en était avant (fex étudiant en L1 =/= professionnel dps 40 ans ou lycéen) et où il en est maintenant (retourner à la fac qd diminution symptômes).

Mais cela va dépendre du nb d'épisodes et de l'impact de ses épisodes sur le niveau de fonctionnement.


-> Aide le patient à prendre ses propres décisions et à calculer les risques.

-> l'Aide à se reconstruire un réseau social

-> l'Aide à reprendre en main son autonomie et le contrôle sur sa propre vie


-> Entrainement des habiletés sociales (EHS) surtout si il y a des difficultés sociales, qui peuvent être travaillées en groupe (proposé potentiellement 1h par semaine ou par mois, en meme temps que la psychoéducation ou plus tard si plainte)

-> Remédiation cognitive : on va faire des entrainement pour améliorer l'insight, les pensée négatives etc, on va chercher ses ressources (pour retrouver un emploie etc), ses points forts, ses appuis etc. On va l'aider à faire son CV, à préparer ses entretiens, à trouver un lieu de vie etc



IV. De la reconstruction à la croissance


= Prise en charge globale


-> La personne n’est plus un patient mais un acteur qui dirige sa vie (il faut au début poser des questions plus fermées pour diriger la thérapie, puis qd elle devient un vrai acteur on peut poser des questions plus ouvertes et le laisser juger les risques etc) et croit en ses capacités, même si les symptômes sont toujours présents ou réapparaissent, on ne doit pas se focaliser seulement sur les capacités perdues.

-> La personne a découvert qu’elle a en elle une partie qui est restée intacte malgré toutes les souffrances traversées.


--> Croissance


V. Conclusion/Résumé :


1) Pour le patient schizophrène :


– Le médicaments antipsychotiques

– Psychoéducation

– Remédiation cognitive

– Entraînement d’habilités sociales

– Les psychothérapies (TCC, centrée sur les émotions...)

– Soutien des pairs

– Soutien à l’éducation ou à l’emploi, trouver un logement…

– Prévention du suicide

– Prise en charge des comorbidités

-> C'est une pec globale et adaptée au besoin de chaque personne qui sera effective, d'où la nécessité d'une équipe pluridisciplinaire.


2) Familles


– Psychoéducation

– Thérapie familiale


3) Autres modalités dans la prise en charge


Diagnostic précoce très important. Il faut détecter les prodromes car les troubles apparaissent de façon insidieuse et progressive mais que les symptômes débutants ont souvent des répercussions majeures sur la qualité de vie des jeunes.

-> De 15 à 20 ans c'est une période importante dans la construction du Soi et de l'autonomie. Fex un jeune diag. à 18 ans en L1 qui met 3/4 ans à se réinsérer et à trouver la PEC qui lui correspond aura bcp de retard sur ses amis et ses pairs.


L'effet des antipsychotiques est très débattu. On observe une diminution légère des symptômes positifs et des troubles cognitifs secondaires, mais les effets sont beaucoup plus ténus pour ceux primaires.


La remédiation cognitive est une intervention thérapeutique impliquant un entrainement qui vise à améliorer les processus cognitifs

-> parvient à diminuer les déficits cognitifs et leur impact fonctionnel

-> de sorte à ce que les bénéfices se maintiennent dans la durée et se généralisent

Elle est encore plus efficaces couplée à la psychoéducation de la schizophrénie, basé sur les témoignages et le combat des patient.

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PSYCHOLOGIE
2ème année

CM 11 : Modalités de PEC de la schizophrénie

Psychopathologie

Definition

Remédiation cognitive
A pour but d'améliorer les performances cognitives et obtenir une récupération fonctionnelle chez les patients.

Intro


On utilise le modèle de vulnérabilité-stress-résilience pour baser notre psychoéducation.

Selon celui-ci il n'y a pas une cause unique à la schizophrénie mais un ensemble de facteurs (stresseurs + vulnérabilités neuropsychologique) qui peuvent la déclencher.

La schizophrénie rend l'individu plus fragile à des stresseurs environnementaux et sociaux (drogues, pression à la perf)

-> (car il a déjà de vulnérabilité neuro-psychologiques)

-> qui vont impacter le trouble déjà présent et déclencher des symptômes résiduels

-> qui vont amener une déterioration du fonctionnement

-> et rendre la personne encore plus sensibles à certains facteurs

-> et déclencher des rechutes.


