Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM)
Les océans sont des enjeux géopolitiques majeurs. Le droit maritime international répond aux revendications des états (prolongement, accès à plus des ressources, etc...).
L'exploitation des espaces maritimes est régie par la CNUDM de 1982 qui définit trois types d'espaces :
Aujourd'hui les mers et les océans sont des zones géostratégiques de plus en plus convoitées, et donc menacées.
I - LE DETROIT DE MALACCA
Le détroit le plus fréquenté du monde, il représente 1/3 du trafic mondial et 90% du trafic chinois. Les navires qui l'empruntent transportent de tout (marchandises, ressources minières/énergétiques, touristes...). Il permet de ravitailler différents pays asiatiques en matières premières et d'exporter des produits vers le reste de l'Asie et l'Europe.
Il est menacé à cause du trafic intense : l'écosystème est menacé (produits toxiques qui transitent), appauvrissement de la biodiversité, risques de collisions. De plus, sa gestion est difficile financièrement et la piraterie locale ne fait qu'empirer la situation.
II - LE RÔLE FONDAMENTAL DES MERS ET DES OCÉANS DANS LA MONDIALISATION
Le transport maritime permet de faire transiter d'énormes quantités de marchandises sur de très longues distances à très peu de frais (cf. conteneur).
Les mers et les océans constituent des enjeux majeurs de la mondialisation : 85% des échanges sont maritimes et 95% de la télécommunication passe par des câbles sous-marins.
Tout ceci mène à l'internationalisation des systèmes de production.
III - DES ESPACES SOURCES DE CONFLITS ET DE PUISSANCE DÉSORMAIS MENACÉS
1/4 de l'humanité dépend directement des produits de la mer pour se nourrir. Les flottes industrielles mettent en péril la pêche artisanale. 1/3 des réserves d'hydrocarbures proviennent de l'océan : les gisements offshore (ni pêche ni transport) sont de plus en plus productifs.
Les conflits se multiplient pour l'extension des ZEE, de plus, la compétition pour la domination des mers et des océans est de plus en plus visible. Cependant, la maîtrise et la surveillance de ces espaces est assurée par les états impliqués dans la mondialisation.
Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM)
Les océans sont des enjeux géopolitiques majeurs. Le droit maritime international répond aux revendications des états (prolongement, accès à plus des ressources, etc...).
L'exploitation des espaces maritimes est régie par la CNUDM de 1982 qui définit trois types d'espaces :
Aujourd'hui les mers et les océans sont des zones géostratégiques de plus en plus convoitées, et donc menacées.
I - LE DETROIT DE MALACCA
Le détroit le plus fréquenté du monde, il représente 1/3 du trafic mondial et 90% du trafic chinois. Les navires qui l'empruntent transportent de tout (marchandises, ressources minières/énergétiques, touristes...). Il permet de ravitailler différents pays asiatiques en matières premières et d'exporter des produits vers le reste de l'Asie et l'Europe.
Il est menacé à cause du trafic intense : l'écosystème est menacé (produits toxiques qui transitent), appauvrissement de la biodiversité, risques de collisions. De plus, sa gestion est difficile financièrement et la piraterie locale ne fait qu'empirer la situation.
II - LE RÔLE FONDAMENTAL DES MERS ET DES OCÉANS DANS LA MONDIALISATION
Le transport maritime permet de faire transiter d'énormes quantités de marchandises sur de très longues distances à très peu de frais (cf. conteneur).
Les mers et les océans constituent des enjeux majeurs de la mondialisation : 85% des échanges sont maritimes et 95% de la télécommunication passe par des câbles sous-marins.
Tout ceci mène à l'internationalisation des systèmes de production.
III - DES ESPACES SOURCES DE CONFLITS ET DE PUISSANCE DÉSORMAIS MENACÉS
1/4 de l'humanité dépend directement des produits de la mer pour se nourrir. Les flottes industrielles mettent en péril la pêche artisanale. 1/3 des réserves d'hydrocarbures proviennent de l'océan : les gisements offshore (ni pêche ni transport) sont de plus en plus productifs.
Les conflits se multiplient pour l'extension des ZEE, de plus, la compétition pour la domination des mers et des océans est de plus en plus visible. Cependant, la maîtrise et la surveillance de ces espaces est assurée par les états impliqués dans la mondialisation.