EPIDEMIOLOGIE : Le lupus touche surtout les femmes jeunes (70 à 90% des cas sont des femmes). En effet nous avons un quota de 9 femmes pour 1 homme. La prévalence est de 47,1 personnes pour 100 000.
FACTEURS FAVORISANTS : peuvent être des facteurs hormonaux (femme, grossesse), des prédispositions génétiques (plusieurs membres de la famille sont atteints dans 10% des cas, dans 24-56% des cas le deuxième jumeaux monozygotes est atteint et 2-4% si le jumeaux est hétérozygotes), la prise de certains médicaments (anticonvulsivants, bêta-bloquants et certains antibiotiques :symptômes se stoppent à l’arrêt du traitement) ou encore des facteurs exogènes comme les rayons UV, tabac, exposition à des virus (Epstein Barr, CMV).
MANIFESTATIONS CLINIQUES : Il existe plusieurs symptômes variés d’une personne à une autre, elles se font le plus par poussée, associée le plus souvent à de la fièvre, fatigue et manque d’appétit.
Les plus fréquentes sont l'arthralgies et arthrites, syndrome de Raynaud, éruptions cutanées malaires et autres, pleurésie ou péricardite, atteinte rénale ou du système nerveux central, cytopénies auto-immunes.
Ces manifestations peuvent concerner, la peau, les articulations, reins, poumons, cœur, yeux…
DIAGNOSTIC : Importance de l'équipe pluridisciplinaire (interniste, néphrologue, rhumatologue…)
Se fait à l'aide d'examen clinique puis examens complémentaires comme un BS : Anticorps antinucléaires (non spécifiques du lupus) et anticorps anti-ADN natifs (spécifiques du lupus) = normalement absents.
Il est important de rechercher d'autres anomalies comme la leucopénie, l'anémie, la thrombopénie et l'augmentation vitesse de sédimentation.
TRAITEMENT :
L'éducation thérapeutique est essentielle à la prise en charge du lupus.
RÔLE DE LA SF : un suivi B est indispensable pour les grossesses lupidiques. Ce dernier doit être assuré par un GO. La sage-femme ne peut donc pas suivre une patiente atteinte d’un LED = orientation et collaboration étroite.
EPIDEMIOLOGIE : Le lupus touche surtout les femmes jeunes (70 à 90% des cas sont des femmes). En effet nous avons un quota de 9 femmes pour 1 homme. La prévalence est de 47,1 personnes pour 100 000.
FACTEURS FAVORISANTS : peuvent être des facteurs hormonaux (femme, grossesse), des prédispositions génétiques (plusieurs membres de la famille sont atteints dans 10% des cas, dans 24-56% des cas le deuxième jumeaux monozygotes est atteint et 2-4% si le jumeaux est hétérozygotes), la prise de certains médicaments (anticonvulsivants, bêta-bloquants et certains antibiotiques :symptômes se stoppent à l’arrêt du traitement) ou encore des facteurs exogènes comme les rayons UV, tabac, exposition à des virus (Epstein Barr, CMV).
MANIFESTATIONS CLINIQUES : Il existe plusieurs symptômes variés d’une personne à une autre, elles se font le plus par poussée, associée le plus souvent à de la fièvre, fatigue et manque d’appétit.
Les plus fréquentes sont l'arthralgies et arthrites, syndrome de Raynaud, éruptions cutanées malaires et autres, pleurésie ou péricardite, atteinte rénale ou du système nerveux central, cytopénies auto-immunes.
Ces manifestations peuvent concerner, la peau, les articulations, reins, poumons, cœur, yeux…
DIAGNOSTIC : Importance de l'équipe pluridisciplinaire (interniste, néphrologue, rhumatologue…)
Se fait à l'aide d'examen clinique puis examens complémentaires comme un BS : Anticorps antinucléaires (non spécifiques du lupus) et anticorps anti-ADN natifs (spécifiques du lupus) = normalement absents.
Il est important de rechercher d'autres anomalies comme la leucopénie, l'anémie, la thrombopénie et l'augmentation vitesse de sédimentation.
TRAITEMENT :
L'éducation thérapeutique est essentielle à la prise en charge du lupus.
RÔLE DE LA SF : un suivi B est indispensable pour les grossesses lupidiques. Ce dernier doit être assuré par un GO. La sage-femme ne peut donc pas suivre une patiente atteinte d’un LED = orientation et collaboration étroite.