Ce n'est pas linéaire mais tous ces facteurs sont interdépendants.

Ces éléments vont venir impacter notre pec (vivre à la rue, addiction etc), les facteurs de protections vont tenter de limiter les symptômes résiduels et les stresseurs.



I. Moratoire à la conscience


= On va aider le patient à passer du déni à l'acceptation de la maladie.


-> Travailler sur l’insight dans le but de redonner de l’espoir au patient et pour éviter un mauvais pronostic du aux difficultés liés aux :

  • Traitements psychopharmacologiques
  • Mauvais Insight
  • Altérations cognitives
  • Consommation toxiques
  • Nature des interactions avec les proches
  • Facteurs subjectifs


-> A l'aide d'une réhabilitation psychosociale :

  • la remédiation cognitive
  • l'entraînement des compétences sociales
  • les thérapies comportementales et cognitives (+/- d'exposition, désaprendre une réponse à un cpt)
  • la psychoéducation


La psychoéducation :


Elle peut être individuelle ou groupale et comporte 2 versants : 1 groupe patients & 1 groupe famille


1) Groupe patient


–> Appropriation de connaissances

–> Améliore l’adhésion au traitement et facilite le rétablissement

–> Plusieurs dimensions


Les principales thématiques prises en compte sont :


  • Le rôle des facteurs biologiques à travers l'explicitation du modèle vulnérabilité-stress-résilience.
  • Les symptômes
  • Les manifestations de la rechute

-> l'idée c'est de sensibiliser le patient et sa famille à des signes de rechutes pour qu'il puisse reprendre contact avec un professionnel, l'informer sur comment réagir à ce moment là, aider la famille à prendre note de certaines manifestations...

  • Les modalités thérapeutiques

(dont les traitements psychopharmacologiques : informer sur les effets bénéfiques, effets indésirables et la balance bénéfices/effets indésirables justifiant ce traitement, comment gérer les effets indésirables et les reconnaitre, aider la famille à accompagner le patient)

  • Les comorbidités addictives (abus de substances etc) et leurs conséquences (rechutes fex dues au cannabis).


On a nos thèmes qu'on va souhaiter aborder mais on peut aussi partir de ce que nous dit le patient et s'adapter aux modalités de sa maladie, ce n'est pas obligatoirement un cours ou on transmet juste de l'information, on va surtout compléter ce qui a déjà été dit, on est dans un partenariat.

+ Un autre élément très important est l'évaluation du risque de suicide à prendre en compte dans la PEC.


On doit proposer la psychoéducation systématiquement après le diagnostique.

Un groupe est généralement composé de 6 à 10 participants et animés par 2 professionnels (psychologues, psychiatre, ergothérapeute, psychomotricien, infirmier ou soignant, éducateur... -> aspect pluridisciplinaire pour se completer mais toujours un Psychologue)

Elle est souvent proposée sur une durée de 2 à 6 mois mais cela dépend des choix de l'équipe, enfin le contenu doit être en adéquation avec l’âge des patients et les phases (5 étapes) de la maladie.


Des études montrent son efficacité donc elle recommandée de manière internationale car elle permet d'améliorer leur connaissance de la maladie et leur adhésion au traitement ce qui permet de réduire le taux de rechutes et la symptomatologie.

On peut aussi l'utiliser pour d'autres troubles (les TCA, l'autisme, les TOC, l'anxiété, les troubles bipolaires...)


2) Groupe famille


Très similaire, on utilise le même modèle grâce auquel on va montrer qu'il y a plusieurs facteurs et que ce n'est pas la faute des parents. On va expliquer en quoi consiste notre travail et on va créer en partenariat nos thèmes et sujets et faire en sorte que la famille amène d'elle même l'info et qu'on complète.

On préfère utiliser un format multifamilial qui est mieux car il va permettre aux familles de partager leurs connaissances et compétences et se soutenir entre elles. Elle est efficace (réduit le taux de rechute et le fardeau familial)


-> Identifier et valoriser les ressources de la famille et du patient

-> Réduire sa souffrance et interagir plus positivement avec son proche malade & corriger certaines idées fausses comme l'agressivité



II. De la conscience à la préparation


= Aider le patient à distinguer ce qui fait partie de la maladie de ce qui fait partie de la personne


  • Particulièrement complexe dans la schizophrénie car certains symptômes de la maladie sont difficiles à distinguer de facteurs personnels, par exemple le retrait social (baisse de motivation, pas d'envie d'initier mais une fois dans la situation il se sentirait bien ou retrait)


= Former les patients :

-> à reconnaître les symptômes de la maladie et à les distinguer de facteurs personnels (en se basant sur comment ils étaient avant, leurs objectifs de vie, leur gout etc)

-> à comprendre que ces deux catégories de facteurs peuvent s’influencer mutuellement.


