Crim., 13 décembre 1956, Laboube : « toute infraction, même non intentionnelle, suppose que son auteur ait agi avec intelligence et volonté » : responsable pénalement celui qui est doté de discernement et de libre-arbitre
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Cons. const., déc. 29 août 2002, no 2002-461 DC « la nécessité de rechercher le relèvement éducatif et moral des enfants délinquants par des mesures adaptées à leur âge et à leur personnalité »
L’article L. 11-2 du CJPM prévoit que « les décisions prises à l’égard des mineurs tendent à leur relèvement éducatif et moral ainsi qu’à la prévention de la récidive et à la protection de l’intérêt des victimes ».
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Article 122-1 du code pénal “Si est encourue une peine privative de liberté, celle-ci est réduite du tiers ou, en cas de crime puni de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle à perpétuité, est ramenée à trente ans. La juridiction peut toutefois, par une décision spécialement motivée en matière correctionnelle, décider de ne pas appliquer cette diminution de peine. Lorsque, après avis médical, la juridiction considère que la nature du trouble le justifie, elle s'assure que la peine prononcée permette que le condamné fasse l'objet de soins adaptés à son état”
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Crim., 29 janvier 1921, Trémintin : la contrainte ne devait pas avoir été occasionnée par une faute de celui qui l'invoque.
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Crim, 19 mars 1997, 96-80.853 : La Cour de Cassation indique que l’article 122-3 ne peut pas être invoquée, l’erreur n’était pas invincible dès lors que la société Auchan dispose de juristes qualifiés pour l’éclairer sur ses choix
Crim., 13 décembre 1956, Laboube : « toute infraction, même non intentionnelle, suppose que son auteur ait agi avec intelligence et volonté » : responsable pénalement celui qui est doté de discernement et de libre-arbitre
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Cons. const., déc. 29 août 2002, no 2002-461 DC « la nécessité de rechercher le relèvement éducatif et moral des enfants délinquants par des mesures adaptées à leur âge et à leur personnalité »
L’article L. 11-2 du CJPM prévoit que « les décisions prises à l’égard des mineurs tendent à leur relèvement éducatif et moral ainsi qu’à la prévention de la récidive et à la protection de l’intérêt des victimes ».
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Article 122-1 du code pénal “Si est encourue une peine privative de liberté, celle-ci est réduite du tiers ou, en cas de crime puni de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle à perpétuité, est ramenée à trente ans. La juridiction peut toutefois, par une décision spécialement motivée en matière correctionnelle, décider de ne pas appliquer cette diminution de peine. Lorsque, après avis médical, la juridiction considère que la nature du trouble le justifie, elle s'assure que la peine prononcée permette que le condamné fasse l'objet de soins adaptés à son état”
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Crim., 29 janvier 1921, Trémintin : la contrainte ne devait pas avoir été occasionnée par une faute de celui qui l'invoque.
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Crim, 19 mars 1997, 96-80.853 : La Cour de Cassation indique que l’article 122-3 ne peut pas être invoquée, l’erreur n’était pas invincible dès lors que la société Auchan dispose de juristes qualifiés pour l’éclairer sur ses choix