La façon de considérer sa maladie peut beaucoup varier d'un individu à l'autre et peut donner lieux à des polémiques par certains aspects comme la façon de nommer les patients (fait surtout polémique dans l'autisme) car pour certains ça fait partie de leur identité et leur apporte qlq chose et pour d'autres ils sont déjà eux mêmes avec leur personnalité etc. et la schizophrénie est un truc en plus à accepter (personne schizo vs avec schizophrénie vs schizophrène).



III. De la préparation à la reconstruction


= Accompagner la personne dans la reconstruction d’une identité positive et l’établissement d’objectifs de vie, en prenant en compte d'où il en était avant (fex étudiant en L1 =/= professionnel dps 40 ans ou lycéen) et où il en est maintenant (retourner à la fac qd diminution symptômes).

Mais cela va dépendre du nb d'épisodes et de l'impact de ses épisodes sur le niveau de fonctionnement.


-> Aide le patient à prendre ses propres décisions et à calculer les risques.

-> l'Aide à se reconstruire un réseau social

-> l'Aide à reprendre en main son autonomie et le contrôle sur sa propre vie


-> Entrainement des habiletés sociales (EHS) surtout si il y a des difficultés sociales, qui peuvent être travaillées en groupe (proposé potentiellement 1h par semaine ou par mois, en meme temps que la psychoéducation ou plus tard si plainte)

-> Remédiation cognitive : on va faire des entrainement pour améliorer l'insight, les pensée négatives etc, on va chercher ses ressources (pour retrouver un emploie etc), ses points forts, ses appuis etc. On va l'aider à faire son CV, à préparer ses entretiens, à trouver un lieu de vie etc



IV. De la reconstruction à la croissance


= Prise en charge globale


-> La personne n’est plus un patient mais un acteur qui dirige sa vie (il faut au début poser des questions plus fermées pour diriger la thérapie, puis qd elle devient un vrai acteur on peut poser des questions plus ouvertes et le laisser juger les risques etc) et croit en ses capacités, même si les symptômes sont toujours présents ou réapparaissent, on ne doit pas se focaliser seulement sur les capacités perdues.

-> La personne a découvert qu’elle a en elle une partie qui est restée intacte malgré toutes les souffrances traversées.


--> Croissance


V. Conclusion/Résumé :


1) Pour le patient schizophrène :


– Le médicaments antipsychotiques

– Psychoéducation

– Remédiation cognitive

– Entraînement d’habilités sociales

– Les psychothérapies (TCC, centrée sur les émotions...)

– Soutien des pairs

– Soutien à l’éducation ou à l’emploi, trouver un logement…

– Prévention du suicide

– Prise en charge des comorbidités

-> C'est une pec globale et adaptée au besoin de chaque personne qui sera effective, d'où la nécessité d'une équipe pluridisciplinaire.


2) Familles


– Psychoéducation

– Thérapie familiale


3) Autres modalités dans la prise en charge


Diagnostic précoce très important. Il faut détecter les prodromes car les troubles apparaissent de façon insidieuse et progressive mais que les symptômes débutants ont souvent des répercussions majeures sur la qualité de vie des jeunes.

-> De 15 à 20 ans c'est une période importante dans la construction du Soi et de l'autonomie. Fex un jeune diag. à 18 ans en L1 qui met 3/4 ans à se réinsérer et à trouver la PEC qui lui correspond aura bcp de retard sur ses amis et ses pairs.


L'effet des antipsychotiques est très débattu. On observe une diminution légère des symptômes positifs et des troubles cognitifs secondaires, mais les effets sont beaucoup plus ténus pour ceux primaires.


La remédiation cognitive est une intervention thérapeutique impliquant un entrainement qui vise à améliorer les processus cognitifs

-> parvient à diminuer les déficits cognitifs et leur impact fonctionnel

-> de sorte à ce que les bénéfices se maintiennent dans la durée et se généralisent

Elle est encore plus efficaces couplée à la psychoéducation de la schizophrénie, basé sur les témoignages et le combat des patient.

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